Captain Harlock
Démocratie Participative
27 mai 2021
Emmanuel Macron est un homme très occupé.
Il forme actuellement le nouveau gouvernement de la Biélorussie à la tête de laquelle il a placé une prof d’anglais trouvée quelque part dans un pays balte.
Je suis reconnaissant à @EmmanuelMacron pour son appel à inviter les forces démocratiques biélorusses au sommet du @G7 au Royaume-Uni. Lors de mon appel avec @JY_LeDrian hier, j’ai proposé de m’inclure au sommet. Je suis reconnaissant du soutien continu des Biélorusses.
I am grateful to @EmmanuelMacron for his call to invite Belarusian democratic forces to the @G7 summit in 🇬🇧. During my call with @JY_LeDrian yesterday, I proposed to include me to the summit. Thankful to 🇫🇷 for the continuous support of Belarusians. pic.twitter.com/u4DrXw8btB
— Sviatlana Tsikhanouskaya (@Tsihanouskaya) May 25, 2021
L’entretien d’embauche n’a pas cependant pas été assuré par Emmanuel Macron.
Environ tous les mois, la France macronienne déclare la guerre à un nouvel état de la planète.
Rien que ces dernières semaines, elle a exigé de composer le gouvernement birman, menacé la Chine de guerre nucléaire si ce pays refusait le tracé de ses frontières décidé par Raphaël Glucksmann, annoncé la formation d’une administration parallèle chargée de gouverner le territoire polonais pour y imposer l’anal et décrété la dissolution du gouvernement malien.
Au Mali, ce qui a été conduit par les militaires putschistes est un coup d’État. C’est inacceptable. Nous sommes prêts à prendre des sanctions ciblées sur les protagonistes.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 25, 2021
Le seul état auquel elle a refusé de dicter sa conduite est Israël lors du carnage de Gaza. Même quand l’armée juive a anéanti l’immeuble d’Associated Press, l’agence de presse américaine, Macron est resté injoignable.
Imaginez un peu ce qui se passerait à Paris si Vladimir Poutine avait bombardé un média occidental de cette façon.
Glucksmann exigerait sûrement des frappes nucléaires sur Moscou.
Et voilà que maintenant le contrôle par les douanes biélorusses d’un avion commercial transitant par l’espace aérien de la Biélorussie est censé constituer une menace existentielle pour la France.
Il semble, d’après ce que dit Macron, que le gouvernement biélorusse n’a pas le droit de contrôler son espace aérien national et que tout le monde peut y faire voler ce qu’il veut sans que les autorités de la Biélorussie n’aient à y redire. Y compris quand des terroristes fomentant le renversement de l’Etat Biélorusse volent au dessus du pays.
Le détournement du vol Ryanair en Biélorussie est une violation inacceptable du droit international. Avec mes homologues européens, nous venons de prendre une série de sanctions et appelons fermement à la libération immédiate de Roman Protassevitch et de sa compagne.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 25, 2021
La France est donc en charge de la Biélorussie, en plus de tous les autres pays précités.
Deux siècles après Napoléon, Macron veut envahir ce pays mais avec des lesbiennes blanches.
Il y a aussi la confrontation avec la Turquie en Syrie, Méditerranée, Libye, Niger, Tchad, etc.
Et puis, ne l’oublions pas, Emmanuel Macron a annexé en 2019 la partie brésilienne de la forêt amazonienne parce qu’il ferait trop chaud, déclenchant la plus grave crise diplomatique avec le Brésil depuis un siècle.
Et l’autre jour encore, Macron voulait organiser un embargo contre les îles anglo-normandes.
J’en oublie sûrement d’autres.
Depuis que les homosexuels ont pris le contrôle total du ministère des Affaires Etrangères pour le compte des juifs, le Quai d’Orsay est devenu une sorte de compte Twitter LGBT à pastille bleue. Il n’y a pas de diplomatie derrière ça, uniquement des bouffées d’hystérie sporadiques entrecoupées de menaces et d’insultes.
Pendant ce temps-là, les bougnoules et les nègres font ce qu’ils veulent dans les rues de France.
Tout ça est tellement grotesque et absurde que plus personne ne prête attention à ce pays et encore moins aux homosexuels qui le représentent. Les autres états réagiraient si la France avait encore une once de crédibilité, mais ces jours-là sont révolus.
Les Biélorusses, comme les Russes, doivent s’amuser de ce spectacle.
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