Captain Harlock
Démocratie Participative
12 octobre 2018
Il y a du nouveau en Espagne et la presse juive n’en a pas manqué une seule miette.
Dans une ploutocratie tenue d’une main de fer par la finance hébraïque, une seule chose de réellement neuf peut jamais arriver : le réveil nationaliste.
C’est précisément ce qui se passe.
Le Monde :
L’image a fait l’effet d’un électrochoc dans un pays qui semblait vacciné contre l’extrême droite. Dimanche 7 octobre, près de 10 000 personnes se sont entassées dans les gradins du palais de Vistalegre, à Madrid, pour acclamer les leaders de la petite formation Vox, Santiago Abascal et José Antonio Ortega, venus égrener leurs « cent mesures urgentes pour l’Espagne ».
Il y a de nombreuses vidéos sur la chaîne officielle YT du mouvement, mais celle qui suit est assez parlante. Celle du Secrétaire Général, Javier Ortega Smith, un vétéran des forces spéciales de l’armée espagnole.
En substance, il en appelle à mots couverts à l’armée et à la police.
Il ne fait aucun doute qu’avec une telle plateforme politique, l’équilibre général du pays peut changer rapidement.
Au programme : recentralisation de l’Etat, dissolution des régions autonomes, interdiction des partis indépendantistes, suppression de la loi de mémoire historique qui a interdit l’exaltation du franquisme en 2006 et de celle sur la violence faite aux femmes, récupération de Gibraltar, expulsion des immigrés en situation irrégulière, construction de murs à Ceuta et Melilla, retrait de l’espace Schengen, alignement sur le groupe de Visegrad (groupe informel réunissant la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie).
C’est en gros une plateforme de droite dure qui propose d’instaurer un régime autoritaire d’où seraient purgés les anarcho-communistes et les métèques qui s’infiltrent sans cesse dans le pays.
La foule était si nombreuse que des centaines de personnes sont restées derrière les portes de ces anciennes arènes symboliques, qui ont vu naître en 2014 la formation de la gauche radicale Podemos. A l’intérieur, Vox s’en prenait à « la petite droite lâche », en référence au Parti populaire (PP), et à la « girouette orange », c’est-à-dire le parti libéral Ciudadanos, et promettait « la grande Espagne, de nouveau ».
La vague populiste de droite qui secoue l’Europe est-elle sur le point de frapper l’Espagne ? Elle en semble très loin. Créé en 2013 par d’anciens militants du PP critiques sur la gestion « molle » de la crise catalane par Mariano Rajoy et les hausses d’impôts, Vox n’atteindrait, selon les derniers sondages, qu’entre 1,5 % et 3 % des intentions de vote en cas d’élections législatives. Mais la formation n’avait obtenu que 0,2 % en 2016.
Pour les européennes, elle pourrait toutefois récolter jusqu’à 4,6 % des voix selon les sondages, contre 1,5 % en 2014.
Tout peut aller très vite, selon la situation économique générale du pays.
Depuis 2008, l’Espagne se finance auprès des juifs en contrepartie d’une saignée austéritaire sans fin. Dans ce cadre général, les alternances n’ont pas d’importance réelle puisque, en définitive, le gouvernement en place doit aller mendier du cash auprès de la banque juive.
C’est d’ailleurs ce qu’a fait le socialiste actuel, Pedro Sanchez, en rencontrant le juif Soros peu après son arrivée au pouvoir cet été. La facture présentée au gouvernement fantoche par les juifs a été d’accueillir toute la pouillerie raciale sur le sol espagnol à la place de l’Italie, bouclée par Salvini.
Ce qui a été suivi immédiatement d’effets.
L’Espagne est donc une nation vaincue, occupée par un gouvernement juif chargé de veiller à la liquidation du pays au profit de cette finance internationale.
Tout se déroulait comme prévu jusqu’à l’arrivée de ce mouvement Vox. Pour l’heure, les juifs se disent que ce mouvement ne peut pas dépasser 5% des suffrages. Mais ils ont également vu avec quelle rapidité des mouvements populaires blancs peuvent soudainement être en mesure d’entrer dans les parlements et de faire dérailler le programme globaliste.
En Allemagne, l’AfD n’était pas censée exister. Elle est désormais à 18% dans les sondages.
Germany, GMS poll:
CDU/CSU-EPP: 27%
AfD-EFDD: 18%
GRÜNE-G/EFA: 16% (+1)
SPD-S&D: 15% (-1)
LINKE-LEFT: 10%
FDP-ALDE: 10% (+1)Field work: 04/10/18 – 10/10/18
Sample size: 1,007#btw21 #Germany #Merkel pic.twitter.com/DTwiryTu4A— Europe Elects (@EuropeElects) 11 octobre 2018
Ce qui est également positif, c’est que Vox ne se range pas derrière la bourgeoisie libérale qui sert de relais aux juifs dans le pays. Ce genre d’orientations suffit généralement à détourner les masses et à les laisser avec les partis marxistes juifs pour seule alternative de théâtre.
Celui en qui on voyait un leader populiste d’extrême droite infréquentable est désormais invité un peu partout pour répéter à l’envi que son pays «est en phase de destruction» et qu’il faut «appliquer cent mesures urgentes», rédigées par son parti. Parmi celles-ci : fin des aides pour tout immigrant ; faire de Ceuta et Melilla, ces deux enclaves espagnoles d’Afrique du Nord par où passent des centaines de migrants, «un verrou infranchissable» ; en finir avec «les privilèges de l’establishment, ces caciques et ces lobbyistes qui fument le cigare dans des canapés alors que la classe moyenne souffre» ; «barrer la route aux putschistes que sont les séparatistes catalans»…
L’intérêt de Vox, c’est qu’il a le soutien massif de l’armée et de la police, sans l’ombre d’un doute. Quand l’Espagne sera véritablement en faillite, la vermine rouge et immigrée sera lancée dans les rues par les juifs pour semer la terreur. A ce moment-là, disposer de l’appui de l’armée sera un atout décisif.
Ils ne parlent pas encore d’abolir la démocratie mais promettent d’interdire les partis marxistes, ce qui revient en soi à la détruire.
Et nous devons impérativement détruire la démocratie parlementaire, ce régime de pillage juif généralisé.