Captain Harlock
Démocratie Participative
14 septembre 2021
Le juif Zuckerberg vous laissera dire ce que vous voulez sur Facebook, mais vous devez être célèbre ou richissime pour ça.
Capital :
Tout les internautes ne seraient pas logés à la même enseigne. Un programme de Facebook permet à certaines célébrités, responsables politiques et internautes en vue de ne pas avoir à obéir aux mêmes règles sur la modération des contenus que le reste des utilisateurs, affirme lundi le Wall Street Journal. Baptisé « Crosscheck » ou « XCheck », ce programme n’applique pas les mêmes contrôles aux messages postés sur les comptes Facebook et Instagram de ces « VIP » que sur les comptes lambda, assure le quotidien économique en citant des documents internes à l’entreprise.
Il [le programme] a inclus jusqu’à 5,8 millions d’abonnés en 2020. Certains sont exemptés des règles tandis que d’autres peuvent poster des messages enfreignant théoriquement les instructions en attendant qu’un employé de Facebook les examine. Cela ne signifie pas qu’il y a « deux systèmes de justice » au sein du groupe, a rétorqué Andy Stone, un porte-parole de Facebook, dans une série de tweets.
Si certaines pages ou comptes reçoivent une deuxième couche de vérification, c’est pour s’assurer que les règles sont mises en œuvre de façon appropriée et « éviter des erreurs », a-t-il affirmé. « Nous savons que l’application de nos règles n’est pas parfaite et qu’il y a des compromis faits entre vitesse et précision », a-t-il reconnu.
Oui.
C’est le moins que l’on puisse dire.
Selon l’article du Wall Street Journal, Facebook a par exemple permis en 2019 à la star du football Neymar de montrer à ses millions d’abonnés des photos, nues, d’une femme qui l’accusait de viol, avant de les supprimer. Le groupe aurait par ailleurs laissé certains comptes partager des affirmations jugées fausses par les factcheckers de Facebook, y compris que les vaccins tuent, qu’Hillary Clinton a couvert de soi-disant réseaux pédophiles ou que l’ex-président Donald Trump a qualifié d' »animaux » tous les demandeurs d’asile.
Vous lisez bien : ces gens se plaignent de ce que Facebook ne censure pas assez.
Pour le conseil de surveillance de l’entreprise, la mise en place de mesures spéciales sur la modération des contenus est gênante. Cet organisme « a exprimé à plusieurs reprises son inquiétude quant au manque de transparence dans les processus de modération de contenus de Facebook, en particulier en ce qui concerne la gestion incohérente par l’entreprise des comptes les plus en vue », a déclaré le porte-parole de cette instance, censée être indépendante mais financée par le groupe.
Dans un message datant d’il y a trois ans, l’entreprise assurait que le fait de vérifier certains contenus une deuxième fois n’empêchait pas le compte, la page ou le message d’être retiré mais permettait de s’assurer que toute décision faite en ce sens était « prise correctement ».
Facebook est mort depuis plusieurs années maintenant.
Ce truc n’existe encore que parce que les Boomers y sont pour parler de leur peur de mourir du Cohen19. On y trouve rarement des gens de moins de 40 ans.
Sans parler du fait qu’elle est inutilisable, littéralement. L’expérience de l’utilisateur est atroce : les pages chargent mal, si jamais elles chargent, le site est noyé d’options incompréhensibles qui sont agencées d’une façon conçue pour que personne ne puisse s’en servir. Si finalement on décide quand même de l’utiliser, Facebook vous agresse en permanence pour que chaque phrase écrite convienne à Zuckerberg.
Instagram est la seule plateforme qui maintient encore Zuckerberg à flots. Elle fonctionne beaucoup mieux techniquement mais elle n’ajoute rien de particulier. C’est une sorte de Facebook pour des gens qui n’arrivent pas à lire (des noirs et des arabes) ou qui n’ont rien à dire (des femmes).
Si vous voulez ne pas souffrir du harcèlement de Facebook, vous devez donc être une star de la télévision ou du cinéma, un milliardaire ou alors avoir une armée de terroristes musulmans prêt à tout en cas de censure.
Ou être juif, mais ça, c’est évident.
Sinon, vous ne pourrez pas utiliser Facebook.
Ni YouTube ou Twitter.
Tout le monde est plus ou moins familier de ce nouveau paradigme où les goyim n’ont globalement pas le droit de parler s’ils refusent de se contenter de répéter des idées juives.
Mais les juifs étant les juifs, il fallait une exemption pour les très gros comptes qui rapportent du cash à Zuckerberg et ses congénères.
Ce qui explique cette taxe sur la liberté d’expression versée au kahal.
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