Captain Harlock
Démocratie Participative
24 Décembre 2020
La police républicaine recrute en faisant appel aux délires sadiques des connasses castratrices
Je croyais qu’en mettant beaucoup plus de femmes à des postes à responsabilité, tout irait beaucoup mieux.
Aidez-moi, je ne comprends pas ce qui se passe.
Un homme de 33 ans, militaire au neuvième régiment d’infanterie de Cayenne, s’est donné la mort ce mercredi vers midi lors de sa garde à vue à l’aéroport d’Orly. Il est parvenu à voler l’arme de service d’une fonctionnaire de la police aux frontières avant de se tirer une balle sous le menton.
Il a été pris en charge par les secours dans un état critique et n’a pas survécu à sa blessure, nous a précisé le parquet de Créteil. Il serait mort durant le trajet à l’hôpital.
La victime, qui venait de Guyane, avait été interpellée ce lundi après-midi par les douanes alors qu’elle transportait 4 kg de cocaïne. Le militaire avait ensuite été placé en garde à vue dans les locaux de la Police aux frontières d’Orly, après l’ouverture d’une enquête de l’Office anti-stupéfiants.
Selon nos informations, la victime a profité d’un repas que lui apportait la fonctionnaire stagiaire, récemment affectée dans ce service. «Elle s’est débattue mais l’homme a tout de même réussi à lui prendre l’arme», explique la même source.
« tout de même »
C’est vrai que si une femme essaie de résister physiquement à un homme, normalement c’est la femme qui a l’avantage.
Quand tu essaies de porter le phallus en pesant 37 kilos
Il y a aussi une forte probabilité pour que cette femme flic soit une sorte d’antillaise obèse. Ils en recrutent énormément, tout spécialement pour les aéroports d’IDF. Pour faire couleur locale. Cela ne change rien à son incompétence innée, c’est juste que la scène devait être encore plus grotesque. J’imagine parfaitement une sorte de Fatoumata en panique en train de se faire dompter par un militaire marron de Guyane.
Le parquet de Créteil a saisi l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour «recherche des causes de la mort» afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame. La policière, qui a été prise en charge par une cellule psychologique, devait être entendue par l’IGPN dès ce mercredi après-midi.
Ha !
« Une femme a foiré dans un métier d’homme, qu’est-ce qui peut bien expliquer cette situation messieurs ? »
« Aucune idée, chef »
Ils vont devoir trouver un truc improbable sur le sexisme structurel qui empêche les poufs à cuche de la police de donner un plateau repas à un mec.
Et aussi le traditionnel « manque de moyens ».
La liaison Cayenne-Orly est aujourd’hui le point de passage aérien le plus utilisé pour l’importation de la cocaïne sud-américaine en France. Le trafic entre la Guyane et Paris représente entre 15 et 20% des entrées de cocaïne sur le territoire hexagonal, selon un rapport sénatorial publié en septembre.
Entre 20 et 30 «mules», qui s’introduisent la drogue sous forme d’ovules dans leur corps ou la dissimulent dans leurs vêtements ou bagages, tentent de prendre chaque vol au départ de Cayenne et à destination d’Orly, et huit à dix y parviennent, selon ce rapport.
Chaque jour, deux «mules» comparaissent au tribunal correctionnel de Créteil. « Souvent, les juges appliquent le principe d’une année de prison ferme par kilo de cocaïne transporté », observe une source judiciaire. La semaine dernière pourtant, dans la même juridiction, une « mule » avait bénéficié d’une relaxe alors qu’elle avait été interpellée avec 3 kg de cocaïne.
« Le profil se ressemble, constate un avocat spécialisé. Des jeunes, le plus souvent des mères célibataires, qui acceptent de prendre le risque de transporter ou d’ingérer de la cocaïne en échange de quelques milliers d’euros. »
« Un militaire, ça en revanche, c’est une première », note la même source. En août dernier, le maire de la commune guyanaise d’Apatou, Paul Dolianki, avait été interpellé à Orly en possession de 2,5 kg de drogue.
Oui, c’est une première. Et une dernière aussi, car maintenant que ce dealer de coke est refroidi, on ne pourra jamais savoir le quoi du comment, ni surtout du qui.
Parce qu’une pouf à cuche a cru pouvoir faire un boulot de mec grâce aux lois débiles d’une république ruinée par le virus féministe.