Folie ovarienne : une romancière ratée à la tête déformée invente une accusation de viol contre PPDA pour vendre son dernier bouquin

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 Février 2021

 

C’est tout simplement écœurant.

Ces traînées sans talent n’ont plus besoin que d’une chose pour se faire mousser médiatiquement : dire qu’un homme connu les a « agressé sexuellement ».

C’est Patrick Poivre d’Arvor qui est maintenant la victime de cette cabale féministe.

Une sorte de journaliste à la tête déformée dit avoir été « violée » à deux reprises – rien de moins – par Patrick en 2004 et 2009.

Ce truc-là :

Elle a carrément la tête écrasée comme une vieille patate.

N’importe quel homme ferait tout pour éviter de se retrouver seul dans la même pièce que cette chose. Vraiment, la regarder m’angoisse.

Lisez ce truc, c’est délirant.

Le Figaro Madame :

«Est-ce que vous réalisez que vous êtes devenue une femme ?» Tels sont les propos qu’aurait tenus Patrick Poivre d’Arvor après un rapport sexuel non-consenti avec Florence Porcel, en 2004. Une déclaration d’autant plus glaçante que l’auteure de 37 ans, qui n’a pas souhaité s’exprimer dans les médias, a déposé plainte contre l’ex-présentateur du journal télévisé de TF1 – de 1987 à 2008 – pour viols et emprise psychologique. Selon la plaignante, le journaliste de 36 ans son aîné aurait abusé d’elle à deux reprises, à l’automne 2004 et au printemps 2009. Une enquête a été ouverte cette semaine par le parquet de Nanterre, et les investigations ont été confiées à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la PJ parisienne, explique le Parisien.

Tout commence en 2004. Florence Porcel, 21 ans, est étudiante à l’école de comédie musicale ECM 3 Arts, à Paris. Elle poursuit, en parallèle, une licence d’Information et Communication à la Sorbonne. Mais la jeune femme rêve, avant tout, de devenir romancière. Elle envoie des dizaines de manuscrits, dans l’espoir d’être repérée par une maison d’édition. Et adresse, en parallèle, une lettre à Patrick Poivre d’Arvor, pour lui faire part de son admiration à la lecture de l’un des ouvrages de celui qui est aussi écrivain.

Elle y joint quelques-uns de ses propres écrits, afin de recueillir l’avis du présentateur. La jeune femme, née le 26 juillet 1983 à Vitry-le-François, et dont les rêves d’écriture ont mûri au lycée Pierre Bayon de Châlons-en-Champagne, peine à s’imaginer qu’elle recevra une réponse de celui qu’elle admire tant. Mais il la contacte par téléphone pour évoquer ses travaux, un dimanche soir de novembre. S’en serait suivie une étrange conversation, durant laquelle le journaliste lui aurait posé des questions intimes, notamment sur son absence de petit ami et la fréquence à laquelle elle se masturbait. Il finit par l’inviter dans les studios de TF1, où elle pourra assister au journal télévisé du lendemain soir.

Parce qu’évidemment, PPDA téléphone à une inconnue pour lui parler de masturbation et tout aussi évidemment la réaction de cette nana est de se précipiter le voir.

Après l’émission, une assistante aurait conduit Florence Porcel dans le bureau de PPDA. Le présentateur aurait alors fermé la porte, avant de «lui proposer un verre d’alcool» et «de l’agresser sexuellement en l’embrassant puis en introduisant sa main dans sa culotte», poursuit le Parisien. L’étudiante, tétanisée, se serait déshabillée et aurait eu avec lui un rapport sexuel auquel elle ne consentait pas. Il s’agit de la première expérience sexuelle de la jeune femme, qui est encore vierge. Depuis longtemps déscolarisée en raison de problèmes de santé, celle-ci est, par ailleurs, en convalescence d’une tumeur au cerveau. Florence Porcel soutient ne pas être parvenue à fuir son agresseur, avoir émis des cris de douleur. Mais à l’époque, elle n’aurait pas réalisé qu’elle aurait été victime d’un viol. Au fil du temps, Patrick Poivre d’Arvor aurait ainsi établi une relation d’emprise avec la jeune femme. Tous deux auraient continué à échanger durant plusieurs années.

