Captain Harlock
Démocratie Participative
06 mai 2018
Le pouvoir juif lance sa nouvelle offensive contre la parole blanche.
Sur les pages Facebook des grands médias français, un commentaire sur dix contient des propos haineux, les politiques, personnalités médiatiques et journalistes étant particulièrement ciblés, selon une étude commandée par le Secrétariat d’Etat chargé du Numérique.
Cette étude réalisée par Netino (Webhelp) porte sur l’analyse d’un échantillon de 10 870 commentaires publics publiés sur 24 pages Facebook de grands médias français pendant le mois de mars.
Selon ce panorama, près de la moitié des propos haineux (45,2 %) relèvent de « l’agressivité générique » (exemple cité : « On s’en fout de cette merde »).
Viennent ensuite les attaques contre les personnalités publiques qui représentent près d’un tiers des propos haineux (31,8 %).
Les attaques contre l’origine ethnique et la couleur de peau comptent pour 6,5 %, la discrimination sociale représente 5,5% de ces commentaires et l’appartenance religieuse, notamment à l’Islam, cristallise 3,5% des propos haineux.
Sexisme (1,6 %), discriminations diverses (1,6 %), discrimination régionale (1,5 %), propos sur l’orientation sexuelle (1,2 %) et discrimination physique (0,6 %) viennent clore ce triste panorama.
« Contenus racistes, antisémites, haineux, sexistes … : on doit mettre fin à cette impunité ! En faisant retirer ces contenus le plus rapidement possible et en se donnant la capacité de poursuivre les auteurs de ces propos insoutenables ! », a commenté Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’Etat au Numérique.
Ce « Panorama de la haine en ligne » lui a été remis vendredi en présence de l’enseignant franco-algérien Karim Amellal, de la députée LREM Laetitia Avia et du vice-président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) Gil Taïeb, chargés d’une mission contre le racisme et l’antisémitisme en ligne.
Cette mission leur a été confiée par le Premier ministre dans le cadre d’un nouveau plan contre le racisme et l’antisémitisme lancé en mars.
C’est drôle : mettez des nègres et des arabes au pouvoir sous la supervision des juifs et ils s’empressent aussitôt de mettre en place une tyrannie antiblanche.
«Negro, youpin, tafiole, grosse truie, sale aguicheuse…» nous ne pouvons plus tolérer ces mots sur internet ! Lutter contre la haine en ligne est une nécessité absolue. Merci à @NetinobyWebhelp pour votre étude chiffrée remise à la mission @karimamellal @GilTaieb @LaetitiaAvia! pic.twitter.com/ty5mE9NgZI
— Mounir Mahjoubi (@mounir) 4 mai 2018
En résumé, le pouvoir cosmopolite est de plus en plus inquiet de la libération de la parole au sein de la population autochtone et entreprend d’accroître la répression pour se protéger.
C’est ce que l’on appelle « lutter contre la haine sur internet ».