Captain Harlock
Démocratie Participative
16 octobre 2019
Peut-être qu’en recréant du lien social pour faire vivre notre pacte républicain, le vivre ensemble permettra de ne pas finir égorgés tout de suite. Non ?
Ces 40 dernières années de vie politique française, les politiciens nous ont expliqué qu’il nous fallait de l’immigration du tiers-monde pour améliorer notre société, la rendre plus authentique et solidaire, dynamique économiquement, riche de ses différences, loin du racisme, de la France rabougrie et rance du passé.
Si par hasard il advenait que ce ne soit pas le cas, vous l’avez dans le cul parce que si vous voulez faire marche arrière, vous serez tous égorgés.
C’est le deal de Macron.
Devant des proches, Emmanuel Macron a mis en garde contre les « amalgames entre les questions d’immigration, de radicalisation, de communautarisme et de laïcité« , selon les informations recueillies par franceinfo auprès de l’Elysée mercredi 16 octobre. Le président de la République a indiqué « qu’un tel amalgame conduirait à la guerre civile ».
L’Elysée souligne qu’Emmanuel Macron veut absolument éviter « la stigmatisation ». On indique également, du côté de l’Elysée, que certains propos récents émanant de l’opposition, comme l’interview de Xavier Bertrand dans le JDD relèvent de la « faute morale ». Xavier Bertrand évoquait une « guerre de civilisation » et l’islamisme qui « gangrène le pays ». Pour Emmanuel Macron, « une ligne jaune été franchie par certains leaders de l’opposition ».
Le président demande aujourd’hui au ministre de l’Intérieur de poursuivre le dialogue avec l’Islam de France, au plan local et national. Il demande aussi au gouvernement de réaffirmer ce qui a été fait sur la question de la lutte contre la radicalisation et le communautarisme, qui à ses yeux représente « une forme de séparatisme ». Selon Emmanuel Macron, cela doit conduire à une vigilance particulière pour les municipales sur l’expression du communautarisme pouvant s’apparenter à du « séparatisme social ».
Tout est social en France. Surtout quand c’est racial.
Quand vous entendez le mot « social », c’est que vous allez passer à la caisse, cher contribuable.
Ce qui est sûr, c’est que l’état bourgeois ne veut certainement pas d’une guerre civile. C’est mauvais pour le commerce et nos créanciers juifs ont des dettes à recouvrir.
Le système va donc continuer à faire ce qu’il fait depuis un demi-siècle : rien. Ou plutôt si, la même chose, en pire, c’est-à-dire de la gestion de niches électorales avec des discours clientélistes de plus en plus contradictoires à mesure que la composition même du peuplement de la France devient hétérogène.
De toute façon, le djihadisme est un phénomène insignifiant en France.
Ce qui a des répercussions stratégiques colossales, c’est l’invasion migratoire massive, islamique ou non, qui dénature démographiquement le pays au point d’en faire, d’ici 30 ans, une sorte de synthèse entre l’Afrique du Sud, le Brésil, la Syrie et la Yougoslavie.
On peut vivre, disons survivre dans ces pays. Des hominidés le font.
C’est juste que cela ne correspond pas à ce que nous attendons, en tant que Blancs, d’une société fonctionnelle qui soit de nature à offrir à chacun de ses membres un avenir.
Ce que nous dit Macron, c’est que le contrat que personne n’a signé ne peut pas être résilié, sauf à vous faire couper les bras et les jambes par Toufik, Omar et Adbelkader, ces braves types innocents que tout le monde veut comme gendres.
En tout cas à la télé, chez Patrick Cohen, tout le monde veut que vous ayez ces gars-là pour gendres.
Le cœur de cet état est bien trop putréfié pour générer autre chose que de la pourriture lente.
Les baiseurs de beurettes, les préfets négrifiés au quart, les commissaires politiques juifs, les métèques haineux de toutes les couleurs, les cervelles fossilisées de la Troisième République, les vaincus, les syndiqués, les pédés, les névrosés, les rentiers ne sont pas exactement des candidats à la croisade.
Juste pour situer : le pédé Odoul avec son histoire de voile est devenu le problème d’un pays où les flics des renseignements se font exécuter par les djihadistes.
C’est le niveau de soumission que la France « laïque » a atteint.
Dans une démocratie juive, tout le monde regardent les politiciens et les politiciens regardent tout le monde. Il ne se passe rien, jamais. La boutique a pour politique sa propre pesanteur.
On commencera à faire un pas dans la bonne direction quand on comprendra que la démocratie avec ce concept absurde du 50+1 est une saloperie juive à détruire, pas avant. Ce qui laisse suffisamment de temps pour que ce bordel prenne des proportions dantesques.
La grande inquiétude de cette bourgeoisie dégénérée, c’est qu’il finisse par se passer quelque chose. Historiquement, il se passe quelque chose quand des gens meurent.
Il n’y a pas un état, une révolution, une guerre, une grande idée qui n’ait réclamé son dû en mètres cube de sang. Même cette grosse république se flatte d’avoir été fondée sur la décapitation d’un chef de l’état.
Alors pour résumer le paradigme : il vaut mieux manger qu’être mangé et ça ne se décide pas aux termes d’élections cantonales.