Captain Harlock
Démocratie Participative
01 juin 2018
Les choses avaient pourtant bien commencé. Mais nous sommes en Italie, avec des Italiens.
Finalement, Giuseppe Conte pourra vraiment inscrire sur son CV «président du Conseil italien». Le chef de l’Etat Sergio Mattarella a en effet validé jeudi soir la liste des ministres du gouvernement de l’alliance populiste entre la Ligue (extrême droite) et le Mouvement Cinq Etoiles.
Près de 90 jours après les élections du 4 mars, la situation politique s’est débloquée après la mise à l’écart de l’économiste germanophobe et anti-euro Paolo Savona du poste de ministre des Finances. Le président Mattarella avait fait comprendre dimanche dernier qu’il n’accepterait jamais de nommer ce professeur âgé de 82 ans à la tête d’un portefeuille aussi exposé. Notamment car la désignation de cet auteur d’un Guide pratique pour sortir de l’euro risquait de miner la crédibilité de l’Italie sur les marchés financiers.
Alors que le pays semblait se résigner à des élections législatives anticipées en plein été, Luigi Di Maio, pour les Cinq Etoiles, puis Matteo Salvini, le secrétaire de la Ligue ont finalement accepté un compromis: le poste de ministre des Finances a été au bout du compte attribué à l’universitaire Giovanni Tria, proche de la Ligue, favorable notamment à la «flat tax» prévue dans le programme de gouvernement c’est-à-dire à la réduction de la fiscalité à seulement à deux barèmes d’impôts (15% et 20%) mais opposé à une sortie de l’Italie de la monnaie unique. Paolo Savona a été transféré au poste de ministre des Affaires européennes. Plusieurs nominations comme celle du pro-européen Enzo Moavero Milanesi (ancien ministre de Mario Monti et Enrico Letta) aux Affaires étrangères devraient aussi rassurer l’étranger.
Bien sûr, cela n’a rien à voir avec la « germanophobie ».
En revanche il s’agit bien de « rassurer l’étranger ».
Les Allemands ne sont pas davantage les maîtres de la situation que les Italiens pour la simple raison que le système bancaire européen est sous l’étroite domination de la finance juive anglo-américaine.
Les Allemands sous occupation sont simplement les plus efficaces shabbat goyim en charge du maintien du statu quo.
Donc ces populistes italiens ont reculé sur l’essentiel.
Dites-moi quel genre de défenseurs du peuple sincères accepte de reculer devant un veto juif sur leur gouvernement ?
Imaginez-vous Hitler dire, « Oh, très certainement Monsieur shekelstein, je vais changer de ministre des Finances, avez-vous un nom en tête ? ».
Ces populistes ont accepté de vendre le peuple qu’ils prétendaient libérer pour deux postes à bord de la machine d’exploitation juive et une « flat tax ».
Pffouh…
Rien ne va donc changer pour le peuple italien.
Il va continuer à ramper jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il n’y a pas de salut sans révolution et sans mettre un terme à la démocratie juive.
Hitler, l’homme qu’on appelle quand a un soucis d’endettement
Quand Hitler est arrivé au pouvoir, il lui a fallu 9 mois pour liquider les dettes allemandes et remettre près de 3 millions de chômeurs au travail.
Vous savez comment ? En détruisant le pouvoir juif, à l’intérieur comme à l’extérieur, en pulvérisant les moyens de pillage de cette race démoniaque.
Et la démocratie était la face visible de ce pillage hébraïque.
Adolf Hitler pouvait parler avec une autorité jamais atteinte devant les ouvriers allemands fin 1933, moins d’un an après sa prise du pouvoir. Et il put leur dire, face à face, pourquoi il avait interdit le parti communiste tout comme il avait supprimé les partis bourgeois.
Comment ?
En leur donnant le nom de l’éternel coupable des crimes financiers : le juif.
Sous Mussolini, les fascistes ne dérangèrent pas davantage le pouvoir juif qu’aujourd’hui les populistes. Il fallut attendre que les Allemands gagnent en puissance pour que Mussolini commence à agir contre cette engeance envoyé par le Diable pour tourmenter l’humanité.
Aucune espèce de solution au cannibalisme financier n’apparaîtra tant que la juiverie pourra opérer en toute impunité sur notre continent.