« Je ne savais pas j’étais en train d’être violée » / « J’ai crié de douleur » / « On s’écrit des super lettres ».

Cette folle est dans un numéro d’autopromotion.

PPDA dit la vérité.

Je ne sais pas si par charité il a couché avec cette femme déformée. C’est possible. Si c’est le cas, il devrait se remettre en question car la charité n’excuse pas tout, surtout de coucher avec une femme déformée qui est visiblement psychotique.

Ce que ces garces sont en train de dire, c’est qu’elles ne couchent jamais pour progresser socialement. Ces prostituées veulent se prostituer tout en ayant la réputation de Mère Thérésa.

J’en ai la nausée.

A peine ces accusations délirantes formulées, une nuée de catins s’est déchaînée, proclamant la culpabilité de Patrick Poivre d’Arvor.

Ces putes de rédaction fomentent un putsch en ce moment même et ils visent à évincer tous les hommes des rédactions grâce à de simples accusations.

C’est un concours d’affabulations dignes de rescapés de l’holocauste.

20 Minutes :

« Des dizaines d’appels insistants, et des questions très, très intimes » : c’est en ces termes que Nathalie*, journaliste indépendante, décrit, sur Twitter, sa brève relation avec Patrick Poivre-d’Arvor. Un entretien pour la revue Charles, sa « première pige » au sortir de l’école de journalisme en 2015, suivi d’une invitation à dîner, et de multiples coups de fils. La journaliste ne répond pas, elle « laisse courir », mais apprend plus tard que l’homme a appelé la rédaction du magazine pour leur dire qu’elle « n’était pas professionnelle », qu’il « fallait la virer ». « Il était tellement puissant, et j’étais tellement une petite fourmi… », dit-elle par téléphone à 20 Minutes, se disant persuadée que l’homme a construit un « système » de prédation. « Elle nous en avait parlé », se souvient Alexandre Chabert, éditeur à l’époque pour la revue Charles, contacté par 20 Minutes.

Donc, ce pseudonyme dit s’être faite draguer.

Des tas de pseudonymes disent s’être faites draguer.

Des alertes comme celle-ci, 20 Minutes en a recueilli d’autres par le passé, de femmes témoignant de comportements insistants, et préférant pour certaines s’exprimer sous couvert de l’anonymat après la plainte de la youtubeuse et écrivaine Florence Porcel, qui accuse le journaliste Patrick Poivre d’Arvor de viols et a sorti un livre en parallèle où elle narre cette histoire sous couvert de fiction.

Nora Arbelbide, journaliste à Berria, à Bayonne, raconte s’être sentie « juste un bout de viande pour lui » après l’avoir contacté lors d’un colloque sur les médias, en décembre 2003. Elle explique qu’à la suite de ce colloque, où elle avait essayé de lui parler pour l’alerter sur la situation de son journal, PPDA s’est procuré le numéro de sa chambre d’hôtel, avant d’y pénétrer sans son autorisation. « Je ne lui avais pas du tout donné de signe, ni mon numéro. J’ai senti qu’il y avait un problème. Il ne m’a pas touchée mais ce pouvoir-là, qui fait qu’un homme peut entrer dans ma chambre sans me demander, j’avais trouvé cela hyper bizarre et malsain ».

Un pseudonyme dit que PPDA l’a rencontré dans sa chambre.

Une autre femme, Marjolaine, avait déclaré en 2009 sur la radio Hit et sport : « PPDA ? Il est spécial… Ben il est un peu chaud quoi. Il a un peu la réputation de draguer tout ce qui bouge. Oui, PPDA m’a draguée. Il m’a fait le plan de « Ca te dirait de venir manger un bout chez moi ? ! » J’ai dit non. Il a appelé deux trois fois mais, comme je ne répondais pas, il a laissé tomber. C’était il y a quatre-cinq mois. »

Un autre pseudonyme dit que PPDA l’a appelé deux fois.

