Le Libre Panzer
Démocratie Participative
02 novembre 2018
Lors du dernier débat de l’UPR organisé par le gras du cul Asselineau lors duquel le petit youtre Enthoven, beau-fils de Sarközy, a fait son entrée officielle, le juif Emmanuel Todd s’est livré à un prêche hébraïque des plus classiques.
Au menu : haine affichée des Blancs, singulièrement des « Blonds ».
Pour comprendre la menace subversive juive, il faut utiliser la même grille d’analyse que pour toutes les minorités raciales sémites ou négroïdes.
C’est-à-dire celle d’une hostile atavique, tripale envers les populations européennes, singulièrement nordiques, dont l’intelligence, le génie bâtisseur et l’empathie génèrent chez elles un frustrant sentiment d’infériorité que compense une pulsion sadique, laquelle se traduit par la volonté de détruire, d’abaisser, de souiller, de moquer l’homme blanc.
Avant d’être des banquiers, les juifs sont avant tout des assureurs. Ils jouent sur tous les tableaux pour s’assurer qu’aucun imprévu ne se termine en expulsion de masse une fois les Blancs émancipés de leur tutelle aliénante.
Le cas de l’UPR est caricatural.
D’un côté, la connerie lourde, terrienne, du gros Asselineau, rougeoyant devant une caméra qui lui donne enfin l’impression d’avoir de l’importance, syndrome du bureaucrate subordonné croyant enfin mener le jeu.
De l’autre, le petit sémite manoeuvrier, habitué à tous les retournements grâce à son absence totale de fidélité et de scrupules, qui se meut avec aisance aux dépends du plouc gaulois, irrémédiablement abruti.
Asselineau voit la magie médiatique juive agir avec l’arrivé de ce petit hébreu. Il est fasciné par ces portes qui s’ouvrent subitement.
Rien n’est plus utile aux juifs qu’un chauvinisme du ressentiment placé entre leurs mains et soigneusement cadenassé par la haine antiblanche de l’antiracisme. L’assurance-vie juive.
Ce chauvinisme du ressentissement colle parfaitement avec le ressentiment de la juiverie révolutionnaire ayant essaimé de la Perse à l’Egypte en passant par la Russie et l’Allemagne.
Le profil socio-psychologique d’Asselineau en fait un shabbat-goy idéal : ce sous-fifre de la haute-administration se perçoit comme un Spartacus, une victime de l’oppression recherchant naturellement l’appui de tous les ratés raciaux de France et d’Afrique.
Quand des Français se font tuer par des arabes, comme au Bataclan, la solidarité instinctive de ce gras du cul va aux égorgeurs de Mahomet. Comme toute la caste dirigeante, ce sociopathe embourgeoisé hait la plèbe de souche, trait qu’il partage avec la juiverie parisienne.
Pour ce genre de Français irréversiblement sémitisé mentalement, la France n’est qu’un état et un outil pour mener un règlement de compte. Il ne s’agit pas d’ordonner et de servir, mais d’intensifier l’anarchie.
La France a déjà fait l’expérience de ce type de chauvinisme nihiliste contrôlé par les juifs. C’est la France de la Troisième République jetée par la finance juive américaine à la gorge du Troisième Reich pour gagner du temps, le temps de mobiliser les golems soviétiques et états-uniens et sauver l’ordre financier juif international.
Du « souverainisme » ? Tant qu’on voudra. Mais que l’on s’entende : en défense de la souveraineté juive.
De « l’européisme » ? Allons-y. Mais alors, une eurocratie obéissant aux ordres de Goldman Sachs.
Les juifs seront toujours à l’aise avec les « -ismes ». Sauf celui qui met un terme à toutes ces manoeuvres : le racisme antisémite.
Là, on ne tergiverse plus : la guerre jusqu’à l’éradication.
Le petit youtre Enthoven a d’ailleurs explicitement demandé la censure de Démocratie Participative.