Captain Harlock
Démocratie Participative
09 Juillet 2020
Le poivrot gauchiste Renaud Séchan a miraculeusement pu se tenir debout quelques minutes pour s’essayer à ce qui a l’air d’être une chanson. Du moins, si j’ai bien compris mais je ne suis pas totalement sûr d’avoir compris. Il est question d’une pandémie cataclysmique qui aurait cruellement pris au piège en pleine croisière les Boomers de sa génération. Tout ça dans un décor caricatural de camp manouche.
Il n’y a que les gogos qui s’imaginent les tziganes grattant de la guitare au coin d’un feu de bois.
Bref.
Le seul truc notable, hormis le délabrement ahurissant de ce pauvre diable, est un détail.
L’étoile de David que cet ectoplasme arbore.
Renaud est devenu une épave. Il n’est plus qu’une ombre à forme vaguement humaine. C’est certainement pour cela que Renaud affiche désormais une étoile de David : il doit espérer que les nécromanciens de la synagogue lui prêtent vie encore quelques années en échange d’une sujétion complète. C’est plus ou moins de la magie noire kabbalistique. Si vous acceptez de perdre votre âme pour servir les juifs, vous finirez aussi comme ça.
On a peine à croire que 30 ans de biture, de marxisme et de sémitisme nous séparent du même homme.
Quand c’était encore permis à gauche, Renaud Séchan pouvait articuler un semblant d’idées cohérentes. C’était un ultra de la cause palestinienne. Il voulait « gommer » la colonie juive de Palestine. « Avec des bombes ».
Les choses ont changé.
« Je me sens très proche de la communauté juive » (Renaud à i24NEWS)
►►https://t.co/APRUzyKSba pic.twitter.com/VsKnXcw7yY— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) January 10, 2017
D’une certaine façon, son parcours résume la trajectoire de la génération du Baby Boom. Ultra marxiste à 20 ans, socialiste à 40 avant de finalement devenir l’allumeur d’interrupteur du rabbi à 60.
Vous voyez, l’euthanasie est un sujet plus complexe qu’on ne dit. Si Renaud avait été mon père, j’aurais activement cherché à le libérer de lui-même comme de ses bourreaux juifs et l’aurais fait piquer. Une mort douce.
C’est une façon bien plus digne de quitter la scène que d’agoniser dans son vomi en marmonant la Hatvika devant des hébreux en caftan hilares, si vous voulez mon avis.