Capitaine Harlock
Démocratie Participative
26 mai 2017
L’Occident gauchiste, UE en tête, a entrepris de diaboliser le président philippin au motif qu’il a fait liquider 4000 camés et dealers dans son pays.
Dans cette interview, il explique le pourquoi du comment.
« Nos jeunes sont notre atout ». Aux Philippines, il n’y a pas une énorme machinerie socialiste pour nourrir des millions d’assistés ou de retraités. Il n’y a pas de système de retraite étatique. C’est la cellule familiale qui remplit ce rôle, en lieu et place de l’état.
Donc, si vous laissez la vermine mafieuse pourrir le socle du peuple, vous ruinez le fonctionnement socio-économique de votre pays en quelques décennies. Il devient un gigantesque bidonville où des seigneurs de la drogue vivent de la réduction en esclavage de leur propre peuple. En France, ce serait les nègres, maghrébins, turcs et albanais qui prospéraient sur ce commerce.
Mais les pédales européennes, assises sur cette pyramide de Ponzi qu’on appelle le « système de retraite », préfèrent se soucier des « droits de l’homme ». Parce que ça fait du bien émotionnellement à n’importe quelle pédale et que ça permet de parader moralement à l’ONU et de toiser les sauvages.
Sauf que ces démocraties vont bientôt devoir avaler leur énorme sandwich à la merde.
La France doit financer, à elle seule, 1,700 milliards d’euros de retraite pour ses fonctionnaires et militaires. Ceci alors que l’état est déjà frappé d’une dette de 2,200 milliards d’euros et que la France génère, à peine, 1% de croissance économique par an pour 4% de déficits.
Les Français vont se retrouver, d’ici quelques années, dans une situation où l’arbre à billets magique aura disparu. Et ils devront se prendre en main pratiquement du jour au lendemain. Lorsque les nègres et autres crouilles ne toucheront plus les mêmes volumes d’argent qu’actuellement, le crime va inévitablement exploser, trafic de came en tête.
Que feront les démocraties à ce moment là ? Rien. Ils se seront enfuis avec la caisse depuis longtemps.
Les prostituées du système démocratique touchent bien sûr leur part dans cette réduction en esclavage de leur propre population. Pour ces politiciens, il s’agit simplement de maximaliser les profits par tous les moyens. Mais quand ce sera le futur de familles en entière qui sera en jeu, on verra combien de temps les droits de l’homme tiendront.
Duterte le dit : si vous n’êtes pas prêt à tuer en tant que chef de l’état pour protéger votre peuple, vous êtes indigne de ce titre.
Mais tous ces démocrates ne pensent qu’à une chose : pavoiser et piller le peuple. Le servir n’effleure pas même leur esprit.
C’est pour cela qu’ils importent des bougnoules et des nègres par millions chaque année en Europe de l’Ouest : parce que les financiers juifs qui maintiennent les démocraties en place exigent de la « croissance », peu importe ce que ça veut dire, en face des prêts qu’ils consentent.
Jamais l’escroquerie démocratique n’est apparue aussi clairement pour ce qu’elle est : une entreprise à réduire les peuples en esclavage.
« Je m’en fous de brûler en enfer du moment que le peuple que je sers vit au paradis »
Rodrigo Duterte