Captain Harlock
Démocratie Participative
08 octobre 2019
Saint Harpon, patron des policiers français
Les miracles pleuvent. J’en ai les larmes aux yeux.
L’enquête sur les agissements de Mickaël Harpon, le tueur de la préfecture de police, est à la mesure de l’onde de choc provoquée par ce drame dans les rangs policiers. Et depuis jeudi, les investigations confiées à la brigade criminelle et à la DGSI lèvent chaque jour un peu plus le voile sur la radicalisation de cet agent administratif, en poste au service informatique de la direction du renseignement de la préfecture.
Selon nos informations, parmi les éléments trouvés à son domicile de Gonesse (Val-d’Oise), figure notamment une clé USB, contenant des fichiers informatiques avec de nombreuses vidéos de propagande de Daech.
Plus inquiétant, Mickaël Harpon avait stocké sur le même périphérique USB des coordonnées et des données personnelles correspondant à plusieurs dizaines de ses collègues de la préfecture de police. Sans que l’on sache, pour l’instant, s’il les a extraites lui-même, ou s’il en disposait dans le cadre de ses fonctions habituelles. Les enquêteurs cherchent surtout à savoir s’il avait l’intention de les communiquer à des tiers, ou de s’en servir à d’autres fins.
« Rétrospectivement, ça fait tout de même froid dans le dos, souligne l’un de ses anciens collègues, résumant le sentiment général. On savait qu’il disposait de l’un des plus hauts niveaux d’habilitation de la préfecture. Ça veut dire qu’il était en capacité de savoir tout ou presque des agents qu’il côtoyait au quotidien. »
Au-delà, Mickaël Harpon était en contact très étroit avec un prédicateur musulman, connu des services de renseignement pour être salafiste, dont les autorités considèrent qu’il prônait une pratique très rigoriste de sa religion. Des contacts qui remontent à quelques mois.
« Pour autant, rien ne dit que ça a précipité son passage à l’acte, prévient une source proche du dossier. Ni que cette personne était elles-mêmes dans une démarche visant à concrétiser une action violente. »
Les flics perdent tout ce qu’ils savent.
Les voilà totalement largués en train d’essayer de savoir ce que le nègre républicain « le plus hautement habilité » a pu répandre d’informations ici et là, dans les mosquées d’IDF.
Mais rien n’est perdu, ils s’en remettent à leur dieu : le nègre.
Un agent de la Préfecture de police ordonné diacre #Société https://t.co/38i55B7h1H
— Le Figaro (@Le_Figaro) October 7, 2019
Ha !
Cette police républicaine est foutue.
« Sortez de mes mentions les racistes, j’ai un ami martiniquais »
Abu al Tipunch
Peu importe le temps que ça prendra pour que le désastre soit consommé, l’infection mentale est trop avancée.
Ces flics sont condamnés à tourner en rond dans le bocal des abstractions républicaines juives tout en redoublant dans l’antiracisme pathologique, à genoux devant leur divinité.
Pour ce qui concerne notre djihadiste martiniquais, les flics ne sauront jamais exactement ce qu’il a collecté, depuis combien de temps ni ce qu’il a dit et à qui.
Les musulmans fonctionnent essentiellement au bouche-à-oreille, à l’ancienne. Pareil pour le liquide, etc.. Donc, avant de remonter quoique ce soit, les intéressés auront déjà pris leurs dispositions.
Ce nègre adhérait à la cause du Califat global depuis l’attentat de Charlie Hebdo en 2015, cela fait donc au moins cinq ans qu’il collecte patiemment des informations, les transmet, etc., permettant à divers djihadistes de passer entre les mailles du filet, d’établir l’organigramme de l’antiterrorisme français, de faire ses listes noires, etc..
Et puis c’était un sourd. C’est-à-dire qu’en plus de l’autisme atavique des nègres, de la couche supplémentaire d’autisme qu’induit une conversion à l’islam, ce type vivait dans sa bulle avec ses ordinateurs. Pomper toujours plus d’infos est devenu une sorte de hobby autistique en tant que tel, la soif de sang blanc aidant.
