Captain Harlock
Démocratie Participative
17 juillet 2019
Je dois dire que je suis déçu par Ebola-chan ces derniers temps.
Elle nous a plusieurs reprises promis la lune.
Mais je veux croire.
L’Obs :
L’organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré, vendredi 17 juillet, que l’épidémie d’Ebola, qui a fait près de 1 700 morts depuis l’été dernier en République démocratique du Congo, était désormais une « urgence » sanitaire mondiale.
Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu’il « était temps pour le monde de prendre acte » de l’épidémie, mais il a recommandé que les frontières de la RDCongo avec ses voisins restent ouvertes.
Cela me paraît logique.
Garder les frontières ouvertes pour empêcher que le virus ne se répande.
Je n’en attendais pas moins de la part du vénérable cafre qui préside aux destinées de l’OMS.
Cette annonce intervient après le décès du premier cas enregistré en République démocratique du Congo dans une métropole, Goma, deuxième ville du pays et carrefour des Grands Lacs.
OUI
Admirez comme ces huttes sont proches les unes des autres
Une métropole d’un million de nègres, quoi de mieux pour entreprendre une grande campagne de réduction des nuisibles ?
Comme pour l’Ouganda, ce premier cas diagnostiqué à Goma, la plus grande ville touchée par l’actuelle épidémie avec un à deux millions d’habitants, semble bousculer la routine de la « riposte » face à une épidémie déclarée le 1er août 2018.
« Il est important d’évaluer le niveau de risque », a déclaré à la presse à Goma Ibrahima Socé Fall, directeur général adjoint de l’OMS.
« L’évaluation de l’OMS montre que le risque est élevé pour les provinces et les pays voisins, notamment l’Ouganda et le Rwanda », a ajouté le coordinateur de l’OMS sur place Michel Yao.
Goma est proche du Rwanda, qui a déconseillé à ses ressortissants de traverser la frontière.
La ville, bien connue des humanitaires et des Nations unies, dispose d’un aéroport connecté à Kinshasa, Entebbe-Kampala et Addis Abeba. Des bateaux partent vers la province voisine du Sud-Kivu.
Ces nègres congolais accueillent eux-mêmes Ebola-chan en libératrice.
Ils butent les équipes de vaccination.
Beni-Ebola : des menaces de mort pèsent sur le personnel soignant engagé dans la lutte contre Ebola. Le laborantin du centre de santé Isonga est menacé de mort par des hommes armés. pic.twitter.com/VVX2skLvwa
— JournalDeKinshasa (@JournalDekin1) 17 juillet 2019
#Ebola #Beni Le laborantin du Centre de santé Isonga en chefferie de Bashu menacé de mort. Des hommes porteurs illégaux d’armes ont surgi à son domicile dans la nuit de lundi à mardi et ont gravement blessé son épouse par arme blanche. (Société civile)
— Sammy Mupfuni (@SMupfuni) 17 juillet 2019
Je veux croire.
Le million, je veux le million.
Un million sinon rien.