Captain Harlock
Démocratie Participative
30 octobre 2018
Aux USA, le gros sujet de discussion du moment, c’est : les juifs.
Plus exactement, le gros sujet de discussion des médias juifs, c’est : les juifs.
Vous avez eu cet incident bizarre où un homme probablement manipulé a fait des déclarations extravagantes sur GAB avant d’aller tirer dans une synagogue.
Il a été présenté partout comme un militant pro-Trump mais c’est faux. Même les médias juifs ont finalement reconnu que ça n’avait aucun fondement.
Le tireur a posté des messages de soutien à certains aspects de la politique de Trump comme son opposition à l’immigration de masse. Mais il estime aussi que Trump est manipulé par les juifs et il précise qu’il n’a pas voté pour lui. https://t.co/sI3kf1umCs
— Jean-Bernard Cadier (@jbcadier) 27 octobre 2018
Cependant, les juifs n’ont pas pour habitude de rater une occasion d’exploiter cyniquement un cadavre. S’il n’y a pas de lien entre ce tireur et Trump, les médias juifs le créent. Tout simplement.
La thèse officielle c’est que Trump communique par télépathie avec l’auteur.
La juive Julia Loffe, maquillée comme une star du porno, est arrivée sur CNN pour dire aux goyim que Trump était plus dangereux que l’Etat Islamique parce qu’il avait « radicalisé bien plus de gens que l’EI ».
CNN panel blows up after guest says Donald Trump has “radicalized more people than Isis” pic.twitter.com/Sy7lZEBZXK
— Jon Nicosia ?? (@NewsPolitics) 29 octobre 2018
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Donc Trump, par un ressort mystérieux, communique avec ces gens.
Trump est un Nazi secret qui a des pouvoirs télékinésiques.
D’ailleurs, c’est la définition officielle du premier holocauste donnée par Raul Hilberg :
Mais ce qui commença en 1941 fut un processus de destruction non planifié à l’avance, non organisé et centralisé par une agence quelconque. Il n’y eut pas de projet et il n’y eut pas de budget pour des mesures de destruction. [Ces mesures] furent prises étape par étape, une étape à chaque fois. C’est ainsi qu’apparut moins un plan mené à bien qu’une incroyable rencontre des esprits, une transmission de pensée consensuelle au sein d’une vaste bureaucratie.
De la transmission de pensée : voilà l’arme secrète de ce sale goy.
Trump a eu la seule réponse sérieuse au sujet de cette juive. « Elle est tarée ».
Trump weighs in on far-left writer Julia Ioffe after her comments today on CNN, says, « Well that must be some kind of a sick woman. »
Ioffe, who did not receive any pushback from CNN’s Jake Tapper, said that Trump has « radicalized so many more people than ISIS ever did. » pic.twitter.com/0tHW2fR3FG
— Ryan Saavedra (@RealSaavedra) 30 octobre 2018
Vous avez aussi eu Bill Kristol, un des juifs les plus dangereux de la planète, qui s’est répandu sur les réseaux sociaux contre Trump.
Son angle d’attaque est le suivant : les Républicains luttaient jadis contre le « conspirationnisme » et le racisme. Mais, maintenant Trump règnerait grâce au « conspirationnisme » et au racisme.
For a half century, American conservatism and the GOP did a decent job, most of the time, of marginalizing conspiracy theories and repudiating bigotry. But at least for now it’s Trump’s GOP and conservatism, so conspiracy theories and bigotry seem to rule. https://t.co/X0Acf1yPoM
— Bill Kristol (@BillKristol) 30 octobre 2018
Le conspirationnisme, c’est très mal parce que ça a tendance à sortir le goy de sa torpeur.
Kristoll est à l’origine de la Guerre d’Irak en 2003 avec cette histoire des chambres à gaz nucléaires de Saddam Hussein. C’est lui qui, avant le 11 septembre, avait créé aux côtés du juif Robert Kagan le Project for a New American Century (PNAC) via lequel il demandait un « nouveau Pearl Harbour » pour que les USA partent à la conquête du monde.
