Captain Harlock
Démocratie Participative
14 mars 2019
Le cancer judéo-nègre métastase.
Nous avons besoin d’une chimiothérapie de choc à base d’acide cyanhydrique.
Tout comme les chanteuses Jennifer Lopez, Nicki Minaj ou Iggy Azalea, Kim Kardashian a fait de son postérieur XXL une marque de fabrique. L’ex-Ange de la téléréalité Nabilla a crevé l’écran avec sa plastique de rêve et son fessier très rebondi… Venue du Brésil, l’obsession pour les grosses fesses a traversé les océans, drainant dans son sillage une cohorte de jeunes femmes qui ont envahi les centres de chirurgie esthétique.
Cette obsession ne vient pas « du Brésil ».
Elle vient des nègres du Brésil. Et d’Amérique.
Mais plus fondamentalement de la jungle africaine.
Il y a 40 ans, une catastrophe d’une ampleur inégalée est arrivée : le rap.
Ce bruit de jungle s’est particulièrement enraciné en France à la fin des années 80 avant de devenir le bruit de fond par défaut. C’est un cas unique dans le monde occidental.
Les rappeurs nègres US sponsorisés par les producteurs juifs imposent progressivement leur obscénité à l’échelle planétaire.
Peu importe le nombre de siècles durant lesquels le nègre est exposé à la culture aryenne, sa nature primitive ne varie pas.
Si par miracle il est un tant soit peu domestiqué par une majorité aryenne, il retombe dans sa sauvagerie néolithique en deux générations s’il est livré à lui-même.
Ce qu’a précisément amené la fin de la ségrégation aux USA. La fin de la ségrégation a consisté pour les nègres a échangé leurs maîtres blancs pour des maîtres juifs.
Avec ce qui va avec : drogue, crime, prostitution.
C’est-à-dire ce qui a servi de la base socio-culturelle au « rap ».
« En trois ans, la demande d’augmentation du volume des fesses s’est envolée de 30 % dans notre établissement » explique Tracy Sayag, directrice de la Clinique des Champs-Elysées.
Oy !
La juive Sayag se fait des shekels en négrifiant le cul des Blanches.
Une surprise.
Avec le lipofilling, le chirurgien prélève la graisse sur la patiente pour la réinjecter au niveau des fesses. Il peut aussi poser une prothèse. Mais dans ce cas, le Dr Patrick Baraf tire le signal d’alarme.
Le (((Dr Baraf))).
« Les Françaises nous font des demandes démentes. Elles choisissent les prothèses les plus grosses possible ! Avec des tailles normalement réservées aux hommes. C’est notre devoir de médecins de prévenir des risques encourus » martèle le spécialiste qui a été l’un des premiers chirurgiens de l’hexagone à poser des prothèses de fesses.
L’alliance de la traînée française et du juif, cause éternelle de tous nos malheurs.
Reste la solution non invasive, avec une technique de remodelage corporel en plein boom aux États-Unis, qui permet de brûler de la graisse et de créer du muscle. À raison de 4 séances de 30 minutes, la machine Emsculpt envoie des radiations électromagnétiques de haute intensité. Celles-ci engendrent 20 000 contractions musculaires qui correspondent à 20 000 squats en 30 minutes. Une prouesse impossible à réaliser lors d’une vraie séance de sport d’une demi-heure, mais… qui a un coût : 2 000 euros.
Vous pouvez voir un résumé de ces traînées en train de se négrifier avec l’aide des docteurs juifs.
Les poufiasses qui se livrent à ça veulent ressembler à des négresses parce qu’elles consomment de la musique de nègres et veulent se faire baiser par des nègres.
Pour les Blancs, un cul débordant de graisse et éclaté de vergetures est exactement l’inverse de ce qu’il est pour un nègre : le pire du pire. C’est le signe qu’une baleine de terre refuse dogmatiquement de maîtriser sa masse adipeuse.
Soudainement, grâce à la négrification culturellement promue par les juifs, nous avons des mètres cubes de graisse qui veulent prendre le train en marche et agiter leurs culs devant des cafres surexcités.
Il est temps de tenir ces traînées en laisse.
Il est temps d’instaurer la charia blanche.