Captain Harlock
Démocratie Participative
28 février 2021
Oh non, non, non
Puisque nous commémorons les 50 ans de la disparition de Fernandel, le plus marseillais des Marseillais, je reviens sur un scoop qui n’en est pas du tout un : le nombre de mahométans dans cette ville perdue pour la France qu’est Marseille.
France 3 Alpes Provence Côtes d’Azur :
A Marseille, la communauté musulmane compte environ 300.000 membres selon Abderrahaman Ghoul vice-président du conseil régional du culte musulman (CRCM) de Paca.
« 80% des musulmans pratiquent le ramadan, c’est le moment de spiritualité le plus fort de notre année religieuse », estime Abderrahaman Ghoul. Et pourtant, pour l’essentiel de la communauté, il aura une saveur particulière cette année.
Les musulmans ne représentent pas la totalité de la population immigrée de cet ancien port colonial. Il y a également une portion non négligeable de nègres animistes ou chrétiens qui prolifèrent dans cette ville aux allures de promesse. Sans parler des pakistanais, des afghans et des représentants d’autres ethnies obscures venues des quatre coins du globe.
J’aime bien donner de la profondeur historique à ce genre de chiffres.
Le 141ème régiment d’infanterie, août 1914, dans les rues marseillaises. Jamais marche à l’abîme n’avait été si joviale.
Une foule aussi blanche que française acclame les soldats du régiment qui partent pour la guerre.
Des Provençaux tout ce qu’il y a de provençal.
Cela fait bizarre, me direz-vous, car le Provençal de nos jours est souvent confondu avec ça :
C’est qu’entretemps il s’est passé des choses.
Le 141ème RI, en février et mars 1916, est expédié à Verdun par la République.
Le récit de la mise à mort des derniers Provençaux :
Le régiment tient le mamelon d’Haucourt et le front Mallancourt Bethencourt. Sa mission tient en un mot « Tenir. »
Le 10 mars commence le calvaire le plus dur, le plus angoissant qu’on puisse infliger à une troupe, et sans exemple dans l’histoire de cette guerre. Pendant 33 jours, sans trêve ni repos, avec quelques brefs intermèdes qu’il faut mettre à profit pour réparer les destructions opérées, le régiment est soumis à un bombardement sauvage, atteignant souvent une violence inouïe.
Implacablement, les 305, les 210, les 105 s’abattent sur les défenseurs du mamelon d’Haucourt, des ouvrages de Palavas, Payron, Bec de Gaz. Les tranchées sont nivelées, les bois déchiquetés, les boyaux effondrés, les abris écrasés ; mais le moral des Poilus, vivifié par l’exemple des grands chefs comme le lieutenant-colonel CORD’HOMME, le capitaine SPIEZ, le capitaine COMBALOT, ne connaît ni trouble, ni défaillances.
Bien plus, ces hommes soumis à une épreuve si rude iront à l’attaque avec une fougue inouïe.
Le 10 mars, le bataillon SPIEZ est alerté.
Dans la nuit du 10 au 11, il va se masser sur les pentes ouest du Mort-Homme, à proximité de la route Béthincourt-Esnes.
Le 12, il reçoit la mission de rétablir la liaison entre Béthincourt et le Mort-Homme, en s’emparant du boyau Béthincourt-Chattancourt. A 4heures 45, le bataillon se lance à l’attaque avec un brio magnifique. Au milieu du crépitement des mitrailleuses, des éclatements de grenade, les compagnies chargent, brisant les résistances acharnées des groupes ennemis, s’installent sur leurs objectifs.
Nos Marseillais devaient charger contre ça :
Et ils ont chargé sans cesse, jour après jour, se faisant hacher par une pluie d’acier.
Mais l’épreuve la plus dure commence pour ces braves.
Abrités dans des tranchées de 40 centimètres, ils subissent toute la journée un bombardement extrêmement violent d’obus de gros calibre. Ils s’accrochent au sol et en gardent la possession pendant plus de quarante heures, jusqu’à la relève.
Le 20 mars, l’ennemi s’est emparé de la plus grande partie du bois de Malancourt, tenu par des troupes amies. Le P.C. de la 57e brigade tient encore, il suffit de le dégager.
La 5e et la 8e compagnie font partie du détachement mixte commandé par le chef de bataillon DE LA POMMELY, du 121e R.I., chargé de dégager le bois de Malancourt. Elles constituent la première vague d’assaut. Sous les rafales de mitrailleuses, les compagnies pénètrent dans le bois, chassent les groupes ennemis et ne s’arrêtent que devant des réseaux infranchissables.
