En pleine dépression économique, le gros porc Stéphane Ravacley régularise son esclave noir dans une opération de terreur économique ahurissante

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 Janvier 2021

 

En pleine dépression économique, les médias sont unanimes : l’importation de migrants clandestins est une priorité absolue pour l’économie française alors que des millions et des millions de Français seront prochainement au chômage.

C’est le sens de cette grande campagne de propagande autour d’un négrier obèse de Besançon. Ce négrier obèse a fait « une grève de la faim » de 48 heures pour obtenir la régularisation du coolie qu’il a récupéré pour faire tourner sa boutique.

Le séfarade Hanouna a fait le forcing pour que le message soit entendu faut et clair. Résultat, le coolie en question a été régularisé.

Tout ça est monté en épingle à dessein. Le gouvernement français n’expulse aucun clandestin, jamais. Les deux gamines égorgées à la gare Saint Charles de Marseille ont été tuées par un clandestin que l’administration n’a jamais voulu expulsé en dépit des diverses décisions judiciaires.

Autrement dit, ce migrant clandestin africain n’aurait jamais été expulsé – jamais.

Le but de cette opération médiatique et de celles qui vont suivre est d’imposer un volet majeur du Great Reset : l’immigration à très grande échelle. Vous me direz que nous subissons déjà une immigration à grande échelle et je vous réponds d’avance : non. Ce que nous avons connu jusqu’ici est une petite ballade en forêt par rapport à ce qui nous attend.

Je parle de dizaines de millions de colons du tiers-monde qui seront implantés en France d’ici 20 ou 30 ans.

Ce qui se passe actuellement, c’est que le système n’a plus le temps s’embarrasser de précautions. Quand Delevoye a déclaré début 2020 que l’Europe avait « besoin » de 50 millions d’esclaves d’Afrique d’ici à 30 ans, ce n’était pas une idée en l’air : c’est le programme. Quand il disait 50 millions, il pensait 100 millions.

La différence avec l’époque précédente, c’est que maintenant les gens sont internés chez eux, qu’ils seront bientôt surveillés 24 heures sur 24 et que d’ici 5 ans ils pourront être débranchés économiquement et socialement du système jusqu’à la quasi famine.

En d’autres termes, le rouleau compresseur juif du remplacement racial va déferler sur nous et quiconque s’y opposera sera traité exactement comme sont traités ceux qui ne portent pas de masque dans les rues.

J’ai expliqué ici en long et en large que le projet est de détruire la classe moyenne blanche. Les femmes blanches n’appartiennent pas à la classe moyenne : elles coûtent beaucoup plus qu’elles ne rapportent au système. Ceux qui rapportent au système, ce sont les hommes blancs entre 25 et 60 ans. C’est eux le citron à presser. Mais pour les cornaquer, il faut les ostraciser à un point tel qu’ils ne puissent plus faire un mouvement du petit doigt sans qu’une myriade de créatures fanatisées ne surgissent pour les insulter et les maudire.

Les médias juifs montent des opérations médiatiques qui ciblent à 100% les femmes blanches. Les femmes blanches adorent ces histoires de mâles beta blanc qui ouvrent les frontières au jeune Mamadou. Tout simplement parce que les femmes blanches s’imaginent déjà en train de se faire sauter par le nègre indolent.

Typiquement, les traînées à caffre qui commentent sur Facebook.

Ce boulanger obèse est objectivement un négrier. Il existe tellement de dispositifs subventionnés par l’Etat pour embaucher des migrants que ce genre de patrons se fait un maximum d’argent en se servant de ces coolies. Maintenant qu’il est régularisé, ce boulanger obèse va faire encore plus de profits.

Ce porc est un véritable terroriste économique qui prospère de cette politique d’anéantissement voulue par l’oligarchie.

Il doit faire face aux conséquences de ses actes.

D’ici quelques jours, les médias seront passés à autre chose.

Pas le peuple.

Le nom de cette ordure est connu :  Stéphane Ravacley. Le nom de sa boutique aussi. L’adresse aussi.

J’ai dit que nous étions à la veille d’une tempête populiste sans précédent. Dans une telle tempête, c’est une mauvaise chose que d’être un collaborateur.

Patience et longueur de temps.

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