Exception française : les retraités épargnent désormais beaucoup plus que les actifs

La rédaction
Démocratie Participative
16 janvier 2024

 

Nous assistons au plus grand viol/vol générationnel de l’histoire humaine.

C’est en ce moment, sous nos yeux.

Le Figaro :

Selon les derniers chiffres de la Banque de France, les personnes de moins de 30 ans épargnent 8 % de leur revenu, celles entre 50 et 59 ans, 18 %, et celles de plus de 70 ans, 25 %. Cette belle progression linéaire peut sembler, vu de loin, conforme au bon sens. En vieillissant, on gagnerait en sagesse et en sobriété. Il s’agit en réalité d’un changement abrupt, qui contredit tous les principes économiques. Ces dernières décennies, le taux d’épargne selon l’âge suivait un profil «en cloche» avec un pic juste avant la retraite. Dans une étude d’il y a vingt ans, l’Insee notait encore: «On retrouve un montant épargné relativement stable au cours de la vie active qui décline nettement après le passage à la retraite

La bascule date des quinze dernières années. Elle s’est accélérée depuis le début du premier quinquennat d’Emmanuel Macron. En 2017, le taux d’épargne des plus de 70 ans atteignait 16 %. En 2020, il avait grimpé à 22 %, pour arriver aujourd’hui à ce surprenant 25 %, alors que l’épargne moyenne des Français progressait dans la même période de 14,1 % à 17,4 %. Même si ces moyennes englobent aussi de nombreux ménages qui n’ont pas les moyens de mettre de côté le moindre centime, la tendance est nette. Elle contrarierait fortement le Prix «Nobel» d’économie de 1985, Franco Modigliani. Récompensé par la Banque de Suède pour ses «analyses pionnières de l’épargne et des marchés financiers», l’Italo-Américain est le père du modèle économique du «cycle de vie».

Ce système de pillage organisé est très simple à comprendre. Les boomers contrôlent la société depuis le putsch culturel de 1968.

En 1945, après qu’Adolf Hitler a malheureusement perdu la guerre, De Gaulle a livré la culture à la gauche, c’est-à-dire au Parti Communiste et à l’Union Soviétique. Il a ainsi laissé les marxistes façonner la pensée par la presse, la radio, le théâtre, l’école.

Le PC s’est ensuite progressivement institutionnalisé pendant le développement économique des 20 années suivantes. Les boomers, nés après la guerre et arrivés à l’âge adulte dans les années 1960, n’ont pas trouvé là l’instrument révolutionnaire freudo-marxiste qui leur permettait d’atteindre leur objectif : baiser.

C’est le point de départ de Mai 1968. Le juif Cohn-Bendit voulait accéder à l’internat des shiksas pour les sauter, ce qui à l’époque était impossible puisque le féminisme n’avait pas encore instauré la mixité à l’école.

La production culturelle officielle, quoique à gauche, était trop éloignée des aspirations dégénérées des boomers. Le Parti Communiste était aussi anti-fiottes et patriarcal que n’importe quel parti de droite ou d’extrême-droite et le laxisme sexuel n’était pas du tout sa ligne, bien au contraire. La promotion de la sodomie généralisée et la dictature vaginale étaient impensables pour les générations d’avant-guerre, peu importe leur appartenance idéologique.

Comme les boomers voulaient absolument baiser, ils ont tout brûlé jusqu’à ce que De Gaulle leur cède tout ce qu’ils voulaient dans le domaine scolaire.

De Gaulle a toujours été un lâche et un incapable, peu importe ce que racontent les gens à ce sujet.

Mai 68 n’aurait pas eu lieu sous Adolf Hitler.

Sous ce vieux machin, si.

Instantanément, l’anarchisme s’est installé partout dans les écoles, jusqu’à la situation actuelle, avec cet analphabétisme généralisé et ces afro-musulmans qui égorgent des profs de gauche.

Donc, ces boomers, après avoir pris le contrôle de la culture, n’ont pas mis longtemps à prendre le pouvoir. Seulement 15 ans après Mai 68, la gauche, avec Mitterrand, ses boomers et ses juifs, prenait le pouvoir pour ne plus le lâcher.

Plus le temps passait, plus les boomers accumulaient capitaux et positions politiques. Comme leur modèle de société fondé sur la sexualité stérile est devenue la norme, la dénatalité est devenue la norme. Leur imaginaire d’extrême-gauche s’est parfaitement fondu dans le sans-frontiérisme capitaliste pour donner la formule actuelle : les migrants vont payer leurs nos retraites.

Si les communistes de la CGT parlent comme le MEDEF à ce sujet, c’est pour cette raison.

L’autre conséquence de cette dénatalité, c’est que les vieux forment le plus puissant bloc électoral, car le plus homogène et le plus motivé.  Et les vieux ne votent que pour une seule et unique chose : le niveau de leur pension.

Le candidat qui s’annexe le vote des vieux devient président.

