Êtes-vous guéri du zemmourisme et de la démocratie et êtes-vous prêt pour le séparatisme racial bourguignon, ou pas ?

La rédaction
Démocratie Participative
27 juillet 2022

C’est le moment de parler de la Bourgogne Blanche et du séparatisme ethno-racial par extension.

En août 2020, quelques semaines avant la plandémie de Covid19, le concept avait été présenté ici même.

L’idée a reçu des avis partagés, principalement parce que les gens n’ont pas encore réellement pris conscience de la dimension étatique de la désagrégation territoriale de la France sous l’effet de l’immigration non-blanche. Les gens pensent que la France restera une carte avec des départements pour les 30 ou 40,000 prochaines années, avec simplement plus d’agressions commises par des arabes. L’idée même d’une partition réelle, matérielle de la France, paraissait et paraît encore impossible.

Si vous ne croyez pas que quelque chose est possible, vous ne vous y préparez pas, à l’évidence.

Les récentes déclarations de Viktor Orban sont venues à point nommé. Je suis heureux qu’il reprenne nos analyses.

Il y a une différence entre comprendre, au plan purement intellectuel, l’évolution démographique en cours et préparer cette évolution concrètement. Si beaucoup de gens sont d’accord avec ce que nous disons ici sur la question démographique, les choses sont très différentes quand il s’agit de proposer quelque chose face à la question démographique.

La position majoritaire à droite est qu’il est possible de bricoler pendant longtemps encore dans le cadre de la société de consommation française bougnoulisée.

Avec le Covid début 2020, la guerre en Ukraine début 2022 et les élections présidentielles entre les deux, il est devenu impossible de parler du futur dans la France post-blanche. Ces élections, avec l’insupportable spam pro-Zemmour, ont hypnotisé 95% des gens qui se disent « identitaires ». Pendant huit mois, les mêmes qui ont aujourd’hui totalement oublié le nom de ce séfarade, ne juraient que par le salut électoral républicain et le Barbier de Sétif. D’ailleurs, nombre d’entre eux ont sauté à pieds joints dans la guerre de ZOG en Ukraine, sortant des indignations de vieilles femmes pour justifier le soutien au terroriste juif pro-LGBT Zelensky.

Dans cet environnement, parler de séparatisme racial et de projet bourguignon était inutile.

La semaine dernière, nous devions mourir à cause de la température de l’air, cette semaine à cause de la variole du singe

Maintenant, le flan électoral est dégonflé, les gens décuvent.

La différence vraiment notable par rapport à l’année dernière, c’est qu’il y a des ménagères africaines qui demandent de l’argent – mais à l’Assemblée, directement.

Et qui demandent à libérer l’Afrique aussi.

Rachel Kéké fait plus de retweets sur ce seul sujet que Zemmour au plus fort de sa campagne. Et Rachel Kéké est députée de la Nation, pas Zemmour.

Contrairement à cette phase 2020-2022 où le temps était suspendu, les choses changent à présent de plus en plus vite. La fragmentation du système global suite la déconnexion de la Russie du système financier occidental produit ses effets concrets.

La vie quotidienne sous le Covid avait commencé à changer, mais le confort était le même.  Les gens ont accepté la surveillance et la vaccination en échange de 700 milliards d’euros de cash. Les cinémas ont montré des films dans des salles sans spectateurs et les restaurants n’ont jamais fait autant de profits que pendant leur fermeture de deux ans. 90% des plébéiens étaient contents, avec leurs masques.

Avec la guerre en Ukraine, nous entrons dans une sévère crise énergétique et avec elle, dans la crise des dettes souveraines.

Ce système social-internationaliste repose sur la pyramide de Ponzi de l’endettement. Pas plus qu’il n’a un plafond de dettes théorique, il n’a un plafond d’immigration théorique.

Le changeur juif Marc Touati a fait le tour de la situation réelle de l’Europe d’une manière relativement objective dans une vidéo récente. La richesse totale de l’Italie est revenue au niveau de l’année 2000 et ce n’est qu’un début avant la véritable chute.

Les gens vont vivre dans un environnement radicalement différent, progressivement sans aide de l’État, mais toujours plus saturé d’allogènes et de taxes.

