Le Libre Panzer
Démocratie Participative
22 juin 2019
Jean Dujardin fait désormais carrière à Hollywood, place forte du suprémacisme blanc anglo-saxon.
Mais Jean Dujardin ne s’en laisse pas compter. Il lutte contre l’extrême-droite française.
Le Point :
Est-ce risqué de jouer aujourd’hui un héros réac et raciste face aux gardiens du politiquement correct ?
Au contraire, je pense que ce sont des films très politiquement corrects. Parce qu’on a déjà creusé le sillon. On sait à quoi on s’attend. Avec OSS 117, on sait de qui on rigole : un raciste, un idiot, un con, un réac, un candide, un abruti qui enfile les clichés comme des perles. On peut rire de sa connerie, de nos problèmes, de nos réflexes xénophobes. Je symbolise cette France crasse, idiote, basse de plafond. Les gens se marrent d’eux-mêmes. Nous acceptons de rire de nous comme, avec Brice de Nice, j’ai toujours ri de moi. C’est cathartique, ça fait du bien.
Heureusement que Jean est là pour nous expliquer le véritable esprit d’OSS 117 du réalisateur juif Michel Hazanavicius : pousser les Français de race blanche à se foutre de leur instinct de survie ethnique.
« Brave goy… »
Il faut avouer que la (((ficelle))) était grosse.