Captain Harlock
Démocratie Participative
29 juillet 2019
La moitié du temps, le palais impérial de Fontainebleau sert de studio pour la négresse japonaise Aya Nakamura.
L’autre moitié du temps, c’est un terrain de chasse pour les amateurs de gamines blanches originaires de Kaboul ou Kandahar.
Les victimes peuvent respirer. Jeudi, les policiers ont interpellé un jeune homme, âgé de 18 ans, soupçonnés de trois agressions sexuelles, toutes commises dans et aux abords du parc du château de Fontainebleau, en juin dernier. Déféré vendredi au tribunal de la ville impériale, le parquet a demandé son placement en détention provisoire en attendant son jugement lors des comparutions immédiates lundi prochain. Le juge des libertés et de la détention (JLD) devait prendre une décision dans la soirée.
« Le caractère sériel des faits était particulièrement inquiétant », précise une source proche de l’enquête. Entre le 16 et le 27 juin, ce réfugié Afghan s’en est pris à deux femmes et une adolescente, âgées entre 27 et 14 ans, dans le parc du château ou dans la rue du château.
« Il s’approchait des victimes et leur parlait en mélangeant l’anglais et le français. Il essayait de les embrasser tout en essayant de les caresser sur les cuisses, les fesses et le sexe à travers les vêtements », décrit un enquêteur, qui évoque « des pulsions », pour justifier le passage à l’acte. À chaque fois, le mode opératoire est le même, seule l’horaire change puisque les agressions ont lieu entre 8 heures et 20 heures.
Les policiers du commissariat, munis d’une description faite par les victimes, ont multiplié les patrouilles ces dernières semaines pour essayer de repérer un éventuel suspect. En vain.
Les gardiens du château sont également mis dans la boucle. « Nous ne pouvons pas sécuriser l’ensemble du parc notamment la partie de l’autre côté de l’avenue des Cascades, détaille Isabelle de Gourcuff, l’administratrice générale du château qui ajoute : Les jardins et le parc s’étalent sur 110 ha, dont 80 ha pour le parc ouvert tout le temps. » Cette partie du domaine, avec notamment le Grand canal, accueille de nombreuses personnes qui viennent pique-niquer, se reposer dans la journée et aussi la nuit.
Finalement, jeudi à 7 h 50, l’une des victimes appelle le commissariat. Son agresseur présumé se trouve devant elle dans le même parc. Les policiers arrivent rapidement sur place et après une rapide course-poursuite à pied l’interpellent.
Le suspect, hébergé dans le centre de réfugié de la Croix-Rouge à la caserne Damesme , était totalement inconnu de la justice. « Cela fait trois ans que la caserne accueille des réfugiés et nous n’avons jamais eu de souci jusque-là », constate un policier.
Si c’est l’agent Mohamed Ibn Couscous qui le dit, je lui fais entièrement confiance.
Avant que le lieu ne devienne une mosquée ou un centre d’élevage de dromadaires, vous pouvez découvrir ou redécouvrir ce qu’il était sous l’empereur Napoléon Ier.
Je tiens à remercier une nouvelle fois le poudré de l’Elysée pour nous avoir rappelé qu’il n’y a pas de culture française mais une « culture en France ».
La culture islamique pachtoune donc.