France café-au-lait : enfin arrivé à Beyrouth, Macron se met à micro-manager le bourbier multiethnique libanais en échange d’un bain de foule avec des machins marron

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 août 2020

Marseille, Alger ou Beyrouth ? A vous de me le dire, je suis incapable de distinguer

Macron parvient presque à m’épuiser autant que Sarközy jadis. Le même besoin frénétique d’encocaïné d’étaler sa tronche partout en jouant au sauveur avant d’aller squatter un autre truc médiatisé.

Ce coup-ci, il est servi.

Ces arabes veulent apparemment que Macron transforme le pays en département français avec les transferts induits. Comme Mayotte, si vous voulez. Macron semble preneur et veut restaurer la présence coloniale française dans ce bouge.

Pour obtenir des acclamations de métèques marron, Macron est prêt à aller très loin. Cette fois-ci, il s’agit de micro-manager ce salmigondis multiethnique qu’est le Liban pendant que l’économie française est en train de s’écrouler. C’est fou comme ce type adore jouer le populacier dès lors que des bougnoules et des nègres sont amassés quelque part.

Ces races qui passent leur temps à nous toiser de haut à la minute où elles posent le pied en Europe – peu importe leur « religion » – se transforment en mendiants vociférants dans leurs pays pétés dès qu’ils aperçoivent un Blanc.

Regardez un peu cette chose marron hurler comme une cinglée pour que Macron règle leurs embrouilles avec notre fric.

Ces gens-là, incapables de la moindre pudeur, portent sur mes nerfs à un point que vous n’imaginez pas. Ils sont aussi sales que bruyants et surtout, arrogants. Ce n’est pas par hasard si les juifs sortent de ce désert-là. J’ai un souvenir très net de ces « Libanais » en France. Ces gens vous regardent de haut, sur la terre de vos ancêtres, comme si vous étiez à peine bon pour vider leurs ordures. Et ils vous vantent le bled comme le paradis sur terre, paradis qu’ils ont bien évidemment fui à la première occasion.

En tout cas, il est évident que ce qui sert « d’élites » à la France n’a jamais acté de la décolonisation. Tout est prétexte à raviver l’empire café-au-lait démantelé par De Gaulle, les moyens humains, militaires et financiers en moins. Quand les Britanniques colonisaient, colonisaient-ils de manière avisée économiquement. La France colonise les pires races, les avilit encore davantage avant de se faire foutre dehors. En dépit de l’échec colossal de l’entreprise coloniale, le truc revient sous une forme déguisée, vendue avec les mêmes arguments foireux.

Libye, Syrie et maintenant Liban, les génies du Quai d’Orsay enchaînent les plans grandioses.

En 2020, ce besoin paternaliste de chouchouter des peuplades basanées, en France et à l’étranger, nous amène à nous rabattre sur des ruines de troisième zone qui sont autant de siphons à pognon ravagés par la corruption et le fanatisme islamique. Il n’y a rien à gagner dans cette affaire libanaise, si ce n’est de nouvelles dettes, de nouveaux ennemis, de nouvelles humiliations. Peut-être de nouveaux attentats.

Cette pétaudière orientale devrait être évitée comme la peste.

Je reste fasciné par ce besoin compulsif des dirigeants français d’aller humer l’odeur de merde des endroits les plus pourris de cette terre, surtout s’ils sont hallal. Les gens normaux ne font pas ça. Ils ne se soucient pas des bidonvilles du tiers-monde, ils se foutent de la vaccination des négrillons qui pullulent comme des cafards et évitent soigneusement de passer leurs vacances dans des bleds peuplés de djihadistes.

Mais pas la bourgeoisie française. Elle est addicte à la chiasse et veut nous imposer ses addictions.

En tout cas, avec la pulvérisation économique de la France, j’espère que ce paon de Macron va prendre dans la gueule dix fois ce qu’il a subi durant le soulèvement des Gilets Jaunes à l’hiver 2018-2019. Je ne parviens pas à imaginer, avec ce qui va arriver, que les prolétaires français tolèrent une gabegie délirante pour satisfaire le gnome de l’Élysée qui se prend pour Bonaparte.

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