Captain Harlock
Démocratie Participative
20 août 2021
Les femmes en politique ont été une catastrophe absolue depuis qu’elles y ont été admises.
Vous pouvez compter sur elles pour utiliser la moindre parcelle de pouvoir en leur possession pour détruire la société.
La ville de Gijón, dans le nord de l’Espagne, a annulé son festival de tauromachie centenaire, l’accusant de « franchir diverses limites » après que deux des taureaux tués cette semaine aient été baptisés « Féministe » et « Nigérian ».
« Le festival de tauromachie est terminé », a déclaré à la presse la maire socialiste de la ville, Ana González. « Ils ont franchi différentes lignes (…) Une ville qui croit à l’égalité entre les hommes et les femmes, qui croit à l’intégration, qui croit aux portes ouvertes pour tous ne peut pas permettre que ce genre de choses se produisent. »
Evidemment, c’est une traînée marxiste manifestement gouine qui fixe ces « lignes ».
Cette vaginocrate ne croit qu’à deux choses : l’arrivée illimitée de gens marron et la suprématie ovarienne qui la rend possible.
Quitte à détruire des siècles de culture pour assouvir sa haine hystérique.
Le parti socialiste avait décidé, lors de son dernier congrès, de supprimer le festival de tauromachie de Begoña, vieux de 133 ans, en invoquant l’opposition croissante des habitants de la ville. Ces plans ont été accélérés après qu’il est apparu que la corrida était « utilisée pour afficher une idéologie contraire aux droits de l’homme », a déclaré M. González mercredi.
Une femme ne voit aucun problème à parler de droits de l’homme pour parler d’animaux même si la différence est manifeste pour un enfant de 3 ans.
Si vous en doutez, demandez à une femme de faire une vidange et regardez sa tête.
Les femmes ne sont pas rationnelles. Elles fonctionnent sur leurs émotions qui les poussent à s’attacher à quelque chose et à s’occuper de ce quelque chose. Normalement, ce quelque chose est leurs enfants.
La fonction du féminisme est de subvertir cette fonction en la détournant de son objet par la putification, l’avortement et le ressentiment contre l’homme blanc. La femme devient alors un monstre assumé qui cherche à tout détruire au nom de sa tyrannie émotionnelle insatisfaite.
C’est une mécanique cohérente : le féminisme appelle l’immigration allogène, aussi sûrement que 2+2 font 4. Quand une traînée féministe atteint le moindre niveau de responsabilité, elle l’utilise pour marginaliser les hommes blancs.
Ensuite, elle bricole un semble d’explications confuses pour justifier son besoin de tout détruire jusqu’à finir par parler de droits de l’homme à propos des vaches.
Le contrat actuel avec les organisateurs du festival ne sera pas prolongé et les arènes de la ville ne seront pas louées pour l’évènement, ce qui signifie une perte de 50 000 € (43 000 £) de revenus annuels pour la ville, a-t-elle ajouté.
Les partisans de la tauromachie ont répliqué en affirmant que la controverse provenait d’un malentendu sur la façon dont les taureaux sont nommés.
L’Unión de Criadores de Toros de Lidia, qui représente les intérêts de 345 éleveurs de taureaux de combat, a établi un lien entre les noms et les règlements établis par le ministère espagnol de l’agriculture. Ce protocole, qui vise à garantir la traçabilité des taureaux, prévoit que les taureaux portent le nom de leur mère, indique l’Union dans un communiqué.
Les taureaux du week-end dernier « descendaient des vaches ‘Feminist’ et ‘Nigerian’, toutes deux acquises par l’éleveur en 1986, avec une lignée de plus de 35 ans et de plus de quatre générations, loin de tout contexte social et politique », a-t-il ajouté.
Le ministère espagnol de l’agriculture n’a pas répondu à une demande de commentaire.
D’autres ont cité les noms des taureaux précédents, de l’Espagnol au Paroissien, pour soutenir qu’il n’y avait pas de signification profonde à y lire. Lors d’un festival qui s’est tenu peu après la fin de la guerre civile en Espagne, en 1939, le nom d’un des taureaux a été changé de « Communiste » en « Mirador » pour ne pas heurter les sensibilités, comme l’a noté le journal El País.
Le parti conservateur du peuple de Gijón a déclaré qu’il examinait la possibilité de contester juridiquement la décision du maire. « Le parti populaire s’opposera catégoriquement à toute personne qui souhaite supprimer les libertés », a déclaré Pablo González, membre du parti. Il a rappelé les élections qui doivent avoir lieu dans deux ans et a promis d’organiser le « meilleur festival de tauromachie de la ville depuis des décennies », s’il est élu.
La décision du maire a été saluée par de nombreux défenseurs des droits des animaux ainsi que par les partis d’opposition de gauche. Certains, comme la journaliste Anita Botwin, n’ont pu s’empêcher de relever l’ironie de la fin de ce festival polarisé. « Qu’un taureau féministe mette fin au festival de tauromachie de Gijón est une justice poétique », a-t-elle tweeté.
Je vais vous dire ce qu’il faudrait dans cette ville : qu’on parque toutes les féministes dans l’arène avant d’y lâcher les taureaux après les avoir flageller en public.
Il est temps de ramener les gladiateurs.