Captain Harlock
Démocratie Participative
12 novembre 2020
Nous y voilà.
L’élection la plus frauduleuse de l’histoire occidentale est sur le point d’être exposée au monde entier.
Ceux qui ont lu mon article à propos des machines de vote utilisées dans 29 états américains de l’entreprise « Dominion » savent que le logiciel de ces machines a été conçu par l’entreprise britannique « Smartmatic » dont le dirigeant principal est Mark Malloch Brown, un proche associé de George Soros impliqué dans la manipulation du corps électoral aux Philippines en 2016.
Lisez cet article si vous ne l’avez pas déjà fait :
Le schéma global de la fraude se précise ainsi que la façon dont l’état profond a procédé.
Trump vient lui-même d’en parler en citant explicitement « Dominion ».
Madison Gesiotto : Que sait-on de Dominion ?
Donald J. Trump : Celui qui a essayé d’altérer notre élection et s’est fait prendre ?
It attempted to alter our election and got caught? https://t.co/J8mcH4SpxG
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) November 12, 2020
Des spécialistes ont pu mettre la main sur le code source du logiciel utilisé par le système Dominion.
Après avoir examiné le manuel d’utilisation du Dominion Voting System, il semble que le responsable informatique local qui entretient les machines soit théoriquement le gardien politique ultime. Il a le pouvoir absolu de décider des élections.
After reviewing the Dominion Voting System user manual, it seems the local IT guy who services the machines is theoretically the ultimate political gatekeeper.
He has absolute power to decide elections.— Ron (@CodeMonkeyZ) November 11, 2020
La quantité absurde de « réglages » sur le logiciel de vote Dominion est hors normes.
Si j’étais un informaticien local, je pourrais probablement configurer la machine de vote pour me donner une position d’élu sans jamais être sur un bulletin de vote ou mener une campagne.
The absurd amount of « settings » on the Dominion Voting Software is off-the-charts.
If I was a local IT guy, I could probably setup the voting machine to give myself an elected position without ever being on any ballot or running any campaign.
— Ron (@CodeMonkeyZ) November 12, 2020
Le logiciel semble être légal et bien écrit. Il a passé avec succès des audits de sécurité indépendants et fonctionne probablement comme prévu. Le problème est le degré de contrôle que le logiciel donne au responsable informatique local qui peut en fin de compte décider du sort d’une nation.
The software seems to be legit and written well. It passes independent security audits and probably works as intended.
The issue is the amount of control the software gives to the local IT guy who can ultimately decide the fate of a nation.— Ron (@CodeMonkeyZ) November 12, 2020
Si j’avais un accès légal aux données de configuration en direct, aux logs, aux paramètres et à la configuration intranet du système de vote du Dominion utilisé dans les districts qui signalent des anomalies, je suis convaincu que je pourrais rapidement et de manière concluante mettre un terme à la fraude électorale numérique si elle avait réellement eu lieu.
If I had forensic access to the live configuration data, logs, settings, and intranet setup of the Dominion voting system used in the districts reporting anomalies, im confident I could quickly and conclusively blow the lid off digital election fraud if it had actually occurred.
— Ron (@CodeMonkeyZ) November 12, 2020
Les premières conclusions indiquent que le logiciel permet à des ingénieurs de faire baisser de manière dynamique les résultats d’un candidat ciblé dans les endroits où ils performent très bien. Autrement dit, plus le candidat ciblé a du succès dans X ou Y bureau de vote, plus le logiciel lui fait perdre de voix dans ce bureau de vote. De cette façon, le succès de ce candidat se transforme automatiquement en succès de son opposant.
Un ingénieur assez connu aux USA, Shiva Ayyadurai, a étudié l’évolution du vote et découvert l’intervention de ce qui semble être un algorithme pour modifier les résultats en temps réel. Si vous comprenez l’anglais, cela vaut la peine d’y jeter un oeil.
This is an excellent analysis of how « the glitch » worked by @va_shiva and team.
1/4 pic.twitter.com/jDSY8azs5m
— TheSharpEdge (@TheSharpEdge1) November 11, 2020
This is an excellent analysis of how « the glitch » worked by @va_shiva and team.
3/4 pic.twitter.com/rW3QlgH1aV
— TheSharpEdge (@TheSharpEdge1) November 11, 2020
Cependant, une fois les résultats modifiés électroniquement dans les bureaux de vote des états ciblés, il faut les appuyer par des bulletins de vote physiques en cas de vérifications. C’est là qu’interviennent les bulletins vierges remplis par des équipes de dépouillement entraînés des semaines à l’avance.
Les bulletins de vote sont reliés à 100 % au logiciel de vote. L’envoi d’un bulletin vierge permet au logiciel de tabuler les votes différemment d’un bulletin correctement rempli.
Il appartient aux enquêteurs de prouver si ces bulletins blancs ont été utilisés à des fins de fraude.
Ballots are 100% interlinked with the voting software. Sending a blank ballot allows the software to tabulate votes differently from a ballot that is correctly populated.
Whether these blank ballots were used for fraud is an exercise for investigators to prove. https://t.co/rAsvw2X2vW
— Ron (@CodeMonkeyZ) November 12, 2020
Ce sont les livraisons secrètes de bulletins de vote « Biden » qui ont eu lieu à grande échelle.
Rudy Giuliani, l’ancien maire de New York, en a fait un exposé détaillé avec les nombreux témoignages qu’il va déposer devant les différents tribunaux des états concernés.
Ce plan aurait pu fonctionner s’il n’avait pas nécessité d’injecter des centaines de milliers de bulletins de vote frauduleux dans plusieurs états au même moment.
Il apparaît que l’état profond a été pris de cours devant l’avance considérable de Trump dans les états critiques comme le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie et qu’il a dû en urgence déposer des bulletins Biden par centaines de milliers pour compenser cette avance surprise. Ce qui a entraîné la lenteur du dépouillement et des livraisons de bulletins au petit matin.
Vous êtes en train de regarder les BULLETINS! Notre pays en est-il arrivé là ?
You are looking at BALLOTS! Is this what our Country has come to? pic.twitter.com/cI2ZTItqUi
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) November 11, 2020
C’est un coup d’état planifié à haut niveau.
Les médias américains commencent à recalibrer leur narration face à l’inévitable confrontation et comparent maintenant Trump à un « dictateur ».
Aujourd’hui, de nombreux comptes rendus de droite répandent l’idée que le logiciel électoral de Dominion Voting Systems a causé des problèmes généralisés.
Nous avons examiné chaque allégation de problèmes et avons constaté qu’ils étaient dus à une erreur humaine ou qu’ils n’affectaient pas le décompte des votes.
Today many right-wing accounts are spreading claims that election software from Dominion Voting Systems caused widespread problems.
We looked into each claim of problems and found that they were either caused by human error or didn’t affect vote counts.https://t.co/DkIkDL17Jd
— Jack Nicas (@jacknicas) November 11, 2020
L’alarme croît autour des « gestes de dictateur » du président Trump alors qu’il nie sa défaite électorale.
Alarm grows over President Trump’s « dictator moves » as he denies election defeat | Analysis https://t.co/n9q3vPrwi2 pic.twitter.com/bWzpaI49sO
— CNN Politics (@CNNPolitics) November 12, 2020
Espérons que les choses évoluent positivement.