Sigmar Polaris
Démocratie Participative
17 avril 2021
Après la sélection nationale polonaise, c’est le Slavia Prague qui a refusé de s’agenouiller en faveur de la suprématie noire.
Contrairement aux joueurs d’Arsenal, ceux du Slavia Prague n’ont pas mis genou à terre contre le racisme avant le quart de finale retour de Ligue Europa, jeudi. La veille, leur coéquipier Ondrej Kudela avait été sanctionné de dix matches de suspension pour comportement raciste.
Avant le quart de finale retour de Ligue Europa entre le Slavia Prague et Arsenal jeudi, les onze Gunners alignés au coup d’envoi ont mis genou à terre en soutien à la cause antiraciste. Cela n’a pas été le cas des joueurs du Slavia, qui sont restés débout (comme à l’aller à Londres) et se sont réunis dans le rond central en formant une ligne.
Mercredi, le défenseur du Slavia Prague Ondrej Kudela a écopé de dix matches de suspension pour comportement raciste lors de la rencontre contre les Rangers en Ligue Europa, le 18 mars dernier. Le club tchèque n’a pas du tout accepté cette sanction. Et cette affaire est même remontée au plus haut sommet de l’État.
Kudela est victime d’un coup monté.
Contrairement aux états dégénérés occidentaux, les états slaves défendent leurs peuples face aux attaques antiblanches.
La présidence tchèque a dénoncé jeudi la suspension pour dix matches prononcée à l’encontre du défenseur du Slavia de Prague Ondrej Kudela pour «comportement raciste», critiquant une sanction «sans preuve» et les «courbettes ridicules» de l’UEFA, taxée d’hypocrisie.
«Je tiens à souligner que les accusations de racisme n’ont pas été prouvées. Même un inspecteur de l’UEFA a mis en doute le fait qu’Ondrej Kudela ait prononcé la remarque raciste», a écrit Vladimir Mynar, chef de cabinet du président tchèque Milos Zeman, dans une lettre adressée à l’UEFA. «Vous avez condamné un homme respectable sans la moindre preuve… uniquement pour répondre aux visées perverses d’un petit groupe de militants et d’un club incapable de gagner sur le terrain», a poursuivi M. Mynar, qui est un supporter du Slavia Prague. «Entre vos mains, la lutte contre le racisme s’est transformée en (…) hypocrisie, en discrimination positive et en courbette ridicule devant des tendances idiotes», a-t-il encore critiqué, ajoutant que le président Zeman exprimait sa sympathie à tous les Tchèques déçus par cette décision. «Nous ne nous mettrons pas à genoux devant vous», a encore lancé Vladimir Mynar.
Les nations slaves sont les derniers peuples blancs à refuser de se mettre à genoux devant les nègres occidentaux.