Extase à droite : une femme populiste prochainement à la tête de l’Italie

La rédaction
Démocratie Participative
13 août 2022

 

Après la trahison de Matteo Salvini pour un poste de sous-ministre dans le gouvernement Goldman Sachs de Mario Draghi, l’extrême-droite démocratique française a décidé de se reporter sur une alternative bien plus sérieuse.

Une femme blanche.

Giorgia Meloni.

Les sondages donnent son parti à 24%.

La Lega est à 13% et Forza Italia de Berlusconi à 11%.

Cette coalition ferait 50% en septembre, portant Giorgia Meloni à la tête du gouvernement.

Cette alliance entre Berlusconi et cette femme serait donc la clef de je ne sais quel salut politique.

On ne peut pas guérir l’extrême-droite de son hypnose démocratique, c’est ainsi.

Pour les plus lucides, il suffit de rappeler une seule chose pour savoir qui contrôle quoi. Dans ce parti, « Frères d’Italie », ce n’est certainement pas cette femme qui dirige.

En 2009, alors ministre de Berlusconi pour la jeunesse, elle était à Yad Vashem pour dire que les maîtres de l’Occident démocratique ont beaucoup souffert.

Les bonnes questions.

Il y aura un gouvernement de coalition. Les Italiens vont faire des trucs d’Italiens en se répartissant des postes de ministres après des accords de couloir et dans un an, il y aura de nouvelles élections, parce que d’ici là un scandale de corruption aura éclaté, une trahison parlementaire aura eu lieu ou le pays aura fait faillite.

C’est ainsi qu’opère le régime d’occupation juif dans ce pays depuis 1945.

On pourra commencer à s’intéresser à cette péninsule quand nous verrons des chemises noires déferler sur Rome pour restaurer l’état fasciste.

Il est cependant plus probable que ce pays ruiné éclate en cités-états pour les 5 prochaines siècles.

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