Sans argent gratuit en quantités illimitées à disposition, ce système socialiste devra nourrir 20 millions de boomers et 20 millions d’allogènes.

C’est impossible.

Il n’y aura pas de filet de sécurité

En France, nous sortons de près d’un siècle de stato-socialisme mental.

D’ailleurs, en ce moment, c’est la fête des congés payés.

Au moins trois générations ont été éduquées par l’État pour leur faire croire en l’infaillibilité de la divinité de la République française. La vaginocratie dans laquelle nous vivons s’assure par ailleurs que tout soit gratuit, puisque le communisme est le fonctionnement de base du cerveau féminin. Les hommes sont tenus de réparer les conneries des femmes et les conneries des femmes sont toujours mesurables financièrement.

Toutes les situations sidérantes que nous voyons autour de nous ne sont tolérées que parce que l’argent gratuit pleut sur une plèbe française qui est mentalement dominée par le pôle féminin de la société. Tout le monde se dit que c’est aux autres de régler les soucis et que ces soucis seront réglés par des chèques.

Dire qu’il y a trop d’assistés en France est une chose, sortir de l’assistanat culturel en est une autre. Les gens n’en sortiront pas volontairement, ils en sortiront parce qu’ils auront été abandonnés par un état en banqueroute, réduit à une bureaucratie communiste prête à tout pour se survivre à elle-même.

Le concept de Grande Bourgogne Blanche est celui d’un ethno-état blanc, construit par les travailleurs blancs, pour les travailleurs blancs, constitué dans la partie orientale de la France actuelle.

Parmi les critiques ou oppositions de principe en 2020, l’idée même d’un état blanc séparatiste. Ces critiques disent qu’il « suffit » de reprendre la France et voilà. Ces critiques n’ont pas formulé de plan précis à propos de cette reprise, même s’il est plus ou moins entendu que ce serait électoralement, sur une ligne zemmourienne. Ils n’ont pas dit non plus ce que leur projet comporte pour gérer les quelques 16 ou 17 millions d’allogènes concentrés dans toutes les villes de la Crépublique fronssaise. Et je ne parle pas de la question féminine, pourtant décisive, qui fait vriller tous les hommes ou presque.

Bref, ces personnes-là veulent garder le territoire appelé « France » avec sa société actuelle, passablement aménagée moyennant quelques accommodement déraisonnables que liste studieusement la « droite ».

Par définition, un état séparatiste se sépare de quelque chose. En l’espèce, de la société française islamo-africanisée, donc des Français qui adhèrent à cette société. Cela suppose qu’à court et moyen terme, il faille rompre territorialement pour se réorganiser dans un cadre révolutionnaire consécutif à un effondrement complet du système, à l’image du communisme dans les Balkans.

Un tel projet part du même constat que celui que dresse Orban depuis la Hongrie : la France est un état défaillant qui va suivre la pente du Liban, de la Yougoslavie, de la Syrie, partout où la population de souche européenne devient minoritaire – que ce soit dans une ville, un département ou une région entière.

Se séparer individuellement peut aider, mais pas suffire. Ce n’est pas une équation personnelle uniquement, mais une équation raciale et territoriale, donc collective. Seul un état peut répondre à ce qui va se produire, à la faveur de déplacements de populations.

Toute l’histoire n’est qu’une somme de déplacements de populations forcés.

 

La condition pour que l’État judéo-maçonnique français tienne debout aussi longtemps que possible, c’est le vivre ensemble, à marche forcée, par la coercition.

Il ne peut plus y avoir un autre état unifié en France qui ne soit par obligation un état multiracial, donc antiblanc. Le racisme antiblanc est le nouveau paradigme du contrat social rousseauiste. Dans ce contexte, le patriotisme à l’ancienne ne sert qu’à mobiliser la viande aryenne pour qu’elle travaille et souffre encore plus gratuitement pour le maintien de cette société condamnée.

Du tricolore, tant qu’on en voudra.

Il est un fait que de nombreuses personnes, aussi bougnoulophobes qu’elles se disent, ne voudront jamais faire quelque chose pour changer radicalement de vie, individuellement et collectivement. Comme le tabagisme, elles restent dans leur habitude toxique et s’organisent autour de leur mode de vie morbide.

