Captain Harlock
Démocratie Participative
09 août 2018
La chaîne de télévision djihadiste Al Jazeera a trouvé des alliés de circonstance pour promouvoir l’invasion totale de la France, y compris dans les communes les plus reculées.
Comme ici dans la Creuse, à Faux-la-Montagne, sur laquelle s’étend une partie du plateau des Millevaches et où un communiste a récité son topo devant un planton de gendarmerie pour les besoins des caméras qataries.
Le village de Faux-la-Montagne nous a donné la définition de la Fraternité, en bravant les gendarmes pour éviter l’expulsion d’un exilé soudanais. Et devinez qui a gagné ? ✊?✊?✊? pic.twitter.com/QL9Ju60ns5
— AJ+ français (@ajplusfrancais) 7 août 2018
Comme vous le savez, les juifs ayant constitutionnalisé l’organisation de l’infiltration, la vermine rouge peut désormais agir en toute impunité.
Cette fameuse commune de Faux-la-Montagne est une véritable enclave communiste. Elle est située dans la Montagne limousine où opèrent des centaines de crasseux anarcho-marxistes. La Gendarmerie y est régulièrement ciblée.
C’est aussi sur ce plateau que se trouve Tarnac, un autre repaire anarchiste où se planquaient la juive communiste Yldune Lévy et Julien Coupat, animateur d’une revue intitulée « Tikkoun » et qui fait éditer ses livres par le juif Eric Hazan.
Comme pour d’autres villages, elle a été progressivement subvertie par des activistes d’extrême-gauche à partir des années 80 afin d’en faire une base arrière.
C’est par le même procédé que la Vallée de Roya, à la frontière franco-italienne, est tombée sous l’emprise des anarcho-marxistes dont Cédric Herrou est le leader.
Progressivement, toute l’économie de la commune a été bolchevisée. La principale entreprise est en fait un kolkhoze spécialisé dans la vente de bois. La municipalité rouge s’emploie à acheter tout ce qui peut être utile sur son territoire pour ensuite sous-traiter les services à des militants dûment cooptés.
Le résultat est sans appel : solidement organisés avec un maire issu de leurs rangs, les anarcho-marxistes constituent une minorité omnipotente. Aux élections, environ 40% de la population ne vote plus. Sur le reste, la moitié est constituée de communistes purs et durs.
Cette commune de 400 habitants compte, en réalité, une grosse centaine de rouges. Mais le reste est divisé et inorganisé et n’a donc aucune chance de changer la donne.
Sans compter que cette vermine, en lien avec les réseaux marxistes de la région et au delà, peut rapidement déployer des dizaines d’agitateurs en renfort en cas de besoin.
C’est pourquoi ce bourg perdu peut faire la une d’innombrables articles, à tout propos, depuis des années sans que le quidam ne se doute de la nébuleuse qui se cache derrière.
France 3, d’obédience communiste, peut faire la promotion des soirées came organisées avec l’aval du soviet local.
Dites-vous bien que les rouges touchent une part sur toute la vente de dope organisée lors de ces événements.
Quand un de leurs militants, recrutés par le biais de leur structure collectiviste, n’est pas repris par une entreprise d’état, la presse déclenche soudainement des campagnes d’agitation.
Ce soviet ne se limite d’ailleurs pas aux clandestins soudanais : elle planque des activistes communistes du PKK déguisés en « réfugiés ». Et là encore, au moindre mouvement des autorités locales, s’agite avec l’appui de la presse.
Le bilan pour le reste de la population est simple : la commune est en faillite et les impôts flambent. Mais bien sûr, isolés et terrorisés, les habitants ne peuvent rien faire.
La Milice nous manque.