La Rédaction
Démocratie Participative
04 septembre 2024
Cette truie de gauche (elle est écologiste) dit s’être faite toucher le cul par un crevard de pakistanais, mais à la fin de son discours c’est de la faute de l’homme blanc.
Ce soir un homme m’a caressé l’entre-jambe à la sortie du métro, voici son visage. Après « on se lève et on se casse », je propose « on filme et on balance ». pic.twitter.com/q67yhDb4C0
— Christine Berrou (@ChristineBerrou) September 3, 2024
Il faut être pakistanais pour vouloir toucher ce truc.
On dirait Asselineau qui a fait sa transition.
C’est ce qui rend sa sortie totalement mytho en plus du reste.
Même pas avec un bâton je lui touche la chatte
Cette créature obèse sait exactement dans quel environnement social elle évolue et quelles sont les règles de la vaginocratie.
La faute la plus grave dans ce milieu est d’absoudre l’homme blanc, même implicitement, même pour un instant.
L’homme blanc souffre du péché originel selon le monothéisme de gauche : c’est le prédateur fondamental qui domine la chaîne alimentaire, qu’elle soit sexuelle ou raciale.
La grosse se livre donc à sa petite salamalèque pour signifier à ses congénères obèses qu’elle ne perd pas de vue dans quel « camp » est avachi son énorme cul.
Cette vache mérite un upercut.
Si les dieux sont magnanimes, un gang d’afghans la violera un de ces jours avant de l’égorger dans une ruelle pisseuse et les rats lui boufferont les joues.
Ces truies blanches qui trahissent leur race pour protéger la pire crasse génétique de la terre doivent subir les mille tourments de l’enfer, mais sur terre.
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