Officiellement, ce Kristol est à « droite ». La droite radicale juive.
Vous avez un autre juif médiatique de cette droite radicale, un certain Ben Shapiro, qui attaque désormais Trump en dénonçant sa formule selon laquelle « les médias sont l’ennemi du peuple ».
This “enemy of the people” stuff has to stop, but it won’t. https://t.co/A6esEQSlDT
— Ben Shapiro (@benshapiro) 29 octobre 2018
(((Les médias))).
Notez qu’aux USA, les juifs sont en terrain conquis et affichent donc les couleurs.
Les kippas si vous préférez.
Comme Shapiro.
Tout ceci donne le ton général.
Donc les juifs disent tous à Trump : « Bon, on arrête les frais, c’est sérieux maintenant. »
Les juifs ne forment vraiment qu’une seule et même entité dont les querelles rabbiniques tournent autour de la méthodologie à suivre pour défendre les intérêts tribaux face aux goyim.
Vous avez le chemin radicalement cosmopolite qui s’appuie sur tous les groupes hostiles aux hommes blancs hétérosexuels : pépitos, travelos, femmes blanches lesbiennes, nègres, etc.. Et vous avez le chemin du Likoud, qui consiste à instrumentaliser la naïveté des Blancs vaguement réactionnaires pour durcir le ton contre les métèques lorsque cela devient nécessaire.
La triangulation, en résumé.
Quand les juifs sentent que le terrain devient glissant en Occident, vous les voyez changer de camp en un éclair, à la stupéfaction des goyim qui croyaient en leurs « meilleurs alliés ».
Ici, nous avons souvent dit ceci : ce sont les juifs qui décident de qui est antisémite. Un antisémite, c’est quelqu’un dont les actes constituent un obstacle au triomphe final des juifs.
Vous avez l’antisémite actif – nous par exemple – et l’antisémite passif. C’est-à-dire tous les goyim par défaut.
Trump continuera de se faire draguer par Bibi, histoire de gratter quelques F35 et une couverture diplomatique en acier trempé à chaque fois qu’il ferait calibrer du bougnoule. Mais dans l’ombre, le Kahal a tranché sur le cas Trump.
Dans le journal juif Haaretz, le ton est le suivant : « à force de suivre aveuglément ce sale goy américain, la gauche US commence à devenir antisémite ».
Effectivement, l’étude d’opinion citée indique que seulement 29% des femmes américaines perçoivent Israël comme un « allié ».
Chez les 18-29 ans, seuls 25% des gens considèrent Israël comme un « allié » contre 55% chez les plus de 65 ans, c’est-à-dire les Boomers. Inutile de dire que les 18-29 ans comportent un maximum de gens marrons qui se sentent naturellement plus proches des gens marrons du Moyen-Orient que de ces juifs surarmés que soutient l’armée américaine.
Seuls 29% des gens ayant voté Clinton en 2016 perçoivent Israël comme un allié contre 65% des électeurs de Trump.
Bref, les juifs sont pris entre le marteau et l’enclume : plus l’Amérique sombre dans la balkanisation raciale voulue et mise en place par les juifs, plus l’Amérique devient radicalement antisioniste. Si d’aventure Israël se rapproche trop de la droite américaine, son soutien s’effondre encore plus rapidement chez les jeunes gens marrons qui prolifèrent dans le pays.
Bref, la question n’est pas de savoir si Israël va se faire larguer par l’Amérique, mais quand. A cause de la mélanisation de l’Amérique pensée et mise en place par la juiverie.
La stupidité légendaire des juifs est vraiment méritée.
Il ne faut donc pas s’interroger excessivement sur le type de campagnes ignobles auxquelles cette race est prête à se livrer pour retarder l’inéluctable.
Ce n’est que du très classique.