Captain Harlock
Démocratie Participative
17 août 2019
Des juifs plus gros que ce juif ont liquidé ce juif
Il s’agit d’un suicide, goy. Tu peux te rendormir.
Le médecin légiste de la ville de New York a déclaré vendredi que la mort de Jeffrey Epstein dans une cellule de prison fédérale était un suicide, confirmant qu’il s’était pendu.
La mort de M. Epstein avait déclenché une vague de théories conspirationnistes non fondées, car les gens spéculaient en ligne, sans preuve, qu’il aurait pu être tué pour l’empêcher de fournir des informations aux procureurs sur d’autres membres de son cercle social, dont le président Trump, l’ancien président Bill Clinton et le Prince Andrew de Grande-Bretagne.
Mais le médecin légiste en chef de New York, le Dr Barbara Sampson, a exclu tout acte criminel. Elle a publié une déclaration laconique disant qu’après une autopsie et un « examen attentif de toutes les informations d’enquête », elle avait déterminé que la cause de la mort de M. Epstein était « pendaison » et que la manière était « suicide ».
Cette Barbara Sampson a un air particulièrement juif.
Je ne sais pas si elle l’est mais tant le patronyme que le faciès ont l’air juif.
Surtout ce côté pâle et flasque de méduse propre aux ashkénazes sans parler de l’oreille large et tombante, le nez grotesque en forme de patate et enfin cette lèvre inférieure protubérante qui vaut tous les aveux.
New York étant le principal centre financier hébraïque de la planète avec près de 2 millions de juifs qui résident dans cet état de 20 millions d’habitants, une affaire aussi critique impliquant un milliardaire juif comme Epstein est évidemment traitée directement par le sanhédrin.
Trois des avocats de M. Epstein, Martin G. Weinberg, Reid Weingarten et Michael Miller, ont contesté les conclusions et ont promis de mener leur propre enquête.
« Nous ne sommes pas satisfaits des conclusions du médecin légiste « , ont déclaré les avocats, qui avaient engagé un pathologiste privé pour observer l’autopsie, dans une déclaration. « Nous aurons une réponse plus complète dans les prochains jours. »
Le médecin légiste a rendu sa décision six jours après que M. Epstein, 66 ans, a été retrouvé mort dans sa cellule du Metropolitan Correctional Center de Manhattan, où il attendait d’être jugé pour trafic sexuel fédéral.
Samedi dernier, vers 6 h 30, les gardiens ont retrouvé M. Epstein à l’occasion de leur ronde du matin, ont déclaré les responsables de la prison. Il semblait avoir attaché un drap de lit au sommet d’un ensemble de lits superposés, puis s’est agenouillé vers le sol avec suffisamment de force pour se briser plusieurs os dans le cou, ont dit les responsables.
Se briser le cou en s’agenouillant.
Il y a souvent des théories farfelues sorties de nulle part. Le pseudo suicide de ce milliardaire juif, dans une affaire aussi énorme de traite de mineures blanches, n’en fait pas partie.
Pour qu’une pendaison brise le cou d’un homme, il faut une hauteur suffisante afin que le poids du corps entraîne la rupture des vertèbres. En général jusqu’à deux mètres ou plus.
Là, c’est notamment l’os hyoïde qui a été brisé, indiquant qu’une très forte pression a été exercée sur le devant du cou.
En outre, compte tenu de la configuration de l’endroit et de la situation – se pendre du haut de son lit -, chercher à se briser le cou par une chute de seulement quelques dizaines de centimètres revient à rendre la tâche impossible. L’effet de poids ne joue pas.
Voilà une photo d’une cellule du Metropolitan Correctional Center de New York où était détenu Epstein.
Vous pouvez voir les chaussures au sol pour avoir une idée de la dimension du lit.
Pour réussir à se pendre, Epstein aurait cherché une pendaison « courte » dans le but de s’asphyxier.
Ce scénario de pendaison par rupture du cou « en s’agenouillant » ne tient donc pas la route.
Une autre anomalie est celle relative aux caméras. Un membre d’Al Qaeda détenu au MCC indique que les gardes surveillent chaque détenu grâce à deux caméras : une dans la douche et une autre au dessus du lit. Pour une raison inconnue, cette cellule n’en avait pas à l’intérieur.
Epstein avait été placé en état de « surveillance suicidaire » comme le rapportaient les médias le 24 juillet après avoir été une première fois découvert à demi-inconscient dans sa cellule avec des blessures au cou. Cette surveillance suppose de ne pas laisser le détenu seul dans sa cellule et de faire une ronde toutes les 30 minutes pour vérifier son état.
On sait que les gardes ont falsifié les registres des rondes.
Fait intéressant, c’est un flic poursuivi pour un quadruple meurtre qui se trouvait dans la cellule d’Epstein lors de sa première « tentative de suicide » : Nicholas Tartaglione. Officiellement, c’est lui qui a « alerté » les gardiens.
Placé en surveillance suicidaire le 24 juillet, il était retiré de celle-ci le 29 juillet après une évaluation psychiatrique.
Les médias américains rapportent que la nuit où il est mort, les autres détenus ont entendu des « cris » des « hurlements » provenant de la cellule d’Epstein.
Qu’est-ce qui s’est passé ?
En toute probabilité, une première tentative de meurtre avait été commanditée le 23 juillet et c’est l’ancien flic Tartaglione qui avait accepté de s’en charger, moyennant un verdict favorable dans sa propre affaire. Tartaglione a pu croire Epstein mort et appeler les gardes en parlant de suicide ou alors les gardes sont arrivés et ont trouvé Epstein au sol.
Très vite, on suspecte une tentative de meurtre et il est décidé de placer Epstein seul en cellule pour éviter qu’un autre détenu ne le tue. Ce qui est fait sous couvert de « surveillance suicidaire ».
Mais cette surveillance rend difficile toute nouvelle tentative. Une intervention a lieu 5 jours plus tard pour la suspendre et relâcher la surveillance. Mais Epstein reste seul en cellule.
Les 2 gardiens en charge de ce secteur la nuit du vendredi au samedi 10 août ne font pas de ronde pour laisser le ou les assassins entrer dans la cellule d’Epstein. Epstein hurle pendant qu’il est étranglé. On lui met un drap autour du cou et on le suspend à son lit. Plus tard, des gardiens arrivent et trouvent Epstein mort.
Epstein avait déjà été condamné dans une affaire impliquant des gamines en Floride. Le juge Alexander Acosta qui lui négocia secrètement une peine de seulement 13 mois a indiqué que le gouvernement américain lui avait dit « d’y aller doucement » avec le milliardaire juif car il faisait partie « du renseignement ».
En d’autres termes, ce type gérait un réseau pédophile et de traite des Blanches impliquant toute l’élite internationale. Les infos collectées servait au gouvernement occulte des USA à tenir tous les acteurs impliqués.