Captain Harlock
Démocratie Participative
26 mai 2021
Les juifs, par l’intermédiaire de la Grande Mosquée de Paris, proposent une nouvelle alliance au pouvoir algérien avec pour objectif de refaire de la haine antiblanche leur priorité commune.
Les juifs escomptent ainsi faire tomber la colère islamique qui les vise sur les Français de souche.
En échange de cette coopération contre les Blancs, le gouvernement algérien veut le soutien des juifs pour écraser l’opposition islamique dans sa diaspora hexagonale.
El Watan :
C’est une première ! Une convention de partenariat entre la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) et la Grande Mosquée de Paris (GMP) a été signée par le président de la Licra, Mario Stasi, et le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, le 19 mai. «Un moment historique pour les deux parties à la convention, en tant qu’acteurs associatifs partageant les mêmes valeurs universelles et républicaines», ont indiqué les deux personnalités.
L’objectif pour les deux organisations, est-il indiqué, consiste à «formaliser les relations et la volonté commune des deux parties de travailler ensemble à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations». «Il s’agit notamment d’améliorer l’accueil et la prise en charge des victimes de racisme anti-musulman et de renforcer les actions de sensibilisation et d’information sur ces sujets, en particulier auprès des publics jeunes». Le but est également de «mener des chantiers communs sur l’accès au droit, la transmission du respect des lois et des valeurs universelles de la République, et l’affirmation de la compatibilité de l’islam avec celles-ci».
Les autistes juifs de la LICRA pensent pouvoir troquer le terme « islamophobie » avec celui de « racisme anti-musulman » – comme si l’islam était une race.
C’est une obsession de la gouine Fourest, la traînée des juifs.
Avec Fiammetta Venner, nous alertons contre l’usage toxique du mot « islamophobie » depuis 2003. Tout a été entrepris pour brouiller notre alerte. Après tant de morts, il n’est plus possible d’ignorer le danger de ce mot-piège. https://t.co/alPN9FDZS4 pic.twitter.com/eKVXxiLMPb
— Caroline Fourest (@CarolineFourest) March 20, 2021
L’idée de ces vipères de Satan est de sauver la rhétorique laïcarde dissolvante d’inspiration juive en donnant un os à ronger aux algériens. Cet os étant les petits Français de souche.
Les juifs redoutent le caractère extrêmement mobilisateur de la rhétorique islamique dont le mot « islamophobie » est le produit. Les juifs veulent atomiser la masse islamique en détruisant sa conscience collective pour mieux la contrôler et s’en servir contre les Blancs.
En essayant de faire valider ce contre-sens de « race musulmane », les juifs veulent imposer leur domination dialectique aux musulmans en les bornant à n’être qu’une entité « raciale » subordonnée parmi d’autres dans leur classification antiraciste.
Bref, c’est du colonialisme lexical juif à l’usage des arabes.
C’est la raison pour laquelle, j’utiliserai dorénavant uniquement le terme d’islamophobie pour décrire la haine fanatique qu’éprouvent les juifs envers les musulmans dont ils assassinent régulièrement les enfants.
D’autant que le terme islamophobie est tout à fait logique puisque les petites gens en France ont peur de l’islam invasif.
La convention permettra enfin «l’élaboration conjointe, dans le cadre d’un groupe de travail, d’analyses communes sur des problématiques actuelles liées au racisme antimusulman et à la laïcité».
La coopération entre ces deux organisations presque centenaires, écrit Le Monde, «vise à épauler concrètement les personnes victimes – saisie par des fidèles, la GMP pourra par exemple les aiguiller vers la Licra, qui bénéficie du concours bénévole d’une centaine d’avocats. Elle devrait aussi déboucher sur des actions pédagogiques et de formation conjointes sur le terrain et sur une production commune d’analyses, s’agissant par exemple du racisme anti-musulman, de la laïcité, de l’universalisme et des valeurs républicaines».
Dans un climat où la montée de l’antisémitisme est régulièrement mise en avant, cet accord entre une structure d’obédience juive et une structure musulmane est une initiative porteuse d’espoir face aux querelles d’identité qui agitent la société française où l’islamisme est particulièrement montré du doigt. «Entre nous, il n’y a pas de murs, il n’y a que des intérêts convergents», a expliqué Chems-Eddine Hafiz, lors d’une conférence de presse commune. «Nous voulons impliquer nos relais locaux pour expliquer, former, afin, à notre échelle, d’essayer de faire baisser le niveau de tension souvent insupportable qui existe chez nos concitoyens, souvent relayé par des médias irresponsables», a affirmé Mario Stasi, président de la Licra.
Les deux organisations écartent du reste le terme d’islamophobie, optant pour la terminologie «actes ou racisme anti-musulmans».
Maître Hafiz insiste : «On doit être intraitable contre le racisme anti-musulman, mais on peut critiquer le dogme. L’islamophobie a été créée et est utilisée pour provoquer une confusion entre les deux.» Il y a quelques semaines, la GMP avait profilé la création d’un «observatoire des droits» des musulmans, espérant «un vaste programme sur la lutte contre les discriminations dont sont victimes les musulmans dans leurs droits sociaux».
Le Monde ajoute que pour la Licra, «ce partenariat peut contribuer à rééquilibrer une notoriété souvent identifiée au combat contre l’antisémitisme. Dans les signalements faits auprès d’elle, les personnes dénonçant des actes ‘‘antimaghrébins/antimusulmans’’ sont en augmentation constante ces dernières années».
Le FLN algérien est aux abois.
C’est ce qui explique ce rapprochement avec l’Etat d’Israël via la LICRA.
Cette dictature militaire aux mains d’une bande de vieux kleptocrates redoute sa propre diaspora, forte de quelques 7 millions de ressortissants en France. Ces algériens-là veulent à tout prix se débarrasser du pouvoir en place à Alger et l’influence islamique révolutionnaire des Frères Musulmans ou du wahhabisme au sein des franco-algériens terrifie le FLN.
Pour ma part, je n’ai qu’une seule boussole : la destruction du pouvoir juif en France qui entraînerait ipso facto son effondrement dans toute l’Europe.
En nouant cette alliance commune avec les juifs contre les Blancs mais aussi contre les musulmans jugés hostiles, la dictature algérienne vient de signer un pacte avec le Diable.
D’ordinaire, ceux qui s’aventurent à signer un tel pacte finissent toujours de la même façon.
Maintenant que les juifs ont dévoré un pouce du FLN, le bras entier va suivre. L’extorsion n’en est qu’à ses débuts, vous pouvez me croire. La liste des exigences de ces hébreux va être plus volumineuse que le talmud lui-même.
Je ne donne pas cher de l’Algérie, maintenant que ces juifs tiennent le gouvernement algérien entre leurs mains griffues.