Ces témoignages de drague lourde constituent déjà des alertes, mais d’autres sont plus graves. Une journaliste a témoigné auprès de 20 Minutes avoir eu une proposition de stage en échange d’un acte sexuel. Une autre personne décrit une scène de même acabit sur Twitter : « En 2002, j’ai eu un entretien surréaliste avec #PPDA. Jeune journaliste, il m’a fait venir assister au JT en plateau. Toujours impressionnant la 1re fois. Puis entretien dans son bureau. Cordial au début, un peu parlé du poste pour lequel j’étais là, puis venant de nulle part il me demande si je suis avec quelqu’un. Ma réponse a été sèche. Il m’a dit que le poste n’était plus à pourvoir. Voilà comment PPDA fait passer des entretiens d’embauche », écrit-elle.

Un pseudonyme de journaliste dit que PPDA lui a demandé si elle avait un mec.

Toujours sur Twitter, les témoignages continuent d’affluer, évoquant des mises en garde et des comportements déplacés. « J’ai 23 ans, je suis chargée de le maquiller pour un plateau TV à Cannes, il effleure mon corps à plusieurs reprises évoquant la maladresse et la tentation trop forte », raconte l’une.

Une maquilleuse avec un pseudonyme dit que PPDA a « effleuré » son corps.

Des témoignages qui s’ajoutent à ceux collectés par nos confrères du Parisien, qui rapportent des faits d’agressions sexuelles et de tentative de viol par témoignage indirect. Et qui décrivent un petit monde de la télévision, où cette affaire « ne surprend personne ». Selon un haut dirigeant de TF1 de l’époque, cité par le journal, « aucune affaire de harcèlement contre PPDA n’a jamais été signalée aux ressources humaines ».

« Tentative de viol par témoignage indirect ».

Selon nos informations, la direction des ressources humaines était bien au courant d’agissements problématiques de la part de son présentateur vedette. Anne*, journaliste arrivée à TF1 en 2008, raconte avoir entendu des mises en garde à son sujet dès son arrivée dans la chaîne : « Quelqu’un de la DRH m’a reçu pour me remettre mon badge et m’a dit « On a un problème avec PPDA, je vous recommande de ne pas prendre l’ascenseur [avec lui], on a des soucis avec les femmes ». Je peux affirmer que c’était de notoriété publique, que la direction de TF1 était au courant. Elle m’a aussi dit qu’une « enquête » était en cours à l’époque. » Plusieurs journalistes contactés par 20 Minutes rapportent avoir eu vent de cette enquête en cours.

Le pseudonyme Annie dit qu’on lui a dit de ne pas prendre l’ascenseur avec PPDA.

Le torrent de « témoignages » bidon de ce genre dont nous abreuvent les médias du système est trop étroitement synchronisé pour ne pas être le fruit d’une campagne de terreur féministe. Vous sentez, rien qu’en les lisant, que ce sont des pétasses de rédaction totalement hystériques qui les écrivent.

La réalité est différente : 99% de ces « témoignages » sont le fait de garces qui auraient tué père et mère pour coucher avec le mâle alpha de leur profession mais qu’il n’a jamais remarqué qu’elles existaient. Le 1% restant est composée de mythomanes qui veulent de l’argent.

Ces femmes ont besoin d’être remises à leur place – et rapidement.

Si les choses continuent comme ça, c’est tout l’ordre social qui s’effondrera. Une société fonctionne sur la confiance. C’est la confiance qui permet de réaliser des projets car il faut un certain degré de prédictibilité pour créer quelque chose. Partout où se trouvera une femme, il lui suffira de lancer une accusation pour déclencher une grave crise dans la direction d’une entreprise, d’un parti politique, d’une association ou de n’importe quelle organisation.

Ces femmes hystériques sont en train de tout rendre imprévisible.

Elles ont reçu le feu vert pour être des bombes complotistes ambulantes. Car ces accusations ne sont rien d’autres que des théories complotistes.

C’est une attaque contre la civilisation elle-même. Cette attaque est rendue possible parce que le féminisme, en tant qu’idéologie officielle du système, offre l’impunité aux femmes tout en érigeant la présomption de culpabilité contre les hommes.

Le seul moyen d’y mettre un terme est de châtier en public les garces manipulatrices qui mentent de cette façon. En les tondant d’abord, en les flagellant ensuite puis en les exposant à la vindicte populaire pendant des semaines.

La terreur est le seul moyen de conjurer la folie ovarienne qu’on appelle le féminisme.

Il faut agir vite.

Le pilori est la seule solution.

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