La Rédaction
Démocratie Participative
14 novembre 2024
🇫🇷🇮🇱 ALERTE – Des membres du Bétar, en coordination avec les groupes « Unité juive » et « LDJ », seront présents et armés à Paris lors du match France-Israël ce soir. (X) pic.twitter.com/bfUgUuOJe3
— AlertesInfos (@AlertesInfos) November 14, 2024
Ce soir, je serai au Stade de France pour France-Israël.
Les juifs ne se soumettront pas aux islamonazis.#FranceIsraël pic.twitter.com/3e0r5V8XHV— Bruno Attal (@Bruno_Attal_) November 14, 2024
#FRAISR : « C’est l’anti-Amsterdam que nous devons donner à voir ce soir au Stade de France »@Yonathan_Arfi, président du Crif, invité de @amandine_begot dans #RTLMatin pic.twitter.com/iLgIlm8Iak
— RTL France (@RTLFrance) November 14, 2024
Ce soir, Caroline Yadan, la députée juive des Français en distanciel, sera au Stade de France pour marquer, je cite, « un symbole puissant de solidarité et de soutien ». Non pas à l’équipe de France, à très nette majorité africaine, mais à celle qui lui sera opposée, l’équipe juive.
Caroline Yadan y voit là le moyen « d’affirmer avec force que la République (française, ndlr) rappelle les valeurs fondamentales que le sport doit incarner : la paix, l’unité, le respect et la tolérance. »
Il s’agit aussi, d’après elle, de « réitérer notre détermination à combattre l’antisémitisme » qui, à l’évidence, la concerne au premier chef.
« Le fléau de l’antisémitisme, que l’on croyait relégué aux poubelles de l’Histoire, a resurgi de manière décomplexée, banalisée, et semble s’installer durablement » se lamente-t-elle encore.
La députée des juifs affirme que « l’antisémitisme, nourri par la haine d’Israël, se pare aujourd’hui d’un masque trompeur de justice et d’humanisme ». Par déduction logique, ce serait donc le sémitisme, nourri par l’amour « d’Israël », qui se parerait aujourd’hui du véritable masque de la justice et de l’humanisme.
Après avoir dénoncé les « islamistes », Caroline Yadan dit qu’être au Stade de France, c’est affirmer que la France est « une nation libre et tolérante, qui embrasse la diversité ». Comprendre diversité raciale et religieuse.
La députée juive dénonce une « instrumentalisation politique, dont se fait aujourd’hui porte parole l’extrême gauche en France, visant à criminaliser Israël, les Israéliens et la communauté juive dans son ensemble », instrumentalisation qui « doit cesser ».
Caroline Yadan assure agir « au-delà des appartenances individuelles » pour « réaffirmer les valeurs universelles qui nous unissent et qui nous animent ».
Ce soir, je serai au Stade de France pour assister au match France-Israël.
Notre présence au Stade de France ce soir portera un symbole puissant de solidarité et de soutien.
Elle affirme avec force que la République rappelle les valeurs fondamentales que le sport doit incarner…
— Caroline Yadan (@CarolineYADAN) November 14, 2024
Il n’y a que les Blancs qui puissent être assez naïfs pour croire que Yadan ne s’exprime pas ici en tant qu’ultra-nationaliste juive.
Un tel numéro ne prendrait pas avec les Musulmans, ni avec aucun peuple non-blanc.
Pour pirater la cervelle de ces Blancs crédules et leur faire avaler l’antithèse de leur propre masochisme sans-frontiériste, il suffit d’utiliser des mots-clefs comme « universel », « liberté », « tolérance » ou encore d’évoquer la « paix », ultérieure et vaporeuse. Ces formules ont un effet sédatif sur les esprits blancs, restructurés par deux millénaires de christianisme, puis deux siècles de démocratie antiraciste – son prolongement sécularisé.
Dès qu’ils sont prononcés, la cervelle blanche s’engourdit et cède sous leur prestige religieux, perd toute prudence… la défiance de l’homme blanc s’évanouit, ses défenses s’effondrent instantanément.
Un Blanc préfère subir tous les tourments plutôt que d’être traité de raciste, terme qui équivaut aujourd’hui à l’excommunication de jadis. Toute la culture contemporaine de l’homme blanc est désormais tournée vers sa propre destruction sous l’effet de la répression de sa pulsion de vie raciale, assimilée sous l’effet de la mauvaise conscience chrétienne à une faute morale.
Fondamentalement attaché à la vérité et à la justice, ces nobles sentiments de la nature aryenne saccagés par le cosmopolite chrétien et son chantage à la damnation éternelle s’il ne se fait pas le serviteur de la toute la pouillerie vivante, le Blanc craint le dieu terrible de sa mauvaise conscience. Que de sévices cette moralité dévoyée par l’insanité chrétienne ne lui a-t-elle pas fait infliger à sa propre race.
Toutes les tribus extra-européennes ont depuis longtemps compris cette ficielle, en usent et en abusent avec une déconcertante facilité. Le Blanc plie, invariablement. C’est vrai pour le bicot qui n’aime pas faire la queue à l’arrêt de bus, comme pour la youpine qui entend faire avaler les projets génocidaires de sa race.
Martingale gagnante à chaque fois.
Une seule solution : le racisme !
Lui seul a les vertus curatives pour traiter cette maladie dégénérative qu’est la mauvaise conscience blanche, traînée de siècle en siècle dans sa caboche par le troupeau aryen.
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