Le Libre Panzer
Démocratie Participative
15 juin 2018
Lorsque vous laissez les juifs s’installer dans votre pays, très rapidement ils le font plonger dans la guerre civile permanente, jouant telle faction contre telle autre, tel parti contre tel autre, sans que l’Aryen ne comprenne la finalité de ses desseins.
« Ce pour quoi nous luttons, c’est une société où Médine a le droit de chanter au Bataclan »@Enthoven_R au micro de @LeaSalame #le79Inter pic.twitter.com/iMIoXjNw3X
— France Inter (@franceinter) 14 juin 2018
Le juif présente toujours ses prises de position les plus décousues comme une sorte de liberté de ton et d’irrévérence qu’il justifie au nom de tel ou tel « engagement » moral voire d’une fantaisie qu’il présente comme innée.
Le juif s’amuse de voir la plèbe aryenne avachie ne pas suivre le fil de ses saillies, s’attarder sur l’avant-dernière alors qu’il est déjà juché sur une nouvelle provocation, plus baroque encore.
Il lance ses raids de cavalerie, monté sur sa presse dont le grotesque de l’attelage dénote toujours la génétique de souk.
Le #partiunanime n’est pas le camp d’une seule opinion, mais le club des gens qui vous enferment dans une identité à la seconde où vous n’avez pas la même opinion qu’eux.
C’est un despotisme sournois, à l’abri des règles, à combattre inlassablement. https://t.co/eU9xISDpk9— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 7 juin 2018
Et toujours, bien sûr, la c’houtzpah.
Le juif Enthoven, outre le fait qu’il ait baisé la femme de son père, dans la tradition endogame tribale dont a bien parlé Hervé Ryssen, peut ainsi vendre du papier pour dénoncer les « censeurs » antiracistes.
Le credo du #partiunanime
« Faute de vous faire taire, on vous fait dire ce qui nous arrange » pic.twitter.com/FzW6SGG8ot— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 7 juin 2018
Et, dans le même temps, convoquer le tribunal rabbinique pour persécuter tous ceux qui s’amusent des affres de sa pauvre tribu.
Le juif affiche donc, en permanence, ce regard amusé et goguenard du truqueur jouant avec sa victime, la désorientant sans arrêt comme le chat avec une souris. Car l’Aryen, pour qui la vérité est essentielle, croit naïvement que le juif lui délivre un message fondé sur cette même recherche de vérité.
Le juif use particulièrement de ses effets de manche, comme les astrologues, en direction des femmes pour lesquelles le mystère et l’inexpliqué résonne comme la preuve étincelante d’une vérité tangible mais inaccessible que le juif peut leur révéler. Plus ce qu’il raconte paraît obscur et bancale, plus le public femelle se tait, penaud.
Le mensonge juif, au delà du simple fait de mentir pour tromper les autochtones qu’il cherche à circonvenir afin de protéger sa rapine, repose sur l’absence d’objet autre que le juif dans le discours juif. La notion même de vérité en est absente.
La seule vérité pour le juif est le juif lui-même. Le juif est son propre objet et son propre dieu. Il est son unique finalité. Son alpha et son omega. Ce qu’il appelle son « élection » et qui le pousse à vouloir ordonner le monde autour de sa tribu.
En conséquence, le seul moment où le juif perd son sourire est celui où l’Aryen cesse de prêter attention aux mensonges qu’il vomit en permanence pour proclamer la vérité du juif : le juif est juif.
Cette vérité du juif, si le juif la connaît parfaitement, ne doit en aucun cas être connue des masses aryennes qu’il domine de ses mensonges et de ses illusions.
Lorsque la vérité du juif est sue du plus grand nombre dans une société donnée, sa chute suit de près.