Captain Harlock
Démocratie Participative
24 mai 2019
Le Gard rabougri avait besoin de diversité
Turbo dysgénisme républicain.
À Aubais, leur quotidien est pris en charge par un collectif d’accueil citoyen.
C’est au cœur de la garrigue gardoise que Sami, 31 ans et Aimar (*), 29 ans, tous deux originaires de Syrie, vont tenter de retrouver un peu de sérénité le temps de la procédure de leur demande d’asile et après six années d’exode passées au Liban.
Le premier est originaire de la ville sinistrée de Homs et était étudiant en droit, le second vient de la région qui borde la mer Méditerranée et poursuivait une formation de graphiste industriel. Chacun de leur côté, ils ont fui clandestinement leur pays et quitté leur famille, pour finir par se rencontrer au Liban voisin.
Parmi les motifs de ce départ sans promesse de retour, leur statut de réserviste dans l’armée en plein conflit après avoir effectué chacun leur service militaire. « Je ne voulais pas prendre les armes contre des civils » affirme l’un des deux. Plus pudiquement, la question de leur homosexualité est au centre des risques qu’ils encouraient.
Des homosexuels et des déserteurs.
La fine fleur de la Syrie libre.
« Ils étaient en danger en Syrie et même au Liban, ce n’était pas très sécurisé. En Syrie, il n’y a aucun droit civil pour les homosexuels, les gens autour n’acceptent pas, l’homosexualité est tout simplement interdite », explique Micheline, jeune maman avocate d’origine syrienne elle-même réfugiée à Sommières avec son mari et interprète des deux garçons.
Tiens, les étrangers s’ouvrent la porte mutuellement.
À Beyrouth, ils sont repérés par l’ambassade de France et finissent par atterrir à Paris cette semaine via un “couloir humanitaire”, un dispositif régi par les ministères de l’Intérieur et des Affaires Étrangères qui a permis à plusieurs familles de trouver refuge dans le Gard.
Le réseau homosexuel infiltré dans la diplomatie française recrute les migrants à l’étranger sur affinité anale.
Il y a une continuité.
Des actions entreprises grâce aux associations Entraide Protestante ou le Secours catholique qui œuvrent en local avec des collectifs d’accueil citoyen comme celui d’Aigues-Vives et d’Aubais. « Nous avons été étonnés par le nombre de collectifs dans la Vaunage, remarque Olivier Landes, animateur du réseau couloir humanitaire pour le sud de la France. Ce type d’accueil est différent des dispositions classiques avec un lien fort qui se met en place entre les personnes, même si les réfugiés que nous accueillons représentent une goutte d’eau par rapport à d’autres pays comme la Turquie ou le Liban ».
Il ne manquait plus que les invertis de l’Eglise Catholique pour parfaire le tableau.
Pour rappel, le châtiment des homosexuels selon la Bible est le supplice du pal pour l’éternité.
Mais bon, les prêtres rouges ont besoin d’affection.
Gageons que très prochainement Sami et Aimar participeront à la Gay Pride pour lutter contre les discriminations de genre de la France blanche et patriarcale.