Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 juin 2017
Au Front National, les candidats épanchent leurs émois contre les Blancs qui respirent encore sur les réseaux sociaux :
Ni les fientes gauchistes ni les raclures racialistes ne m’empêcheront d’aimer la France et de la servir jusqu’à mon dernier souffle !❤️????????❤️
— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) 8 juin 2017
Je ne sais pas ce qu’ils ont les Nazis là mais je suis étrillé depuis hier sur mes origines. C’est rassurant : l’extrême-droite existe bien
— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) 8 juin 2017
La question raciale demeure le véritable critère de détermination politique. Peu importe les apparences ou les déclarations, en dernière analyse les métèques sont gouvernés par leur appartenance raciale.
Indépendamment du degré de retenue qu’ils affichent, ils s’établissent objectivement au détriment des autochtones en Europe. Et ils savent que leur absence de légitimité pourra toujours être brandie face à eux. Dès que cette vérité leur est rappelée, les masques tombent : entre eux et les Blancs, ce sont ces derniers qui doivent disparaître.
Si je ne pense qu’il faille se focaliser sur les rares éléments étrangers qui peuvent se retrouver à s’opposer verbalement aux ravages de l’immigration du tiers-monde, ils font néanmoins partie du problème. Et il serait inconsidéré d’aborder la question autrement.
Il est inadmissible de donner un niveau de responsabilité à ce genre de migrateurs. Par intérêt bien compris, ils défendront au cœur des structures encore vaguement nationalistes une approche antiraciste. Ce qui, à ce stade, est suicidaire.