Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juin 2021
Nous apportons le mariage homosexuel aux sauvages à civiliser
Macron se fout du monde, encore une fois.
C’est la seule chose qui occupe ses journées : se foutre du monde.
Emmanuel Macron a annoncé jeudi soir, lors d’une conférence de presse, « la fin de l’opération Barkhane en tant qu’opération extérieure ». « La poursuite de notre engagement (au Sahel) ne se fera pas à cadre constant », a expliqué le chef de l’État. Plus de huit ans après l’intervention militaire française qui avait permis de sauver Bamako des groupes armés djihadistes, le président de la République a décidé d’un retrait progressif des forces françaises. 5100 soldats sont aujourd’hui déployés au Sahel, principalement au Mali, contre les groupes terroristes djihadistes. « Nous amorcerons une transformation profonde de notre présence », a-t-il ajouté en prônant « un changement de modèle ». « La forme de notre présence, sous forme d’opération extérieure, n’est plus adaptée à la réalité des combats », a-t-il poursuivi sans s’engager sur un calendrier ou une réduction chiffrée des effectifs. Selon certaines sources, les effectifs pourraient être réduits de moitié d’ici deux ans. Certaines petites emprises seront fermées dès la fin du mois. À terme, la présence française devrait encore se compter en milliers. Le président compte aborder la question du Sahel lors du prochain sommet européen du 24 juin. Un sommet du G5 Sahel pourrait se tenir début juillet.
Macron bluffe. Il aime trop les nègres et il est trop arrogant pour renoncer au seul théâtre extérieur où ses quelques milliers de soldats lui permettent de faire illusion sur la scène internationale. Sans ce désert stupide avec ces nègres musulmans stupides, il devrait se contenter de gérer les hordes du 93.
Macron veut lâcher suffisamment de pression pour que la négraille du sud se mette à hurler de terreur face aux assauts renouvelés des touaregs et des arabes du nord du Mali et ainsi contraindre ces nègres à le supplier de ne pas les abandonner aux couteaux des esclavagistes.
C’est le retour en 2013.
Il s’agit de « tirer les conséquences de ce qui n’a pas fonctionné », a ajouté le chef de l’État. « Le rôle de la France n’est pas de se substituer à perpétuité aux États », du Sahel, a-t-il expliqué en refusant de voir l’armée française « sécuriser des zones » auparavant contrôlées par les terroristes sans réengagement des États, essentiellement du Mali. Quelques mois après le sommet de N’Djamena, où la France appelait à un sursaut politique, la déception est perceptible.
La liste des reproches que Paris adresse à Bamako est longue. Après le coup d’État dans le coup d’État qui avait réinstallé au pouvoir à Bamako le colonel Assimi Goïta, fin mai, la France avait annoncé la suspension « temporaire et conservatoire » des opérations conjointes avec les forces armées maliennes. Paris attendait des gages de la junte sur le retour d’un pouvoir aux civils. En promettant la tenue d’élections en 2022 et en nommant un premier ministre civil, le putschiste a envoyé des signaux minimes. Mais pas suffisamment pour Paris.
Ces buses du Quai d’Orsay croient à la « démocratie » dans ce désert peuplé de nègres musulmans fanatisés.
Les manifestations au Mali ressemblent curieusement aux manifestations d’Assa Traoré à Paris
Ces nègres n’ont rien à faire du monothéisme démocratique. Ils sont musulmans et le coran leur suffit. Ils haïssent les Blancs, seul dénominateur commun susceptible de fédérer temporairement tribus et peuplades de ce pays absurde.
Macron voulait un gouvernement fantoche peuplé de macaques à lunettes sortis de la Sorbonne. En fait de cafres « démocrates » à cravate, il se retrouve avec un roi nègre en cheville avec les moudjahidines. C’est le seul résulta tangible en 8 ans « d’opération ».
Et cet incapable orgueilleux de Macron n’a même pas reconnu que ses 4 ans passés à la tête de l’armée se sont convertis en désastre.
C’est même tout l’inverse.
« Les choses vont dans le bon sens », a déclaré du bout des lèvres le chef de l’État. Mais il a confirmé la suspension des opérations conjointes tant que toutes les clarifications n’auront pas été livrées. La France refuse notamment toute négociation avec les groupes terroristes, ce qu’envisage le nouveau pouvoir malien. Emmanuel Macron a aussi estimé que la Communauté des États africains d’Afrique de l’Ouest avait commis « une erreur » en reconnaissant le pouvoir du colonel Goïta. « C’est une mauvaise jurisprudence », a-t-il dit. Au Tchad, la France s’est en revanche engagée aux côtés du pouvoir qui a succédé à Idriss Déby, décédé brutalement au printemps.
Depuis plusieurs mois, la France cherchait un moyen de sortir du piège de Barkhane : une guerre sans fin, sans défaite ni victoire, qui épuise les crédits militaires et les soldats. « Force est de constater qu’il y a un phénomène d’usure », a convenu Emmanuel Macron en refusant néanmoins de lier sa décision à l’échéance présidentielle. Paris craignait d’être prisonnier d’un scénario à l’afghane. Les Européens seront toujours présents au Sahel en 2030, mettait en garde le mois dernier dans Le Figaro le chef d’état-major des armées, le général Lecointre.
Lecointre.
Lui aussi adore jouer aux legos avec des nègres.
Celui-là ne restera pas dans les annales de l’armée comme l’esprit le plus affuté de son temps.
Emmanuel Macron n’a pas annoncé un départ définitif et complet de la France du Sahel. Le plan de sortie se veut progressif. La future présence française au Mali s’organisera autour de deux axes. Un premier pilier poursuivra la coopération avec les partenaires locaux. La mission EUTM de formation, pilotée par l’Union européenne, en sera l’axe central. L’autre pilier se concentrera sur la lutte antiterroriste. Elle sera structurée autour de la force Takuba. Plusieurs pays comme l’Estonie, la République tchèque et la Suède y participent déjà. D’autres pays comme l’Italie ou la Serbie avaient manifesté un intérêt. Composée de forces spéciales, Takuba a pour mission de former et d’accompagner au combat les armées locales. L’armée française demeurera « la colonne vertébrale » de Takuba, a dit Emmanuel Macron en évoquant « plusieurs centaines de soldats ». Si Barkhane se termine, la France n’a pas encore quitté le Sahel.
En résumé, Macron change le nom de son truc, bluffe en retirant quelques centaines de soldats en espérant entretemps que le nouveau roi nègre se fasse assassiner par d’autres nègres.
L’armée française ne va nulle part. Elle est addicte aux nègres d’Afrique comme la France en son entier. D’ailleurs, elle est elle-même de plus en plus massivement composée de nègres.
Tant qu’il y aura du sang blanc et de l’argent blanc à disposition, les homosexuels du Quai d’Orsay continueront d’évangéliser l’Afrique pour s’assurer que cette masse grouillante gonfle démocratiquement.