Française moyenne, 2024

La rédaction
Démocratie Participative
09 avril 2024

Putain mais le degré d’inhumanité et de cruauté qu’il faut pour filmer et prendre plaisir dans cette situation, c’est pathologique pic.twitter.com/ugs5w7RoWW

— Georges Jordito (par ouï dire) (@MrLePresiden) April 8, 2024

Ce n’est pas ce noir qui a un fonctionnement pathologique, il est fidèle aux instincts de sa race et s’amuse comme un démon d’une femme blanche qui, elle, est bien atteinte d’une pathologie sévère : la négrophilie névrotique.

J’ai souvent parlé de la généalogie de cette maladie qui, en France, est devenue le socle des représentations mentales du Français de souche moyen.

Au plan politique, la formation même de la nation française lors de la Révolution qui a immédiatement proclamé l’égalité du nègre avec l’homme blanc.

Bien sûr le misérabilisme culturel chrétien qui reste solidement ancré dans les cervelles.

« Il faut impérativement considérer ces jeunes comme des êtres humains d’abord, malgré tout ce qu’ils ont fait.» @JMVilain Maire Les Centristes de Viry-Châtillon#CCeSoir
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— C ce soir (@Ccesoir) April 8, 2024

L’androgynie de l’époque qui tend à faire dominer l’émotion sur la force et la raison parmi les populations blanches. Avec la capitulation de l’homme blanc et la montée en puissance de la femme dans l’ordre social, dominent ses inévitables traits psychologiques que sont la peur du conflit, l’amour des faibles, le maternage et l’hystérie.

Ensuite, le désastre de la colonisation avec son paternalisme bienveillant à l’égard des populations de l’empire colonial, désastre psychologiquement consommé avec l’héroïsation des cafres et bicots en 1914 contre l’homme blond de Germanie.

Enfin, last but not least, l’infection sémitique qui depuis l’Affaire Dreyfus a fait du juif le maître de la France. On lui doit l’instauration du mythe antiblanc – dit « antiraciste » – qui appelle au triomphe historique du métèque sur l’indigène de Gaule. Toute la politique de l’État lui est subordonnée.

Cette pathologie se traduit par des phénomènes inédits que l’on ne retrouve dans aucun pays d’Europe à cette échelle :

• ouverture très large à l’immigration subsaharienne,
• la domination de la consommation de musique négroïde,
• négrification de l’humour, des usages et du langage,
• la négrification généralisée de toutes les sélections nationales,
• la fascination populaire pour le Sud, notamment l’Afrique, mais surtout le Brésil

La France ne menace pas tant de devenir islamique stricto sensu, que de devenir d’ici peu un pays culturellement nègre dans tous les aspects de la vie quotidienne. Nul besoin pour cela d’un pays composée à 90% de noirs, 10 ou 20% suffisent pour négrifier les Blancs mentalement en les faisant chuter culturellement sous l’effet du mimétisme.

Les Français contemporains sont naturellement aimantés par les nègres, ne s’imaginent pas de destin sans les nègres, mais, en revanche, se l’imaginent très bien sans les Blancs.

Un seul nègre à dents blanches peut conquérir la France plus rapidement que l’armée allemande en 1940. Omar Sy est plus grand que Guderian.

Les solutions ?

Une telle involution ne pas être défaite en quelques semaines. Il faut un déconditionnement global qui ne pourrait être obtenu que par la coercition et une répression extrêmement féroce des masses, singulièrement des femmes au moindre signe de négrophilie pathologique.

La proclamation agressive du racisme blanc reste la première pierre de ce processus d’émancipation. En accélérant la conflictualité raciale, on recrée des frontières communautaires au sein desquelles la reprise en mains ultérieure devient possible.

L’homme blanc doit se convaincre de la nécessité de se tailler des espaces vitaux au sein desquels tout lui appartient et tout doit se conformer à ses intérêts. La lutte revendiquée pour sa suprématie est cardinale.

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