Captain Harlock
Démocratie Participative
13 novembre 2019
La hyène Trintignant qui poursuit depuis des années le héraut de la cause masculiniste Bertrand Cantat s’est portée au secours du pointeur du ghetto Polanski.
Premier point : si Polanski s’appelait « Dupont » ou « Durand », l’affaire aurait été classée. Probablement à cause du privilège aryen dans le cinéma.
On a perdu Nadine Trintignant ??? pic.twitter.com/zUvjatuwbT
— La Matriarchie (@LaMatriarchie) November 13, 2019
Car au fond, tout s’explique très bien : l’antisémitisme.
Les nouvelles accusations de viol contre Roman Polanski continuent de faire réagir. Alors que l’une des avant-premières parisiennes de son dernier film “J’accuse” a été annulée ce mardi 12 novembre, Nadine Trintignant a, elle, tenu à apporter son soutien au réalisateur franco-polonais.
Invitée sur le plateau de BFMTV ce mercredi 13 novembre, jour de sortie du film “J’accuse”, la scénariste et écrivaine française a qualifié l’accusé de “victime”.
“On est sans arrêt contre lui. Ce ne serait pas Roman Polanski, on lui ficherait la paix. […] En ce moment en Europe, il y a un antisémitisme sournois qui se réveille. C’est pas le moment d’accabler Roman Polanski”, a-t-elle précisé.
Comme Saint Thomas, Nadine Trintignant n’a l’air de croire que ce qu’elle voit. “Quand je ne vois pas quelque chose… J’ai vu tellement d’accusations à tort contre d’autres. Quand on ne voit pas les choses, j’aurais plutôt tendance à le croire lui qu’une femme qui a mis 44 ans à réfléchir pour le dénoncer […]. On devrait lui fiche la paix depuis le temps”, propose l’octogénaire.
La vieille Trintignant a quelques bonnes raisons d’être soucieuse.
Grâce au vagabondage de sa traînée de fille Marie, son petit-fils Roman descend de la « rescapée des camps de la mort » Ginette Cherkassy tandis que son autre petit-fils, Jules, descend de Samuel Benchetrit.