La rédaction
Démocratie Participative
28 décembre 2022
N’écoutez pas les racistes et leurs théories conspirationnistes à propos d’un soi-disant « Grand Remplacement » qui aurait cours en France.
D’autant que quand les Blancs ont disparu de quelque part, c’est la fin du racisme et l’harmonie règne enfin entre gens de couleur.
Comme à Roubaix.
Une violente altercation dans un salon de coiffure. Un quadragénaire « d’origine turque » était en garde à vue mardi après avoir blessé à coups de ciseaux dimanche à Roubaix (Nord) un coiffeur « d’origine kurde » lors d’un différend lié à la diffusion de musique kurde, a-t-on appris auprès d’une source proche de l’enquête.
« Un différend a eu lieu dimanche 25 décembre après-midi à Roubaix dans un salon de coiffure entre un client et un coiffeur, victime d’une plaie au thorax, dont le pronostic vital n’est plus engagé », a indiqué la procureure de Lille, Carole Etienne. Le client, âgé de 47 ans, légèrement blessé, a été placé en garde à vue pour « tentative d’homicide ».
L’enquête, confiée à la police judiciaire, « est en cours afin de déterminer très exactement les circonstances des faits », a ajouté la procureure. Selon la source proche de l’enquête, l’altercation a débuté dans le salon de coiffure et s’est poursuivie à l’extérieur, entre le client « d’origine turque » et le coiffeur d’origine « irakienne kurde ».
Le pronostic vital a pu être levé après une opération chirurgicale de ce jeune homme de 27 ans, blessé de plusieurs coups de ciseaux par le client. D’après cette source, le client aurait été « agacé » par la musique kurde diffusée au sein du salon, ce qui aurait entraîné l’altercation.
L’homme en garde à vue est déjà connu de la police, tandis que la victime ne l’est pas, a indiqué cette source. La nouvelle de l’agression, survenue après le passage à l’acte d’un retraité français qui a tué trois Kurdes vendredi à Paris, a été relayée sur les réseaux sociaux au sein de la communauté kurde.
« Cela n’est pas du tout comparable avec ce qui s’est passé à Paris », a toutefois insisté une source proche de l’enquête auprès de La Voix du Nord. « L’agresseur n’est pas venu pour s’en prendre à quelqu’un. Il n’était pas armé et s’était déjà fait couper les cheveux quand l’altercation a commencé. »
Ce n’est pas du tout comparable.
Quand ces gens venus de leur Anatolie profonde s’entretuent dans la ville grand-remplacée de Roubaix, c’est bien moins sérieux que lorsqu’un sale Blanc s’énerve après un demi siècle d’invasion islamique.
Faites confiance à la police républicaine pour poser le bon diagnostic.
La nouvelle de l’agression a été relayée sur les réseaux sociaux au sein de la communauté kurde. Une centaine de personnes ont participé mardi après-midi à une manifestation dans le centre de Lille à l’appel d’organisations kurdes après cette agression et les assassinats de Paris.
« Si en France on ne peut pas écouter de musique kurde, où on pourra le faire? » s’est inquiétée auprès de l’AFP une des manifestantes, Vénus Sedek, étudiante en droit, née en France dans une famille kurde irakienne. Voyant la main d’Ankara dans ces événements de Paris, les manifestants ont défilé aux cris de « Turquie terroriste », « Erdogan assassin » ou encore « Solution politique pour le Kurdistan ».
« Les services secrets turcs, omniprésents sur le territoire français, cherchent à éradiquer les Kurdes les plus actifs d’Europe en commettant ces exactions en France et en Europe », a accusé au micro une jeune femme d’origine kurde, Adar Dogala. Un responsable de l’association culturelle franco-kurde Mésopotamie, qui n’a pas voulu donner son nom, a déploré : « sur le territoire français, on est surveillés mais pas protégés ».
C’est vrai ça, si le bordel mésopotamien ne peut pas écouter son fatras sonore en France remplacée, où pourra-t-il le faire ?
Il est grand temps que les contribuables français prennent leurs responsabilités et offrent un service de protection ethnique sur mesure à tous ces Kurdes.
Ils le méritent amplement, contrairement aux sales gwers xénophobes complotistes.