Captain Harlock
Démocratie Participative
27 juillet 2018
Ce sale juif de Zuckerberg a enfin reçu le retour de bâton qu’il méritait.
RFI :
Pour la première fois, Facebook s’effondre à Wall Street. A la clôture jeudi 26 juillet l’action du réseau social a chuté de 19%. Soit une perte de 119 milliards de capitalisation boursière. Du jamais vu.
Moins 19%. La chute de valorisation de Facebook est spectaculaire, c’est la plus importante jamais enregistrée à Wall Street en une journée. Sanction immédiate des marchés après publication de résultats décevants. Et pourtant son chiffre d’affaires est toujours en hausse, plus 42%, mais cela reste inférieur aux attentes.
Et les prévisions sont pessimistes. Car en termes d’abonnés, Facebook semble atteindre le seuil de saturation. Avec 2,2 milliards d’utilisateurs mensuels, le réseau social continue d’augmenter, mais il stagne aux Etats-Unis et en Europe. Or ce sont les marchés où ses recettes publicitaires sont les plus lucratives. Pour la première en Europe, Facebook perd même des abonnés : moins 3 millions d’utilisateurs quotidiens.
C’est ce qui arrive quand une entreprise accepte de coucher avec des gouvernements contre ses propres clients.
J’ai souvent dit que si vous prenez le parti du gouvernement au détriment de vos clients, vous signez votre arrêt de mort à moyen terme.
Or ce juif arrogant de Zuckerberg a cru pouvoir conspirer en étroite coordination avec la juiverie internationale contre les utilisateurs blancs opposés à leur programme sans que cela n’entraîne de conséquences.
Grosse erreur.
Comme pour tout, les juifs ont fait de Facebook une expérience horrible
A l’origine de Facebook, il n’y a pas que des juifs. En fait, c’est Zuckerberg qui a pris le premier rôle mais il y a d’autres actionnaires très puissants qui ne sont pas juifs.
Mais ce juif Zuckerberg a pris les commandes et donné le ton.
Un ton juif, par évidence.
Facebook, au départ, était censé être un endroit où vous échangez avec des amis. L’ambiance était censée y être détendue.
Mais si vous discutez avec des gens autour de vous aujourd’hui, vous verrez que très nombreux sont ceux qui se plaignent de l’expérience qu’ils ont sur cette plateforme.
Outre les bugs, la censure ultra agressive laisse une impression générale extrêmement désagréable à beaucoup de gens. On ne compte plus ceux dont le compte est arbitrairement supprimé, le contenu effacé, pour ne rien dire des suspensions délirantes de 30 jours. Parfois, sans même que la raison en soit connue.
En position de monopole, le juif Zuckerberg a cru que les gens devaient le remercier d’avoir accès à Facebook plutôt que l’inverse, se comportant comme s’il était le client et ses clients le prestataire.
Un seul hic : les nègres et les bougnoules
Le seul hic, c’est que lorsque vous êtes envahis de nègres et de djihadistes, vous voulez pouvoir dire « sale nègre » ou « sale bougnoule » sans avoir à rendre de compte à Moïse Ben Shimon, surtout quand Moktar et Lamine peuvent dégueuler sur les Blancs en permanence en toute impunité.
Or, avec toutes ces vidéos de sauvagerie nègre et arabe qui circulent, la censure engendre chez les gens un immense sentiment de frustration s’ils ne peuvent pas commenter.
Surtout si c’est à cause de modérateurs situés au Maroc.
Cette mécanique infernale a commencé il y a plusieurs années et ne concerne qu’une seule question : le racisme et tout ce qui concerne la juiverie.
Cela a surtout pris de l’ampleur avec l’apocalypse migratoire en 2015 où les Blancs, en Europe, ont massivement protesté en ligne contre le désastre créé par Merkel.
C’est à ce moment-là que cette grosse truie au service des juifs a demandé à censurer massivement le réseau pour que l’invasion se poursuive sans opposition.
Elle a ensuite passé une loi en 2017 qui interdit virtuellement à tout Allemand d’être en désaccord avec l’invasion de l’Allemagne par les djihadistes de l’amour.
Avant que cette loi ne soit prononcée, c’est la victoire de Trump qui a surtout déclenché la panique de la juiverie internationale en raison de la dynamique populiste qu’elle n’allait pas manquer d’entraîner en Europe.
L’hubris juif, une nouvelle fois
C’est le nègre Obama, après la défaite de Clinton alors qu’il était encore président en fonction, qui profita de son dernier voyage en Europe, en novembre 2016, pour utiliser publiquement, pour la première fois, le terme « fake news » afin d’expliquer la défaite de Clinton et de ses (((maîtres))).
C’était le lancement officiel de la campagne asymétrique visant à mettre sous contrôle gouvernemental total les réseaux sociaux. Tous les réseaux sociaux.