Le sous-lieutenant SALLE, qui commande la 8e, est frappé à mort devant les fils de fer.
Le 21, elles s’installent à 300 mètres de la lisière sud du bois, organisent la position, brisent une forte attaque ennemie qui tentait de déboucher du bois.
Enfin le 22, à 7 heures, le bombardement du mamelon d’Haucourt, de Malancourt, recommence avec une violence inconnue jusqu’alors (25 à 30 coups de 210 à la minute).
La souffrance des défenseurs est affreuse.
Les ravitaillements font défaut ; les boyaux nivelés sont jonchés de morts.
A 11 heures, l’artillerie allonge son tir, l’infanterie ennemie, débouchant sur tout le front Buisson PolyteTranchée du 6 décembre, attaque à la fois les faces nord et ouest du mamelon d’Haucourt.
Les vagues ennemies qui débouchent sur la Caponnière sont fauchées par les mitrailleuses de la tranchée 13. Celles qui partent de l’ouvrage d’Avocourt, malgré les feux de mitrailleuses de la tranchée 30, réussissent à prendre pied dans nos premières lignes ; mais les troupes teutonnes viennent se briser sur le réduit P défendu avec une farouche résistance comme une mer qui déferle sur des rochers. A 16 heures, le flot envahisseur submerge les survivants du réduit et réussit à s’en emparer ; mais son attaque est brisée, il ne poursuit pas au-delà son avantage.
Le 23, le régiment est retiré de la bataille. Les pertes sont douloureuses. 600 hommes hors de combat (tués, blessés, disparus).
De nos jours, la cote 304 est très jolie.
Il y a 100 ans, c’était une autre ambiance.
Des survivants ont peint les scènes sur la cote 304.
Concassés par des mois de bombardements continus, les Marseillais sont devenus une sorte de pâte amalgamée à de la ferraille et à des résidus de gaz toxique sur laquelle a fini par pousser un bois de pins. Il n’y a pratiquement pas âme qui vive autour, plus personne en France ne sait qu’ils ont existé.
Il suffit cependant de se glisser sous les arbres pour deviner que de bien vilaines choses se sont passées là.
Entretemps, la République a veillé à ce que la destruction des Marseillais ne soit pas vaine.
Le lieutenant Escursan, cité à l’ordre de la IIème Armée, ne sait pas encore ce qui se trame, il est enfoncé dans la boue et le froid en plein hiver 1916, face à des masses immenses de troupes germaniques montant à l’assaut. Il a la foi.
« Le 11 mars 1916, au cours d’une contre-attaque, après avoir enlevé brillamment la première ligne, a porté sa compagnie sous un feu des plus meurtriers jusqu’à 50 mètres de la deuxième position ennemie, s’est accroché au sol et s’est maintenu sur place malgré l’intensité du bombardement. Le chef de bataillon étant tombé, a pris le commandement du bataillon qu’il a maintanu sur les positions conquises pendant deux jours. »
Le lieutenant Escursan ne pouvait pas deviner que lui et ses gars étaient en train de sortir de la page de l’histoire.
Méthodiquement employés comme ciment humain sur les pentes gelées de la cote 304, la Gueuse s’activait à faire d’une pierre deux coups.
Les médias juifs, en célébrant Fernandel, se paient une dernière fois la tête des derniers débris humains de la Provence d’antan.
Hilares, les juifs de rédaction exhibent ça sous le nez des nègres ahuris et des bougnoules enfiévrés de France et de Navarre. « Regardez un peu le spécimen de Français de jadis, véritable Diable de Tasmanie tout empaillé, archivé, mis en images ! C’était marrant cette espèce là ! Il n’y en a plus ! »
On rend hommage à l’acteur-chanteur marseillais, 50 ans après sa mort#Marseille #Fernandelhttps://t.co/xSiaIUurFT
— La Provence (@laprovence) February 26, 2021
Pour les juifs, c’est toute la France qui doit finir comme Marseille. Pas un village qui ne doive subir la colère de Yahvé.
Comme Fernandel, on laissera les monuments aux morts au milieu des places et les maires républicains expliqueront aux élèves Boubacar et Abdelkader que ces sales Blancs sont morts pour que la République puisse donner la France à l’Afrique.
Les poilus ne s’y attendaient pas
Les juifs diront aux derniers Blancs que si les anciens de 14-18 étaient encore là, ils auraient tous leurs cartes à la LICRA et reprendraient leurs fusils pour nous assassiner.
Tel quel.
Bref, il y a des nostalgies simulées qui sont toujours des mauvaises nouvelles.