La rédaction
Démocratie Participative
18 avril 2023
L’état pédé de Washington mène l’offensive anale
Les états pédés américains vont pouvoir kidnapper légalement les petits garçons pour leur couper les organes génitaux et les habiller en filles.
La Chambre des représentants de l’État de Washington a adopté cette semaine le projet de loi 5599 du Sénat, qui supprimerait une loi obligeant les centres d’accueil pour jeunes à avertir les parents de l’arrivée de leur enfant, à moins qu’il ne soit prouvé que l’enfant est victime d’abus. La proposition élargirait la portée de ce qui constitue une « raison impérieuse » de cacher un mineur pour inclure les jeunes qui cherchent à changer de sexe ou à obtenir des « services de santé génésique », comme l’avortement. Le projet de loi, adopté par le Sénat en mars, doit maintenant être signé par le gouverneur Jay Inslee (D.).
Il s’agit de la dernière initiative d’un État démocrate visant à aider les mineurs à obtenir des procédures médicales controversées sans le consentement de leurs parents. Les législateurs de l’Oregon, du Minnesota et du Colorado ont tous adopté des lois visant à faire de leurs États des « havres de paix » pour les jeunes souhaitant changer de sexe ou avorter. Les démocrates californiens ont récemment présenté un projet de loi qui permettrait à des enfants de 12 ans de s’enregistrer dans un foyer sans le consentement de leurs parents.
Cette loi permettra de faire disparaître les enfants pour les charcuter sexuellement avant de les travestir et de les livrer aux prédateurs LGBT qui sont en manque de chair fraîche.
Les parents n’auront pas le droit de savoir où sont leurs gosses, ni de s’opposer aux pédophiles qui opèrent avec le plein appui de l’État.
Cette nouvelle frontière du progrès anal est le nouveau standard de la démocratie avancée.
C’est une Négresse menaçante du Parti démocrate de Biden qui est la principale meneuse du projet pédo-LGBT dans cet état.
La députée Jamila Taylor (D-Federal Way) soutient un projet de loi permettant aux enfants transgenres de subir des opérations chirurgicales sans le consentement de leurs parents, parce qu’ils risquent d’entendre des microagressions et de s’enfuir de chez eux.
Où dormiront-ils si ce n’est grâce à son projet de loi ? Sans elle, ils pourraient toujours aller dans des refuges. Elle vous ment.
Rep. Jamila Taylor (D-Federal Way) backs a bill giving trans kids surgeries without parental consent because they may hear microaggressions and run away from home.
Where will they sleep if not for her bill? Without it, they could still go to shelters. She’s lying to you. https://t.co/H68K1I4h1g pic.twitter.com/vk2HfRilHD
— Jason Rantz on KTTH Radio (@jasonrantz) April 16, 2023
Je ne comprends toujours pas ce concept de Nègres élus pour décider de choses et d’autres.
Ces mesures interviennent alors que des militants transgenres, des personnalités des médias sociaux et des thérapeutes encouragent les mineurs à rompre les liens avec leurs parents si ceux-ci ne soutiennent pas les transitions médicales. La représentante démocrate de l’État, Tana Senn, a lancé un appel similaire aux « jeunes de notre pays » lors du vote du projet de loi à la Chambre des représentants.
« Je leur dis ce soir que je vous vois, que je vous affirme, que je vous entends, que je vous aime », a déclaré Mme Senn depuis le sol de la Chambre. « Avec l’adoption de ce projet de loi, nous leur disons que l’État de Washington les aime aussi.
Le représentant républicain de l’État, Jim Walsh, a contesté ce tableau idyllique, soulignant qu’il avait entendu des « milliers de Washingtoniens préoccupés par cette attaque contre les droits des parents et des familles… Les auteurs et les partisans de ce projet de loi ont outrepassé la Constitution et la jurisprudence en promouvant cette politique, qui permettrait aux bureaucrates de l’État de cacher des enfants mineurs aux parents qui en ont la garde et aux tuteurs légaux« , a déclaré M. Walsh, ajoutant que parmi les « nombreux défauts » du projet de loi, il suppose que « les familles qui n' »affirment » pas les désirs à court terme d’un enfant sont abusives ».
L’auteur du projet de loi, le sénateur Marko Liias, a justifié sa proposition en affirmant que les bloqueurs de puberté et les procédures de changement de sexe ont « prouvé qu’ils réduisaient les taux d’effets négatifs sur la santé mentale, renforçaient l’estime de soi et amélioraient la qualité de vie globale des jeunes transgenres et des jeunes de sexe différent ».
Liias cite à l’appui de son affirmation une fiche d’information de l’administration Biden, qui s’appuie sur des données fournies par des groupes d’activistes transgenres tels que le Trevor Project. Mais les recherches montrent de plus en plus que si les personnes peuvent ressentir un léger regain d’humeur lorsqu’elles commencent à prendre des hormones, la plupart de ces gains disparaissent au bout de trois ans.
Pourquoi ne pas faire confiance à Marko Liias, l’incarnation du pedo bear ?
Avec le lavage de cerveau LGBToïde que subissent les enfants accrochés à leurs smartphones, les convaincre de fuguer pour rejoindre un centre pédo-homo ne sera pas difficile.
Ensuite, les pédés les opéreront pour les violer dans leurs centres BDSM et il n’y aura plus jamais de retour en arrière pour leurs petites victimes.
Ces pédophiles homosexuels ne vont pas s’arrêter là. Tant que l’État fédéral américain n’a pas le pouvoir de voler les enfants dans les maternités pour les transformer en objets sexuels, ils ne seront pas satisfaits.