Capitaine Harlock
Démocratie Participative
21 juillet 2017
Je ne suis pas un fan de cyclisme. Mais cette nouvelle offensive contre l’humanité blanche est proprement insupportable.
Faut-il ou non maintenir la bise des hôtesses accordée aux vainqueurs d’étape ? Les organisateurs de la Vuelta, le tour d’Espagne cycliste, ont confié cette épineuse question à un comité d’experts. Celui-ci devra débattre du bien-fondé de cette tradition, critiquée par des organisations féministes et par certains coureurs, dont Mikel Landa (Sky). « Les hôtesses des podiums sont considérées comme des objets, avait déclaré, en janvier, l’actuel 4e du Tour de France, au journal basque El Correo (en espagnol). Il s’agit d’une habitude bien ancrée et personne n’ose franchir le pas. »
L’organisation est encore dans une position ambiguë. « Nous débattons pour savoir s’il doit y avoir baiser ou non, nous n’allons pas l’interdire parce que nous sommes dans une société occidentale, explique Javier Guillen, le directeur de l’entreprise Unipublic, qui organise l’épreuve. Mais nous envisageons (…) de ne pas recommander les deux baisers sur les joues du coureur. » En principe, le comité devrait rendre ses conclusions avant le 19 août, qui marque le début de la course.
Un steward sur le podium ?
Autre changement à l’étude dans le protocole de la Vuelta : la mixité. « S’il faut embaucher un steward pour éviter le débat et combler un certain manque dans notre politique, nous le ferons, a également annoncé Javier Guillen, non sans ironie. Nous alternerons la remise du prix entre les hôtesses et le steward. »
L’organisateur a eu l’idée d’étudier ces modifications après l’initiative prise sur le Tour Down Under, une épreuve australienne. Là-bas, des adolescents, eux-mêmes coureurs cyclistes, sont chargés de remettre le bouquet et le trophée aux vainqueurs d’étape. Comme l’explique Libération, la décision avait été imposée par l’Etat d’Australie-Méridionale.
Je sais reconnaître des surhommes quand j’en vois, qu’ils soient drogués ou non.
La remise de la coupe par de belles femmes est bien sûr un rituel guerrier. Après avoir versé sang et eau, le champion savoure sa victoire sur les autres mâles et reçoit symboliquement la récompense de sa victoire des mains de jolies jeunes femmes. Ce qui renvoie à cette maxime antique, « Vae Victis ».
En d’autres termes, le vainqueur ne remporte pas seulement la victoire, il édicte les termes consécutives à celle-ci.
Mais aujourd’hui, dans cette société ouest-européenne où les femmes et les métèques entendent abattre l’homme blanc, même quand ce dernier gagne, il faut le priver de sa victoire symbolique, même lorsqu’il se dépasse. Le frustrer de ses mérites et démontrer l’inutilité de ces efforts et sacrifices.
Ceci de la part des mêmes femelles qui se jettent aux pieds des nègres ou des bougnoules qui témoignent de la dernière brutalité à l’égard des femmes.
En d’autres termes, pour ces féministes, il s’agit de briser la seule chose qui meut l’homme blanc : l’héroïsme et les maigres réconforts matériels qu’il offre. Car l’héroïsme ne se nourrit pas en premier lieu de butin mais d’honneur.
Par ailleurs, le vainqueur n’a pas à mendier de récompenses : il les prend.
Les femmes ont bien sûr toujours fait partie du butin des conquérants. Les hommes du clan ou de la nation ennemie ayant été vaincus, leurs femmes deviennent la matrice qui permet la continuation biologique du vainqueur, garantissant aux meilleurs gènes masculins – donc guerriers – de survivre.
Cette vérité se répète encore et encore à travers l’histoire.
Par définition, le conquérant pénètre le territoire ennemi et s’y installe. Le plus sûr signe d’une occupation ennemie est l’attitude des femmes.
Si des femmes blanches se tournent vers des races inférieures, c’est simplement du fait qu’elles identifient ces races comme plus agressives et dominatrices que la leur.
Ce qui pose naturellement la question de la crise d’affirmation que rencontre l’homme blanc.
Notez cette différence fondamentale : qui est sur le territoire de qui ? La femme est par nature passive et se trouve, par définition, dans le pays conquis, sans défense. Si les femmes sont sous l’emprise d’une race étrangère, c’est que l’invasion a déjà eu lieu.
L’homme blanc, sur ses terres, ne peut à aucun moment tolérer que ses femmes soient prises par ses ennemis raciaux. Cela suppose de réclamer ses droits sur elles.