Epidémie de fascisme jaune : le noble samouraï maire de Wissous lance l’assaut contre des tziganes avec un katana

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 avril 2018

Le guerrier jaune Trinquier n’en pouvait plus des tziganes

Nous faisons face à une épidémie. Après Jean-Vincent Placé, c’est au tour du maire jaune de Wissous de basculer dans le fascisme asiate le plus total.

Le Parisien :

Richard Trinquier (DLF) a été arrêté alors qu’il venait, armé, tenter d’empêcher l’installation de gens du voyage.

Le maire de Wissous, Richard Trinquier (DLF), a été placé en garde à vue ce dimanche après-midi pour détention d’armes. Il a été arrêté alors qu’il venait tenter d’empêcher l’installation de gens du voyage sur le parking d’une crèche privée située avenue Jeanne-Garnerin, entre les autoroutes A6 et A10. L’édile était équipé d’un gilet pare-balles, d’une arme de poing 9 mm et d’un katana (sabre). Ce sont les gens du voyage qui ont alerté la police. Une information confirmée par le parquet d’Evry ce dimanche soir.

Richard Trinquier était accompagné de son premier adjoint et de deux policiers municipaux qui n’étaient, semble-t-il, pas en service. Selon les premiers éléments de l’enquête, le maire n’avait pas eu d’échanges avec les gens du voyage auparavant, ni été menacé. « Ils sont arrivés en mode milice », confie un proche de l’enquête. Le test d’alcoolémie réalisé sur l’élu se serait par ailleurs révélé positif.

Un conseil municipal était prévu ce lundi soir en salle des fêtes de la mairie. Mais selon le parquet, le maire devait passer la nuit en garde à vue. Son adjoint et les policiers devraient également être entendus. Le maire a un permis pour faire du tir sportif avec ce pistolet (un stand d’entraînement est implanté sur sa commune), mais pas de permis de port d’arme.

L’enquête pour violence avec armes en état d’ivresse a été confiée à la Sûreté départementale de l’Essonne. Un membre de cette communauté des gens du voyage a également été placé en garde à vue, car un fusil a été retrouvé dans sa voiture, selon le parquet. Il est lui visé par une enquête pour transport d’arme, confiée au commissariat de Massy. En début de soirée, toutes les caravanes avaient quitté les lieux.

« Visiblement, il y avait déjà eu des tensions entre ce maire et la communauté. Il va falloir déterminer s’il avait cette arme à la ceinture », a précisé le parquet dans la soirée.

A Wissous, les élus sont régulièrement confrontés aux installations illégales de gens du voyage. Une aire d’accueil de grand passage, la seconde du département après celle de Lisses, doit d’ailleurs être aménagée à l’extrémité sud de la commune, près de la départementale 118. Car avec 600 places d’accueil en aires permanentes manquantes et une seule aire de grand passage au lieu des cinq demandées, le département ne remplit pas ses obligations.

Ce dimanche soir, les quelques habitants croisés dans le centre-ville de Wissous semblaient soutenir leur maire. « Il a bien fait car il faut expulser les gens qui s’installent illégalement », lance le client d’un bar.

Gaston, un retraité qui habite la commune depuis quinze ans, avoue être « un très grand admirateur » de l’édile. « Il est un peu paradeur, mais il a un grand courage et des convictions. Il a sûrement pris ces armes pour se protéger d’éventuelles attaques. Il a déjà été pris pour cible lors d’une expulsion de Roms dans le quartier du Bas-de-Fresnes. »

En effet. Les gens soutiennent ce type d’actions, c’est évident.

Il est également évident que l’Etat soutient quant à lui le type d’actions menées par les roms.

Quoi qu’il en soit, il semble à peu près clair que ces jaunes n’ont pas d’appétence particulière pour le vivre ensemble. Il ne faudra probablement plus attendre très longtemps avant que la gauche appelle au génocide des chinois.