Quelques jours plus tôt, en France, c’était la guenon d’Obama en France, Taubira, qui exigeait la censure totale des réseaux sociaux suite à la victoire de Trump.
Ce n’était bien sûr pas un hasard.
Suite à la victoire de Trump et au Brexit, le système a vraiment commencé à trembler sur ses bases avec la fragmentation progressive de toutes les structures internationales bâties sur le principe du sans-frontiérisme. Avec, en toile de fond, l’opposition radicale au torrent migratoire musulman que les juifs et leurs alliés déversaient sur l’Europe.
Les juifs ne sont pas revenus du succès de Trump.
Offensive juive générale
Le (((système globaliste))) a alors vu les élections françaises de 2017 comme une bataille majeure qui devait être gagnée afin de stopper la vague.
Tous ceux qui ont utilisé Facebook à ce moment-là ont pu constater l’intense censure qui prévalait sur la plateforme, avec des comptes supprimés en masse, des pages suspendues, l’impossibilité de poster, des portées dérisoires.
En fait, 70,000 comptes ont été supprimés sur cette période pour effacer tout ce qui pourrait réellement nuire à la propagande de Macron.
Pourtant le réseau était déjà étroitement contrôlé par le gouvernement. Ce dernier avait placé un préfet à la tête de l’entreprise en France, un ancien larbin du juif Sarközy.
À l’été 2012, Facebook France est perquisitionnée par les services fiscaux français, qui à l’automne, continuent de mettre la pression sur la société. C’est dans ce contexte qu’au début 2013, Facebook France se met à la recherche d’un dirigeant susceptible de calmer l’administration française. Alors que Laurent Solly n’était pas en recherche d’un nouveau poste, il est tout de même contacté par l’entreprise américaine pour occuper le 25 avril 2013 le poste de directeur général spécialement créé pour lui. Il entre en fonction le 3 juin.
Depuis sa prise de fonctions en 2013, Facebook France, contrairement à d’autres GAFAM n’a plus fait l’objet de perquisitions. La direction de Facebook avait annoncé dès 2012 qu’elle s’emploieraient à « travaille[r] avec les autorités compétentes afin de s’assurer que l’entreprise est en conformité avec la loi. ».
Le 31 août 2016, Laurent Solly étend son périmètre et prend la direction Europe du Sud de Facebook (Portugal, Espagne, France et Italie).
L’accord est simple : les juifs américains de Facebook enterrent volontairement le premier amendement de la constitution US et répondent à toutes les exigences de la république juive hexagonale. En échange, ils ont carte blanche pour blanchir leur fric massivement.
A partir de la défaite de Clinton, les juifs se sont lancés, partout, dans une gigantesque campagne de terrorisme, exigeant non seulement que les réseaux sociaux censurent les Blancs en masse mais encore que des législations soient établies pour détruire toute opposition identitaire.
C’est probablement la plus grosse ficelle jamais employée par les juifs : dénoncer toute critique de la propagande juive comme de la désinformation.
En résumé, ces hébreux ont déclaré : « tout ce que disent les juifs est vrai ».
Les fameuses « fake news ».
Les juifs ont décrété comme a priori mensongère toute dénonciation du mensonges juif.
Il s’agit là du vieux principe de « vérité révélée » hébraïque recyclé pour les besoins contemporains du front judéo-bolchevique.
Si vous l’avez oublié, il avait été révélé par le Canard Enchaîné que Facebook avait recruté en France des commissaires politiques issus de la presse juive pour purger son réseau de toute contenu jugé politiquement hostile par les juifs.
Soit le même principe de sous-traitance que pour Laurent Solly.
Et vous avez eu tous ces « fact checkers » juifs, à Libération (Drahi) ou au Monde (Pigasse).
Mais cela ne suffisait pas car les juifs ne sont jamais satisfaits tant qu’ils n’exercent pas une tyrannie complète sur une nation.
Une fois Macron élu, ils ont exigé qu’ils mettent en place la censure de masse.
La #Licra est membre de l’@INACHnet, le « réseau international contre la haine en ligne » dont la mission est de lutter contre les discriminations et les discours de haine sur internet. Rendez-vous sur leur nouveau site internet pour en savoir plus ? https://t.co/jXibacP8vL
— LICRA (@_LICRA_) 18 juillet 2018
Que faire face aux « Fake News » ? La LICRA auditionnée à l’Assemblée Nationale https://t.co/hJkpmYKndh #licra
— LICRA (@_LICRA_) 25 mai 2018
Macron, zélé serviteur des juifs, a donc annoncé une loi spécifique pour détruire toute forme de critique sur internet. Une loi que les juifs veulent voir à tout prix mise en oeuvre.
