La rédaction
Démocratie Participative
29 mars 2023
Le député Plassard est bien entouré.
Goy, doux goy, que ton or scintille, n’en aurais-tu pas un peu pour le grand carnage ?
L’Alsace :
Il faut « mobiliser l’épargne des Français au bénéfice de l’industrie de défense, via la création d’un livret ou d’un plan d’épargne réglementée ou à travers un emprunt d’État », suggère le député Horizons de Charente-Maritime Christophe Plassard au terme d’une mission « flash ». Son rapport doit être examiné ce mercredi par la commission des Finances, au lendemain d’une réunion autour d’Emmanuel Macron des industriels de défense pour faire le point sur le passage à une « économie de guerre » appelée de ses vœux par le chef de l’État.
Pourquoi le cacher ?
Il revient de droit à la démocratie de droit divin.
Celle-ci vise à permettre aux industriels de produire davantage, à moindres coûts et dans de meilleurs délais pour faire face à la perspective d’un conflit dit de haute intensité.
Certaines choses ne changent jamais vraiment.
S’il y a une « évolution des mentalités liée à la guerre en Ukraine », « le manque d’accès des petites entreprises aux financements privés demeure un obstacle majeur » à leur montée en puissance, note Christophe Plassard. Les banques et institutions financières sont de « plus réticentes à financer l’industrie de défense » car elles ont « tendance à surinterpréter les règles de conformité » et craignent de voir leur « réputation entachée » par des investissements dans un secteur « considéré comme non éthique », pointe-t-il. Il faut donc selon lui « envisager la création sous le contrôle de l’État d’un “pool bancaire”, regroupant les grandes banques françaises, destiné au financement des petites entreprises de la base industrielle et technologique de défense, et dont une partie des prêts seraient garantis par l’État ».
Cela passe également par des réductions d’impôts « pour inciter les entreprises à se doter de stocks de matières premières et de composants critiques et pour inciter les particuliers à investir dans les petites entreprises du secteur de la défense », selon lui.
Christophe Plassard propose également la création de fonds spécialisés dans la défense pour pallier les « défaillances des marchés » ou celle d’un « label incitant à investir dans les PME stratégiques ».
Les réglementations européennes doivent enfin « prendre en compte les intérêts de défense » et la Banque européenne d’investissement (BEI) être autorisée à financer la défense.
Certes, les juifs peuvent imprimer tous les billets du monde, mais si les goyim peuvent eux-mêmes payer la corde pour les pendre, pourquoi s’en priver ?
Surtout qu’il y a un substantiel bénéfice à réaliser sur leurs cadavres, pour peu qu’on produise les armes pour les tuer.