Ce mulâtre d’Allah est sûrement passé à l’attaque une fois toutes les infos possible déjà collectées ou alors parce que les suspicions récentes de ses collègues étaient devenues trop fortes.
Comme pour l’affaire Benalla, la clique judéo-macroniste qui contrôle la PP n’a qu’une seule priorité : noyer le poisson pour sauver la bande au pouvoir.
La youpine Yaël Braun-Pivet va s’en charger à l’occasion d’un énième numéro de cirque parlementaire.
? La Délégation Parlementaire au Renseignement contrôle l’action du gouvernement en matière de renseignement. Nous auditionnerons @CCastaner demain pour comprendre ce qui s’est passé à la #Préfecture et comment améliorer nos procédures pour éviter une nouvelle tragédie #RFIMatin pic.twitter.com/OSoNUwkpsl
— Yaël BRAUN-PIVET (@YaelBRAUNPIVET) October 7, 2019
Castaner n’a aucune intention de démissionner, ni le bras droit à faciès de passeur mexicain qui l’accompagne tout le temps.
J’ai entendu les propos de messieurs @ECiotti ou @GLarrive.
J’ai oeuvré pour les services de renseignement, à la tête de la DGSI, et je considère que ces personnes ne sont pas qualifiées pour nous donner des leçons.
Ils polémiquent. Nous, nous sommes en responsabilité. pic.twitter.com/Apiign7wru— Laurent Nunez (@NunezLaurent) October 6, 2019
Cette équipe de branques a laissé se produire le plus gros fiasco du renseignement intérieur depuis des lustres et ils continuent de parader sur les plateaux télés.
Enfin bon, au point de déliquescence où on en est, ça ne change plus rien. Ils peuvent remplacer qui ils veulent, l’IDF restera une flaque de chiasse afro-maghrébine truffée de cellules djihadistes, de mosquées radicales, de candidats à l’attentat-suicide, de migrants recrutés ou recrutables pour 100 euros de la semaine. Toute cette faune ne rêvant que d’une chose : égorger du Français en toute impunité.
Xavier Raufer a évoqué le point le plus intéressant et le plus pertinent : la réaction des services étrangers devant cet accomplissement républicain à base de nègres des îles et de coran.
Les Polonais, les Hongrois et les autres doivent en effet se dire que parler un peu trop aux services de renseignement de la France diversifiée et tolérante de 2019 est un exercice qui comporte quelques risques.
Comme celui de voir certains de leurs agents égorgés dans une pissotière parisienne par des bougnoules.
La DGSI a donc vocation à être traitée comme un service de renseignement d’un état musulman, à l’instar du MIT turc ou de l’ISI pakistanais. Ce qui suppose une certaine distance de courtoisie entre Paris et Varsovie, Budapest et tous les états blancs d’une manière générale.
Le centre de la DGSI est installé dans le Paris pittoresque
Le classement de la DGSI parmi les agences de renseignement mondiales va probablement suivre celui de Paris pour la propreté des capitales et celui de Roissy-Charles De Gaulle pour le niveau d’hygiène et de confort des aéroports internationaux.
Recrutant dans les masses du tiers-monde, la DGSI a vocation, à terme, à être aussi efficace que les services secrets soudanais.
A aucun moment ces gens ne se sont dits que s’ils importaient dans leurs rangs des métèques, ils se retrouveraient avec une guerre raciale interne sur les bras.
Si d’aventure vous vous dites, « il va y avoir une réaction ! », je peux confirmer : vous allez assister à la plus agressive campagne de recrutement de nègres et d’arabes de banlieue que vous n’avez jamais vu. A tous les niveaux, tous les étages, dans un chaque bureau.
Mais attention : des nègres et arabes fidèles aux valeurs de la République.
Ce n’est pas une difficulté car personne ne sait exactement ce que sont les valeurs de la République.
Des affiches du dieu à narines béantes glorieusement étalées dans tous les locaux, le regard colérique, voilà ce qui est prévu.
J’aime autant vous dire que ça va redoubler d’efforts pour casser du facho, histoire de faire taire les esprits chagrin.