En présence d’Élisabeth Bornstein, le CRIF promet aux goyim une sérieuse escalade répressive

La rédaction
Démocratie Participative
14 février 2023

 

Hier soir, c’était la traditionnelle réunion des représentants de l’autorité juive suprême en France. Elle avait été préparée en amont à Jérusalem la semaine précédente.

Pour l’occasion, la juive à la tête du gouvernement d’occupation en France était sur place.

Elle a rappelé aux médias présents avoir beaucoup souffert généalogiquement.

Les juifs et la comptabilité, c’est toujours très compliqué.

Des milliers, quatre millions, un million, est-ce si important ?

Ce rappel fait, les objectifs de 2023 ont été annoncés.

Au menu de cette rencontre organisée par les juifs pour les juifs, la lutte contre les goyim suspect de vouloir contester l’autorité coloniale hébraïque. Au CRIF, on ne fait jamais vraiment dans l’originalité.

La question stratégique du mythe de l’holocauste a été largement abordée par Bornstein, laquelle lisait donc à haute voix les consignes produites par Jérusalem le 5 février.

Il a été rappelé par Bornstein qu’aucun goy ne doit pouvoir critiquer la colonie juive de Palestine, ni la race juive.

Encore une fois, que du classique.

Nous avions déjà parlé de cette règle adoptée par Emmanuel Macron.

Pour lutter contre l’idée farfelue d’un complot sioniste international, Macron téléphone à Netanyahou avant d’annoncer l’interdiction de parler du sionisme international (analyse)

Dès lors que la religion de l’holocauste est la religion d’état, être une victime de droit divin comme Bornstein suffit à clore les discussions et à se faire applaudir.

Accessoirement, le CRIF a un nouveau président. Il a rappelé que le régime républicain est depuis sa fondation un régime juif.

C’est trop peu souligné.

Ce régime veut donc naturellement lutter contre la population autochtone qui peut à tout moment présenter une réaction immunitaire contre les autorités coloniales.

La neutralisation de ces défenses immunitaires par les autorités d’occupation est ce qu’il est convenu d’appeler la « lutte contre l’antisémitisme ».

Donc nous allons avoir beaucoup plus de documentaires sur l’holocauste, beaucoup plus de répression contre les gens qui parlent sans autorisation et encore des tas d’autres trucs que les juifs estiment nécessaires au maintien de leur domination raciale en France.

Tout cela sous la supervision d’Israël qui a très officiellement un gouvernement ultra-raciste.

C’est important de renforcer le régime au moment où il s’engage en Ukraine, là aussi pour assurer la victoire des juifs.

Après tout, il faudra prochainement envoyer la viande française au front et elle doit savoir qui donne le ton.

Slava Ukraini !

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