La rédaction
Démocratie Participative
03 avril 2023
Le plus grave, c’est qu’elle n’a pas de seins
Cette traînée stupide va pouvoir consacrer son temps à se défoncer en soirée.
La Première ministre finlandaise Sanna Marin a reconnu sa défaite, dimanche, à l’issue de législatives serrées qui ont vu le parti de centre-droit de Petteri Orpo arriver en tête. De son côté, le parti d’extrême droite a battu son propre record.
Le chef du centre-droit a remporté dimanche 2 avril les élections législatives en Finlande et doit remplacer la Première ministre sortante Sanna Marin, au terme d’un scrutin très serré où les nationalistes, qui pourraient entrer au gouvernement, ont atteint un record.
« C’est une grande victoire », a lancé Petteri Orpo, un ancien ministre de 53 ans, sous les acclamations de ses partisans. « Nous allons commencer les négociations pour un gouvernement en Finlande », a dit celui qui a désormais la possibilité de nouer une alliance vers la gauche avec Sanna Marin ou avec le parti anti-immigration et eurosceptique des Finlandais de Riikka Purra. Petteri Orpo avait fait la course en tête des sondages durant la campagne avant de voir son avance fondre dans le sprint final.
Les États-Unis vont essayer de faire comprendre à ce Petteri Orpo qu’il a besoin d’une femme forte et indépendante dans sa coalition pour lutter contre les racistes et le manque de diversité en Finlande.
La femme Von der Leyen aussi.
Ce type est une groupie de Zelensky. Rien ne changera donc fondamentalement, mais c’est une bonne nouvelle que de voir cette idiote névrotique de Marin dégager du paysage.
Ces femmes alpha spammées partout par les médias de Davos sont insupportables.
Moins il y en a, mieux c’est pour les nerfs de tout le monde.
Selon des résultats quasi-définitifs portant sur plus de 98 % des suffrages, le parti de la Coalition nationale arrive en tête avec 48 des 200 sièges du Parlement, devant le parti des Finlandais (46) et les sociaux-démocrates (43). Les écarts en voix sont tout aussi ténus : 20,8 % pour le centre-droit, 20,1 % pour l’extrême droite, et 19,9 % pour le SDP de Sanna Marin.
Malgré une progression par rapport aux élections de 2019, Sanna Marin a reconnu sa défaite. « Félicitations au vainqueur des élections, félicitations à la Coalition nationale, félicitations au parti des Finlandais, la démocratie a parlé », a-t-elle dit. Le candidat du parti arrivé premier hérite traditionnellement du poste de Premier ministre en Finlande, à condition de pouvoir réunir une majorité au Parlement.
Les trois partis progressent par rapport aux dernières élections de 2019, dans une bataille à trois qui a éclipsé les résultats des autres formations. Installé depuis plus de 20 ans dans la vie politique finlandaise, l’extrême droite a battu son record de 19,05 % remontant à 2011, dans le sillage de la vague populiste qui traverse l’Europe ces dernières années.
Le problème qu’ont les Finlandais, comme les Européens en général, c’est que leur « extrême-droite » est ultra-vaginale, donc impotente.
Comme en France ou en Italie, c’est une femme sûre d’elle et dominatrice qui tient la boutique.
Saluée aux cris de « Finlande ! Finlande ! », Riikka Purra s’est elle félicitée devant ses supporters du « meilleur résultat électoral » de l’histoire du parti d’extrême droite. La dirigeante nationaliste de 45 ans s’est même offert le luxe de rallier le plus grand nombre de voix sur son nom, avec environ 38 000 contre 35 000 pour la populaire Sanna Marin.
« Dirigeante nationaliste »
Non.
Si elle approchait quelque ministère d’influence, ce serait pour exiger hystériquement une guerre apocalyptique contre la Russie parce que les juifs et leurs médias disent que c’est le dernier truc à la mode.
On en a déjà assez avec l’Italie.
« Nous n’avons pas de parti d’extrême droite en Finlande », a toutefois assuré Petteri Orpo devant la presse étrangère, alors qu’une alliance avec les nationalistes est jugée probable.
Ces élections législatives dans le pays de 5,5 millions d’habitants coïncident avec l’entrée officielle du pays frontalier de la Russie dans l’Otan, attendue dans les prochains jours.
Populaire à l’étranger comme en Finlande, Sanna Marin s’est imposée comme une « Première ministre rock star » mais elle divise davantage dans son pays, où elle a été critiquée sur les finances publiques et l’inflation. Les hommes sont surreprésentés dans l’électorat de droite, tandis que les femmes votent davantage à gauche et pour Sanna Marin.
Quelle surprise. Les femmes votent pour des femmes parce qu’elles ont une chatte.
Cette garce vegan s’est fait connaître pour une seule chose : s’éclater en soirée pendant que sa gamine en bas-âge était à la maison.
Comme le cheval néo-zélandais Ardern, elle plaisait aux traînées occidentales parce qu’elle essayait d’incarner la femme aux commandes qui « remet les hommes à leur place ».
Les médias de Davos faisaient le reste en la divinisant.
Comme pour l’horrible Meloni, une cohorte de simps de droite n’a pas pu s’empêcher de nous vendre cette catin parce qu’ils fantasmaient dessus, faute de pouvoir toucher des femmes en vrai.
Une planche à pain avec des hanches de mec.
Faut-il souffrir de famine.
Plus jeune cheffe du gouvernement au monde lors de son arrivée au pouvoir fin 2019, elle a été saluée pour sa bonne gestion de la pandémie de Covid-19 et du processus d’adhésion à l’Otan, et pour ses prises de position contre la Russie voisine.
L’économie a été l’angle d’attaque principal de l’opposition, qui dénonce notamment la hausse de la dette publique. L’extrême droite a elle fait campagne sur la délinquance juvénile, liée selon elle à l’immigration.
*selon elle
*l’AFP
La formation d’un gouvernement prend traditionnellement plusieurs semaines, voire des mois. Sanna Marin devrait donc assurer l’intérim la semaine prochaine lorsque la Finlande va officiellement adhérer à l’Otan. L’élection ne change rien du point de vue de l’alliance militaire : tous les grands partis, y compris les Finlandais, y sont désormais favorables depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Ce petit pays veut une guerre totale contre la Russie et les juifs à la tête de l’OTAN sont très enthousiastes à l’idée d’utiliser les golems finlandais comme chair à canon.
Peu importe quel goy est désigné pour signer la paperasse, c’est la seule politique que ce petit état peut mener, d’autant qu’il est maintenant fermement tenu en laisse par le Pentagone grâce à la femme blanche au regard psychotique Sanna Marin.
Mais au moins, Sanna Marin pourra faire une photo au QG de l’OTAN et dire à Poutine qu’il est un sale machiste.