Face à la montée en puissance de la mobilisation NAZIE des Gilets Jaunes, le gouvernement d’occupation juif panique

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 novembre 2018

 

Le moment est venu de dresser un premier bilan des actions du week-end.

C’est une victoire tactique importante contre le système, c’est-à-dire contre le gouvernement d’occupation juif.

Pour le mesurer, il faut prendre la température chez les juifs eux-mêmes.

Ils sont passés, en quelques heures, du déni à l’effroi.

Samedi, c’était un « échec ».

Dimanche, c’était un « événement politique majeur ».

Effectivement, le grand tournant est le suivant : des centaines de milliers de gens, sans organisation centralisée ni chefs, ont mené une opération sur tout le territoire le même jour contre l’hostilité générale du système.

Cette opération, outre qu’elle a placé le gouvernement d’occupation dans un état d’impuissance, a coûté des sommes considérables à l’Etat.

Et face à la colère aryenne, le juif perd toute contenance.

Je doute que ce millionnaire juif calme ces millions de Français de souche avec un cours de philosophie hébraïque.

Tout, dans le mouvement, était spontanément populiste. C’est-à-dire hostile au système, à commencer par la presse juive.

Les juifs n’en ont pas manqué une miette et leur angoisse s’est montrée justifiée : il n’y a aucun moyen de contrôler cette plèbe en colère.

La colère blanche tétanise instinctivement les juifs.

Également sous-jacente, la colère contre l’invasion de la France par des millions de sauvages venus du monde musulman ou d’Afrique.

Pour beaucoup de Français de souche habituellement noyés dans la propagande gouvernementale, la réalité de la fracture raciale leur a sauté aux yeux face à l’évidente hostilité des nègres et des arabes.

Les scènes de confrontation avec des arabes et des nègres sont nombreuses.

La démocratie repose sur le principe de la triangulation des conflits par les partis juifs. Les élections sont largement cadenassées par eux et aucune surprise, pour ainsi dire, ne vient jamais troubler le statu quo.

Sauf quand le peuple décide de recourir à la démocratie participative.

Les juifs ne peuvent plus intriguer dans l’ombre.

Nous devons insister sur ce point : les élections ne servent à rien. Nous ne changerons la situation qu’en se mobilisant en masse dès que l’opportunité se présente.

Maintenant, nous allons comment ces centaines de milliers de Français, soutenus par des millions d’autres, vont se mobiliser dans le futur.

Ce premier coup de semonce a convaincu les juifs de la gravité de la situation.