Ces gens auront toujours un argument pour ne rien faire.

Donc, ils continueront à vivre dans une bauge gigantesque.

Il y a eu une autre critique du projet bourguignon, plus constructive. Elle porte sur le choix de la (Grande) Bourgogne. Des gens se disent déjà organisés en Normandie, en Aquitaine ou ailleurs. Bien sûr, on peut toujours s’organiser n’importe où, mais un projet d’état séparatiste n’est pas un projet personnel de survie. C’est un projet étatique, avec tout ce que cela comporte. Dans ce contexte post-effondrement racial, l’avantage de la Grande Bourgogne, c’est son ancrage au reste du continent européen. Une Normandie séparatiste par exemple ne ferait aucune différence dans la dynamique générale qui traverse l’Europe occidentale.

Aller en Grande Bourgogne pour forger son espace blanc personnel, c’est très bien, aussi bien qu’en Normandie ou ailleurs. Mais, l’idée centrale, c’est de rassembler les populations de souche blanche voulant survivre à la fragmentation ethnique et économique de l’État français dans un espace commun où elles s’organisent en état.

Il y a deux dimensions à ce projet : la dimension personnelle et la dimension collective.

Pour la dimension personnelle, nous sommes entravés par l’État juif qui ne va évidemment pas laisser des Blancs s’organiser en vue de sa disparition.

L’exemple de l’agence immobilière « chrétienne » l’a démontré, alors que le public ciblé est pourtant un public qui va à la messe avec des noirs d’Afrique.

Des quartiers entiers peuvent être des villages musulmans, mais un seul lotissement peuplé de Français catholiques suffit à déclencher la violence étatique juive.

Nous ne pouvons pas opérer de cette façon.

Nous avons proposé aux gens deux choix : se replier seuls, et rester seuls faute de réseau ou presque, ou s’investir avec nous afin de créer un réseau de solidarité durable, auquel cas le filtrage des provocateurs et des flics impose de demander aux gens de disposer de l’équivalent d’un terrain en cash (qu’ils récupèrent ensuite). Notez que pour nous, ce n’est qu’une contrainte supplémentaire car c’est un effort que nous ferions sans rien prendre en échange.

Le deuxième dimension, c’est la dimension politico-étatique qui suppose de former une structure politique séparatiste sur les territoires concernés. C’est bien sûr faisable en un temps assez bref, mais cela nécessite du temps et des moyens, notamment de propagande.

Nous ne pousserons pas jusqu’aux portes de Paris, par soucis sanitaire

Comme je l’ai dit, les gens ne se projettent pas dans quelque chose d’aussi radical, parce qu’ils restent intérieurement persuadés que le cadre actuel des états-nations est durable, même quand ils ont l’impression de croire l’inverse. Nous sommes encore dans l’évitement et le marchandage.

La première question à se poser est de savoir si l’on croit vraiment à la viabilité de l’État français islamo-négrifié, avec sa natalité blanche à 1.3 enfant par femme, dirigé depuis Paris par les juifs et leur bureaucratie fémo-marxiste peuplée de métèques. Elle détermine le reste.

Il est impossible pour nous ici de forcer les gens à faire quelque chose s’ils refusent catégoriquement d’envisager sérieusement ce qui va se produire. Voter Zemmour n’a servi à rien, faire du « gramscisme de droite » ne sert à rien, écrire des livres et faire des conférences ne sert à rien. Ce qui sert à quelque chose, c’est de travailler à la liquidation de cet état pourri en rompant avec le régime juif de Paris de manière irréversible.

Tout ce qui se fait aujourd’hui tourne autour du mythe de la « réforme » impossible de cet état putréfié.

Il est temps pour vous, si vous n’avez pas quitté le territoire français et que vous n’avez pas l’intention de le faire, de vous poser la question de votre vie pour les 30 prochaines années, c’est-à-dire de votre survie dans un pays libanisé qui n’aura plus rien de commun avec ce qui est encore actuellement, avec son guichet social massif.

Nous pouvons amener des profils différents à ce projet, des libertariens aux racistes. Mais le temps presse, donc, cela dépend principalement de ce que vous voulez pour vous-mêmes.

Dieu n’aide pas les gens qui ne veulent pas s’aider aux-mêmes.

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