En 2018, 150,000 Français ont définitivement quitté la France tandis que 350,000 migrants afro-musulmans sont venus s’y installer

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 mai 2021

 

Le site Fdesouche vient d’attirer l’attention sur la publication du dernier rapport du ministère de l’Intérieur sur les flux migratoires.

Voici les principaux chiffres pour l’année 2018 :

Le nombre d’entrants hors UE ne concerne que les délivrances de titre de séjour. Il faut y ajouter ensuite les demandeurs d’asile et les « mineurs étrangers isolés ».

Nombre de Français qui ont quitté la France en 2018 : 286,794.

Nombre de Français qui sont revenus en France en 2018 : 131,726.

Solde négatif de 155,000 Français en 2018.

Nombre d’extra-Européens qui sont venus en France en 2018 : 176,625.

Nombre d’extra-Européens qui ont quitté la France en 2018 : 30,728.

Solde positif de 146,000 extra-Européens en 2018

Comme le rappelle Polémia, en 2018 environ 162,000 extra-Européens ont formulé une demande d’asile.

Il faut encore y ajouter les 40,000 « mineurs étrangers isolés » recensés par le Sénat en 2018.

Au total, c’est près de 350,000 extra-Européens qui se sont établis en France pour la seule année 2018. La même année, la France a perdu plus de 150,000 Français.

On peut donc dire que pour 2 extra-Européens qui viennent s’installer définitivement en France, 1 Français quitte la France.

L’éradication des koulaks blancs

Sur la décennie 2020-2030, si le rythme de l’émigration française se maintient, la France perdra 1,5 million de Français supplémentaires, très majoritairement de souche, dotés d’un bon niveau d’éducation. Ils rejoindront les 2,5 millions de Français déjà établis à l’étranger. Il y aura en 2030 environ 4 millions de Français émigrés, ce qui est inédit dans l’histoire française.

Ces Français ont compris que les élections ne changeraient jamais rien et ont décidé de voter avec leurs pieds.

Durant la même période, la France accueillera approximativement 4 à 5 millions de migrants extra-Européens supplémentaires (arrivées + naissances). En 2030, la France comptera environ 20 millions d’allogènes, musulmans et non-musulmans, dont le QI médian sera de 80, fourchette haute.

La France expulse donc en masse ses Bac +8 et importe le double de Bac -8 depuis le tiers-monde, précipitant l’effondrement total de son QI collectif.

Pour une fois la photo d’illustration est pertinente

La perte à grande échelle du meilleur sang aryen aura des effets inévitables et catastrophiques pour la France. Elle est entrée dans une spirale biologique régressive qui la fera sombrer toujours plus rapidement dans le sous-développement, l’anarchie raciale et le démocratisme paralysant.

En termes relatifs, plus le temps passe, plus s’accroît la part d’éléments médiocres, blancs comme allogènes, les meilleurs étant déjà partis ou en passe de partir. C’est le terreau fatal de la démocratie bolchevisée où les parasites improductifs (toujours plus nombreux) ciblent les meilleurs éléments raciaux (toujours moins nombreux) par la répression fiscale, économique puis politique afin de financer la pyramide de Ponzi du communisme marron.

Il faut ajouter à cette équation le poids toujours grand des Boomers, par nature inactifs, et du coût énorme qu’ils représenteront pour les actifs en 2030 avec 21 millions de retraités.

En d’autres termes, la France négrifiée et bougnoulisée, tenue par la CGT et les vieux, est vouée à la zombification complète. Ce que nous voyons actuellement n’est qu’une entrée en matière.

On peut sérieusement envisager, d’ici à 2050, l’existence d’une diaspora de plus de 10 millions de Français de race tandis que la France à proprement parler sera devenue majoritairement de peuplement afro-oriental.

L’Etat Français l’a parfaitement compris. Il faut s’attendre de sa part à une traque globale des millions de Français établis à l’étranger dont il voudra ponctionner le patrimoine patiemment gagné par eux dans leur nouveau pays. La France négro-bolchevique ne laissera pas de répit aux Français de souche, même à des milliers de kilomètres de ses frontières.

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