Le Libre Panzer
Démocratie Participative
15 juin 2019
Après avoir collecté toutes les informations sur ses utilisateurs pour les revendre illégalement et avoir exclu de sa plateforme tous les Blancs gênants, (((Facebook))) lance sa fausse « cryptomonnaie ».
C’est fiable, goy.
Clubic :
Alors que Facebook devrait dévoiler ses plans dans les prochains jours, son projet de stable coin, Libra, a reçu d’importants soutiens financiers.
Facebook doit lancer sa propre cryptomonnaie début 2020. Si la société de Mark Zuckerberg devrait en faire la présentation officielle le 18 juin, des informations quant à son financement ont pu nous parvenir, confirmées par le Wall Street Journal. Un consortium est ainsi né de la réunion de plusieurs entreprises mondiales, souvent des géants de la tech, décidées à s’impliquer dans le projet.
Le partenariat autour du Libra, le fameux nom (au moins provisoire) de la cryptomonnaie de Facebook, réunit une quinzaine de sociétés parmi lesquelles Uber, Visa, Mastercard, Paypal ou Booking.com. De vrais poids lourds, donc, et Facebook n’entend pas s’arrêter là puisque la firme souhaiterait se constituer un réseau de 100 entreprises partenaires.
Chacune de ces sociétés aurait accepté de verser 10 millions de dollars pour obtenir un nœud de la blockchain qui devrait être proposée aux utilisateurs de WhatsApp et de Messenger, deux réseaux sociaux qui appartiennent à Facebook.
La cryptomonnaie Libra sera de type stable coin, ce qui permettra au consommateur de conserver son jeton pour payer divers services ou produits sans que la valeur du jeton ne fluctue, grâce à un adossement à plusieurs monnaies : l’euro, le dollar et le yen, en attendant d’autres. Certains médias américains annoncent même que des distributeurs automatiques seront installés pour faciliter les échanges avec d’autres devises.
Le Libra devrait être directement utilisable chez les partenaires du projet. Cela signifie par exemple que vous pourrez très bien régler votre dernière course Uber avec la cryptomonnaie de Facebook.
Ce pseudo coin n’offre aucune valeur ajoutée pour les consommateurs mais il offre un réel avantage à Facebook pour entrer sur le marché des transactions bancaires.
תודה Mark, grâce à toi, on a toute la liste des goyim à abattre
Premièrement, ce n’est pas une cryptomonnaie. Facebook utilise ce nom dans un but marketing mais sa structure est à l’opposé de ce qu’est le Bitcoin. Il s’agit d’un système de paiement comme Paypal, Visa ou Apple Pay dont l’unité de compte est appelée « Libra ». L’argent envoyé sur un compte « Libra » sera stocké sur un compte bancaire appartenant à Facebook. L’objectif de Facebook est de concurrencer les stable coins comme le Tether adossé au dollar.
Deuxièmement, dans un premier temps, sa pénétration sur le marché des systèmes de paiements sera beaucoup plus limitée qu’une Visa ou une Mastercard.
Troisièmement, le « Libra » étant adossé à plusieurs devises pour garantir sa stabilité, il ne sera pas possible d’en faire un actif financier négociable à la différence du Bitcoin.
Le (((Libra))) va offrir à Facebook un moyen de contrôle financier sur sa base d’utilisateurs. Ce que Facebook fait en ce moment pour censurer les internautes, il veut pouvoir le faire au plan économique en excluant des transactions les goyim récalcitrants.
« Monsieur Durand ? Ici Facebook Libra. Un de vos clients nie l’existence des chambres à gaz. Si d’ici 24 heures vous n’avez pas cessé toutes vos relations avec lui, nous fermons votre système de paiement bancaire. Vous ferez faillite dans un mois. Votre femme vous quittera dans trois mois. Vous vous suiciderez l’année prochaine selon notre algorithme prédictif. Merci. »
A contrario, les cryptomonnaies permettent de contourner le blocus économique juif.
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