#FakeNews – La commission de la culture et la commission des lois du Sénat rejettent les propositions de loi relatives à la lutte contre la manipulation de l’information : https://t.co/yXJySkSt1l pic.twitter.com/LXDpwRefnL
— Cellule Digitale du Crif (@Digital_Crif) 18 juillet 2018
Sauf que, depuis l’affaire Benalla, plus personne ne fait confiance à Macron. Tout le monde sait qu’il était en train de monter une police politique secrète avec l’arabe Benalla. Une police politique composée, à terme, d’allogènes qui n’auraient bien sûr jamais gêné la juiverie.
D’ailleurs, c’était cette police qui a viré Mélenchon de la manifestation ratée pour la vieille juive Knoll.
Macron est si suspect aux yeux de l’opinion, qu’il va avoir les plus grandes difficultés à imposer la loi de censure de l’internet qu’exigent les juifs.
Le Sénat vient d’ailleurs de rejeter massivement ce projet.
Les juifs ont une nouvelle fois poussé trop loin leur arrogance
Pour en revenir à Facebook, en s’alliant ouvertement avec ces gouvernements juifs pour combattre le populisme en Occident, Zuckerberg a fait de cette entreprise une simple administration à la solde de ces gouvernements.
Or, personne ne veut investir dans quelque chose qui s’isole de plus en plus de l’opinion publique.
Le temps où nous étions marginaux est révolu : la moitié de l’Europe veut mettre les arabes et les nègres à la mer. C’est la froide réalité du marché de l’opinion.
Si vous investissez dans une entreprise, vous ne voulez pas que des juifs se mettent à refiler des informations sensibles à d’autres juifs ou à des gouvernements tenus par les juifs pour détruire les clients de cette entreprise. Parce que cela finira par se savoir, quoiqu’il arrive. Et à la minute où cela se sait, les clients désertent, faisant chuter la valeur de l’entreprise.
C’est précisément pour ça que Zuckerberg a annoncé récemment que Facebook ne censurerait pas le contenu révisionniste.
Un article de 20 Minutes en parlait récemment :
Facebook vs les Fake news, épisode 48. Depuis une semaine, le site tente de justifier pourquoi il ne bannit pas certains médias qui propagent des théories du complot, comme InfoWars, de sa plateforme. Interviewé par la journaliste américaine Kara Swisher, mercredi, Mark Zuckerberg a dressé un parallèle avec les propos négationnistes, qui ne sont, en général, pas censurés sur Facebook (ce n’est pas un délit aux Etats-Unis). Et ses explications n’ont pas plu à tout le monde.
« Je suis juif, et il y a de nombreuses personnes qui nient la Shoah. Je trouve cela choquant. Mais au bout du compte, je ne crois pas que ce soit le rôle de notre plateforme de retirer [ces posts]. Car il y a des choses sur lesquelles certaines personnes se trompent. Je ne pense pas que ce soit intentionnel », commence le dirigeant. « Dans le cas du négationnisme, c’est souvent intentionnel », l’interrompt la journaliste. « C’est difficile de faire un procès d’intention ou même de comprendre l’intention » de quelqu’un, rétorque le dirigeant.
Pour cette presse juive hexagonale, ce ne sera jamais assez.
Mais Zuckerberg avait été menacé entre temps de se faire purger s’il ne cessait pas de compromettre Facebook aussi ouvertement. Cela n’a bien évidemment pas suffi à conjurer l’effondrement de la confiance publique dans ce réseau.
Tout le monde sait que Facebook informe en temps réel le gouvernement d’occupation juif.
Depuis, on a appris que Twitter faisait du Shadow Ban de masse.
Et Trump a déclaré la guerre aux fiottes de Twitter.
Twitter “SHADOW BANNING” prominent Republicans. Not good. We will look into this discriminatory and illegal practice at once! Many complaints.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 26 juillet 2018
Trump sait qu’il ne pourra pas être réélu si sa base militante ne peut pas se mobiliser sur les réseaux sociaux en 2020. Il ne lui suffit pas de dégueuler sur la presse juive américaine, comme CNN ou MSNBC, il doit avoir une alternative.
Or cette alternative, c’est internet.
Il est très probable que Trump mette en place une législation qui interdira à ces plateformes de faire de la censure de masse. Une fois cette régulation mise en place, ces énormes entreprises seront sous la menace permanente de Class Actions de la part de républicains, de libertariens, de chrétiens évangélistes ou de racistes blancs.
Cela va immédiatement impacter la politique de ces entreprises en Europe.
Peu importe ce que dira Macron et cette république juive, Facebook pliera face au président des USA et aux dizaines de millions de Blancs entrés en rébellion contre ces manipulations sémitiques criminelles.
Le rêve d’une censure judéo-bolchevique de masse s’éloigne grâce au Premier Amendement américain et à Donald Trump.
Et surtout grâce à la stupidité insondable des juifs.
L’échec de Macron sur sa loi sur les Fake News est impératif. La vanne de l’antisémitisme et du racisme en ligne sera alors définitivement ouverte sans qu’ils ne puissent plus rien faire pour la refermer.