Captain Harlock
Démocratie participative
08 septembre 2018
Les Chinois investissent de plus en plus massivement en Afrique. Et ils n’ont pas l’intention, à la différence des Blancs qui envoient leurs traînées antiracistes vernir les ongles de pieds des cafres, de perdre un seul dollar par la faute de ces nègres indolents.
Le nègre redécouvre donc les vertus curatives de l’esclavage.
« Des travailleurs Gabonais frappés en forêt sur sites au Gabon par leurs patrons chinois…
Les chinois les encadrent au travail avec des bâtons en mains en cas de riposte » je ne sais pas dans quel monde on vit mais ptnnnnn pic.twitter.com/3LXosVQM01— ANA ???? (@sianamiss) 7 septembre 2018
Rien n’est plus éloigné d’un Chinois que le concept d’empathie pour des nègres.
Les dizaines de milliards qu’ils investissent pour exploiter les ressources du continent africain ne sont pas pensées pour intégrer le bien-être des cafres.
Le principe est simple : présenter au roi nègre une liasse de billets et quelques maquettes de stades, de ponts, de routes. On lui dit, « Ô, Grand Roi des Nègres, tout ce qui ceci sera à toi moyennant une petite signature ici, en bas ». Ce à quoi acquiesce le roi nègre, traité en demi-dieu par les jaunes et gavé d’alcool et de putes tout au long de son voyage.
Il est à peine rentré chez lui que le Parti Communiste Chinois met en coupe réglée le territoire.
La poigne des Chinois se referme ensuite très vite.
Ces jaunes savent à qui ils ont à faire.
Si nous n’avions pas eu cette prêtraille chrétienne pour inculquer l’idée folle de l’égalité raciale aux Blancs comme aux nègres, l’empire colonial serait encore debout.
Avec les Chinois, la chanson sera différente.
Un homme d’affaires chinois a été arrêté au Kenya après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo où il compare les Kenyans et leur président Uhuru Kenyatta à des « singes », a déclaré jeudi le service de l’immigration de Nairobi. Le ressortissant chinois, identifié comme Liu Jiaqi, va être expulsé. « Son permis de travail a été annulé et il va être expulsé pour racisme », a précisé l’immigration kényane sur son compte Twitter.
Dans une vidéo de deux minutes et demie partagée sur Twitter et ailleurs, l’homme, qui semble se disputer avec un de ses employés, profère une série d’insultes racistes. Après la suggestion d’un employé de « rentrer en Chine », l’homme d’affaires réplique de plus belle en (mauvais) anglais : « Ce n’est pas ma place ici. Je n’aime pas cet endroit, des gens comme des singes, je n’aime pas leur parler, ça sent mauvais, et pauvres et stupides, et noirs. Je ne les aime pas. Pourquoi pas (comme) les Blancs, comme les Américains » ? Il ajoute ne rester au Kenya que parce que « l’argent est important ».
Des internautes ont réclamé qu’il soit poursuivi et pas seulement expulsé du Kenya. Un porte-parole de l’ambassade de Chine au Kenya, Zhang Gang, a assuré à l’AFP que l’extrait vidéo date de juin. L’homme filmé « a déjà fait l’objet d’une sanction par sa société et s’est excusé auprès de son collègue kényan ». Les propos de cet homme « ne représentent pas l’opinion de la vaste majorité des Chinois », a tenu à ajouter la même source.
Evidemment cela représente l’opinion de la vaste majorité des Chinois.
Cela représente l’opinion des officiels du gouvernement chinois.
Mais les Chinois n’ont pas encore totalement pris possession de l’Afrique et temporisent face à une presse juive occidentale qui fera tout pour exciter les masses nègres contre la présence chinoise sur le continent.