Captain Harlock
Démocratie Participative
19 novembre 2018
Le moment est venu de dresser un premier bilan des actions du week-end.
C’est une victoire tactique importante contre le système, c’est-à-dire contre le gouvernement d’occupation juif.
Pour le mesurer, il faut prendre la température chez les juifs eux-mêmes.
Ils sont passés, en quelques heures, du déni à l’effroi.
Samedi, c’était un « échec ».
Poujadisme des #GiletsJaunes. Échec d’un mouvement qu’on nous annonçait massif. Irresponsabilité des chaînes d’info qui attisent et dramatisent. Soutien à #Macron, à son combat contre les populismes et à la fiscalité écolo.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 17 novembre 2018
Dimanche, c’était un « événement politique majeur ».
Je ne vais pas vous parler d’antisémitisme, ni du torrent de haine qui se déverse sur internet et qui, parmi d’autres, me vise parfois. J’aimerais vous parler de ce qui s’est passé, hier, dans notre pays. De la République. Des gilets jaunes. #ConvCrif
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 18 novembre 2018
Il s’est passé hier quelque chose de très important. Parce qu’un mouvement est inorganisé, auto-organisé, sans chef, il serait sans lendemain, sans identité politique ? Je ne crois pas. S’est produit, hier, un événement politique majeur. #ConvCrif
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 18 novembre 2018
Effectivement, le grand tournant est le suivant : des centaines de milliers de gens, sans organisation centralisée ni chefs, ont mené une opération sur tout le territoire le même jour contre l’hostilité générale du système.
Cette opération, outre qu’elle a placé le gouvernement d’occupation dans un état d’impuissance, a coûté des sommes considérables à l’Etat.
Et face à la colère aryenne, le juif perd toute contenance.
Twitter s’emballe encore. J’ai dit, dans une conférence au CRIF, que la colère peut être, soit noble et belle, soit passion triste. Les #GiletsJaunes sont, hélas, dans le 2nd cas. J’invite, comme dans mon tweet précédent, à lire Descartes et Spinoza. Pour certains, c’est urgent.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 19 novembre 2018
Je doute que ce millionnaire juif calme ces millions de Français de souche avec un cours de philosophie hébraïque.
Tout, dans le mouvement, était spontanément populiste. C’est-à-dire hostile au système, à commencer par la presse juive.
Voilà ce que vaut de signaler la présence d’un militant d’ultra-droite dans le cortège des gilets jaunes. https://t.co/1TYS0yiUuE
— Alex Sulzer (@Alexsulzer) 17 novembre 2018
Les commentaires d’encouragement à ce genre d’action sur les réseaux sociaux sont à ?. https://t.co/NE6V0GlsAe
— Alex Sulzer (@Alexsulzer) 17 novembre 2018
Les juifs n’en ont pas manqué une miette et leur angoisse s’est montrée justifiée : il n’y a aucun moyen de contrôler cette plèbe en colère.
La colère blanche tétanise instinctivement les juifs.
Également sous-jacente, la colère contre l’invasion de la France par des millions de sauvages venus du monde musulman ou d’Afrique.
Pour beaucoup de Français de souche habituellement noyés dans la propagande gouvernementale, la réalité de la fracture raciale leur a sauté aux yeux face à l’évidente hostilité des nègres et des arabes.
j’ai traversé le 93 à pied histoire d’ humer l’atmosphère, pas l’ombre d’un gilet jaune, d’un blocage …la preuve qu’ils ne se ressentent pas comme appartenant au peuple français. Ils n’en ont pas les problématiques, par contre ils sont NOTRE PROBLEME.
— sardin (@mnsardin) 17 novembre 2018
Les scènes de confrontation avec des arabes et des nègres sont nombreuses.
La démocratie repose sur le principe de la triangulation des conflits par les partis juifs. Les élections sont largement cadenassées par eux et aucune surprise, pour ainsi dire, ne vient jamais troubler le statu quo.
Sauf quand le peuple décide de recourir à la démocratie participative.
Les juifs ne peuvent plus intriguer dans l’ombre.
Nous devons insister sur ce point : les élections ne servent à rien. Nous ne changerons la situation qu’en se mobilisant en masse dès que l’opportunité se présente.
Maintenant, nous allons comment ces centaines de milliers de Français, soutenus par des millions d’autres, vont se mobiliser dans le futur.
Gilets jaunes : un appel à bloquer Paris samedi prochain https://t.co/Mz9Jrr18wf
— Le Parisien (@le_Parisien) 19 novembre 2018
Gilets jaunes: « Nous durcissons la méthode au regard de la non-réponse du gouvernement » explique un membre des gilets jaunes pic.twitter.com/aOR2xcP3lV
— BFMTV (@BFMTV) 19 novembre 2018
Ce premier coup de semonce a convaincu les juifs de la gravité de la situation.