Captain Harlock
Démocratie Participative
08 Avril 2020
L’art de contrôler les masses en 3 phases et en 3 semaines.
Première phase (27 mars) : « Le tracking ?! Certainement pas ! »
Deuxième phase (6 avril) : « Le tracking ?! Pourquoi pas ! »
very fast track https://t.co/mXggeEryba pic.twitter.com/urXhhgmbtD
— Nabil Touati (@salam93) April 5, 2020
Troisième phase (à venir) : « Le tracking ?! Il faut aller vite ! »
« StopCovid » : « L’application vous informera que vous avez été en contact avec quelqu’un identifié positif au coronavirus » : le gouvernement envisage cette application pour contrer l’épidémie https://t.co/rI1oNMdizA
— Le Monde (@lemondefr) April 8, 2020
Cas d’école de l’art du mensonge juif
C’est le fonctionnement classique du Système. La presse juive commence par lancer un débat, sur un ton faussement ingénu. Elle alimente froidement la controverse jusqu’au point où elle dit, « allons demander au gouvernement son opinion ! ». Le gouvernement, en y répondant, acte de l’existence du sujet sans se mouiller dans un premier temps, en cas de violente réaction de l’opinion. Si l’opinion ne réagit pas, le débat est encore alimenté par les plumitifs juifs qui ont partie liée et s’assurent d’user toute résistance. Ils reviennent à la charge et, miracle, le gouvernement se déclare « ouvert » à la nouveauté. Les médias continuent de marteler les goyim, brandissant des « sondages » catégoriquement favorables à la mesure préconisée par Judas.
Traçage de téléphones : une majorité de Français favorable aux outils de tracking https://t.co/SfxjS4VfJo pic.twitter.com/kE9kd80lz7
— TF1LeJT (@TF1LeJT) April 8, 2020
Enfin, après quelques jours, le gouvernement assure vouloir répondre aux demandes pressantes de la « population », c’est-à-dire, depuis le début, aux exigences des juifs.
Le juif explique finalement aux goyim sur toutes les ondes sous son contrôle que le renforcement de leur mise sous tutelle est la meilleure expression de leur nouvelle liberté.
.@MartinHirsch: « Personne ne sera gêné d’avoir des technologies qui leur permette d’avoir des éléments de contrôle pour avoir plus de liberté. Renoncer à ces éléments de #tracking pour rester chacun chez soi, ça devient une société de prison » #confinement #le79inter
— France Inter (@franceinter) April 6, 2020
C’est ainsi que ment le juif.
Le gouvernement visible est composé de clones
Je veux clarifier une chose sur la façon dont fonctionne le Système, par nature transnational, oligarchique et bureaucratique. Certains de nos lecteurs croient que Macron ou ses ministres décident de la marche à suivre. Ce n’est absolument pas le cas, dans aucun domaine. Ces gens sont de simples exécutants qui sont chargés de l’application des grandes décisions prises bien au niveau global.
Castaner se contente d’évoluer à mesure qu’il reçoit les ordres. Il a donc pu passer du refus de principe du tracking à son soutien public en moins de 10 jours. Pour lui, ce n’est pas plus problématique que pour un militaire qui reçoit un contre-ordre. Il ne conçoit rien, il exécute.
Ce que nous voyons actuellement, c’est l’instauration d’un passeport intérieur/domestique avec à terme le pouvoir pour l’Etat – et ceux qui le contrôlent – d’être informé à l’avance de vos déplacements (via une attestation digitale) et de disposer d’un droit de veto sur les déplacements de toute la population. En plus de son suivi en temps réel, à grande échelle.
Ce tracking ne sera pas suspendu une fois l’épidémie passée, il sera maintenu indéfiniment. Il sera très probablement étendu pour savoir qui va où, quand et avec qui.
Comme les esclaves à Rome.
Et comme à Rome, les maîtres des esclaves sont les juifs.
L’Etat n’a pas attendu le Coronavirus pour suivre des gens via leurs smartphones. Mais la grande différence, c’est qu’il a désormais obtenu le pouvoir de s’en servir contre toute la population, de manière indiscriminée, sans limite dans le temps.
Le but à terme est de pouvoir générer des modèles prédictifs quant aux mouvements de la population grâce à l’intelligence artificielle. Par exemple, de pouvoir recevoir en temps réel des alertes si des personnes de X ou Y profil se rassemblent à telle date et à tel endroit, avec, au fur et à mesure que l’ordinateur apprend, la capacité d’anticiper un événement.
Des troubles sont généralement précédés de signaux annonciateurs. Ce sont ces signaux annonciateurs que la police politique juive veut connaître.
Ces données seront couplées à toutes les autres métadonnées collectées sur les gens pour plus de précision.
C’est ce que fait Palantir avec lequel le gouvernement français et d’autres gouvernements européens négocient actuellement pour mettre en place un tel programme.