Macron est la créature des boomers, leur projet final

En moyenne, les boomers ont commencé à être en retraite à partir de 2010 et leur cohorte va jusqu’en 2027. Ceci dit, en raison de la structure même de cette société stérile construite par les boomers, le nombre de vieux va continuer d’augmenter mécaniquement, prolongeant ce fléau générationnel.

En 2030 nous aurons 21 millions de retraités sur le dos, lobby électoral colossal qui ne pourra jamais perdre une élection. Comme ils détiennent numériquement le pouvoir électoral et que la démocratie est la règle, le pillage ne va qu’en s’intensifiant. Ce qui passe par la dette plus que par les impôts.

Cette dette vient avec des intérêts et ces intérêts, versés aux créanciers juifs internationaux, pompent progressivement toute l’énergie vitale du pays dont l’activité ne sert qu’à une chose : payer les retraites des vieux.

En somme, ce système est construit par des parasites, pour des parasites et l’homme blanc hétérosexuel de moins de 40 ans en est la bête de somme sacrificielle.

C’est pour ça que nous avons ces millions d’allogènes partout, parce que les boomers voulaient baiser il y a 60 ans. Et la France est le pire pays occidental à ce niveau.

Ce modèle part du principe que chacun souhaite maintenir, tout au long de sa vie d’adulte, un niveau de consommation à peu près stable. Pour satisfaire cet objectif, les individus jouent sur leur niveau d’épargne. Au début de leur vie active, les jeunes s’endettent. Les revenus croissent ensuite au fil de la carrière, jusqu’à dépasser le niveau de consommation souhaité. L’épargne devient alors positive, avant de décroître avec la retraite sous l’effet de la baisse des revenus. Ce schéma ne correspond donc plus en rien à la réalité française, qui voit les plus âgés devenir les premières fourmis du pays.

« Fourmis »

A contrario, en Allemagne, selon les données de l’Institut der Deutschen Wirtschaft, le taux d’épargne commence à baisser à partir de 55 ans, au moment où les frais de santé se font plus lourds. Aux États-Unis, l’épargne diminue à partir de la retraite.

La spécificité hexagonale s’explique d’abord par le relativement confortable niveau de vie des personnes retraitées, qui dépasse de quelques points celui de la moyenne des Français. «Le niveau de vie relatif des retraités a progressé de plus de 30 points en cinquante ans et les retraités sont désormais moins pauvres que l’ensemble de la population», note ainsi le Conseil d’orientation des retraites.

L’essentiel du rattrapage a toutefois eu lieu entre les années 1970 et 2000. Depuis, l’écart entre les retraités et le reste de population se maintient, voire a légèrement diminué ces dernières années, sous l’effet des réformes passées par Emmanuel Macron en faveur des actifs.

Seule certitude, les mêmes questions ne se poseront pas pour les actifs d’aujourd’hui. D’ici à dix ans, selon les scénarios du Conseil d’orientation des retraites, bâtis à taux de cotisation constant, le niveau de vie moyen des retraités par rapport au reste de la population se détériorera nettement. En 2070, en raison du ralentissement démographique, il sera plus faible de 15 % à 25 %.

En effet, c’est le second cadeau des boomers : ce système pro-vieux n’est pas viable, par définition. Comme toute pyramide de Ponzi, elle ne fonctionne que durant un temps et ce temps a été calculé par les boomers pour durer le temps que les boomers sont en vie. Ensuite, le système s’effondrera complètement et il ne restera que des dettes, des noirs et des musulmans.

La propagande pro-diversité consiste à expliquer aux prisonniers du goulag qu’ils ont de la chance de vivre dans un goulag car le goulag est le seul monde possible, donc le meilleur possible pour reprendre la formule de Leibniz.

Ces criquets partiront à la tombe en riant comme jamais des gens possédés par le démon n’ont ri en mourant.

Vous pouvez leur dire que vous irez uriner sur leur pierre tombale, cela ne leur fera ni chaud, ni froid, car ces gens ne croient pas à la vie après la mort. Ni à rien.

S’éclater est leur boussole.

De nos jours, ils ne baisent plus, ou pratiquement, mais ils mangent, ils vont en weekend, en voyage, ils se baladent.

Parce qu’ils l’ont bien mérité et qu’ils ont bossé dur, contrairement aux jeunes qui sont des fainéants pathologiques.

Démocratie et démographie sont étroitement liés, si bien que le résultat des élections est tout sauf une surprise. Certes les plus jeunes font de la résistance, mais les boomers aussi font de la résistance.

C’est aussi pour ça que l’ouverture maximale des vannes migratoires a lieu : banquiers juifs et politiciens savent que les boomers ne sont pas immortels. Sans truquer le jeu, il y aura un retour de bâton très violent.

Importer des créatures stupides du tiers-monde est un excellent moyen de stabiliser ce système de pillage généralisé.

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